A la suite de mon compte rendu du GR20 en une semaine (et même avant), j’ai reçu un nombre assez incroyable de commentaires et d’emails me demandant le contenu de mon sac à dos. Je sais que beaucoup d’entre vous attendent cette liste de matériel, comme la solution miracle pour enfin randonner léger.
Je ne suis pas sûr que cette liste soit miraculeuse, mais je pense qu’elle peut vous donner de bonnes idées pour alléger votre sac à dos. Vous voulez une autre bonne nouvelle ?
Vous avez aujourd’hui droit à deux listes pour le prix d’une – j’ai aussi partagé le contenu du sac à dos de mon coéquipier sur le GR20, Nicolas. Nous avons fait quelques choix différents, cela vous donnera donc plusieurs options à explorer.
Je tiens cependant à préciser quelques points importants à propos de ces listes de matériel :
- Ces listes sont personnelles – elles ont été ajustées à notre expérience, à cette randonnée, aux conditions à ce moment précis, et en fonction des risques que nous étions prêts à prendre (et que nous n’étions pas prêts à prendre).
- Nous n’utiliserions pas la même liste à une autre période, sur une randonnée différente, avec des conditions différentes, etc.
- Ce n’est pas parce que ces listes ont été très bien pour nous qu’elles le seront pour vous. Ne les copiez pas bêtement ! Il faut impérativement que vous adaptiez le contenu de votre sac à dos à vos besoins et vos contraintes.
- Ces listes sont loin d’être parfaites, mais elles sont le résultat de ce qu’on a considéré comme étant le meilleur compromis pour nous avant de partir.
- De même, il n’existe pas une seule option pour randonner léger. Nous aurions pu partir avec des options différentes pour un poids similaire.
Nos listes de matériel sont présentées sous forme de tableaux – le poids et le modèle de chaque item y sont indiqués tant que possible. Parfois, les modèles indiqués sont de vieux modèles ne se trouvant plus sur le marché ou ayant évolués. Parfois, les modèles ne sont pas indiqués – soit quand cela n’a pas d’intérêt (la marque de ma brosse à dent par exemple ;-)), soit quand nous ne le connaissions pas. Vous verrez que nous avons utilisé à la fois du matériel de marque et du matériel de grande distribution.
J’ai ajouté quelques notes, la plupart du temps quand un objet avait plusieurs utilisations – ce qui nous a permis de gagner du poids.
Nos listes de matériel pour le GR20
Retrouvez quelques tests de matériel que j’avais sur le GR20 :
- Poche à eau Camelbak Omega Plus
- Veste de pluie Gore-Tex Active Shell
- Sous-vêtements techniques Cimalp Strategic
- Lampes frontales Petzl
Voici un tableau récapitulatif du poids de nos sacs à dos.
Nos sacs pesaient donc 12,1 et 11,5 kilos au maximum ; 5 et 5,3 kilos au minimum. Vous pouvez télécharger la liste au format Excel pour la modifier et l’adapter à vos besoins en cliquant sur le bouton ci-dessous.
Quelques choix qui nous ont permis de randonner léger
Voici quelques détails sur le contenu de nos sacs à dos pour le GR20. J’y explique quelques choix que l’on a faits – surtout afin de gagner du poids – je n’y détaille pas pourquoi j’ai choisi un tee-shirt bleu et non pas un noir. 😉
Abri
L’abri que nous avions est un abri non fermé, c’est-à-dire qu’il est similaire à une tente à double paroi sans la paroi intérieure. L’abri est maintenu par deux bâtons de randonnée qui servent de mâts.
Nous mettions au sol une feuille de polycree qui est une sorte de bâche fine transparente très légère. Elle nous servait à nous protéger de l’humidité du sol (surtout que nous avions des sacs de couchage en duvet). En cas de pluie, nous aurions rabattu les bords de la feuille de polycree pour éviter que l’eau ne passe par-dessus en ruisselant ou en rebondissant.
Nous avions une seconde feuille de polycree en cas de très mauvais temps – auquel cas nous aurions utilisé les deux feuilles à la fois (une chacun) afin de pouvoir bien relever les bords sans perdre trop d’espace intérieur. Elle nous servait aussi de feuille de secours au cas où la première ne soit endommagée.
Couchage
Nous avions tous les deux des matelas en mousse – pour les avantages décris dans cet article – et parce que nous pouvions nous en servir en tant qu’armatures pour nos sac à dos. Le mien est assez classique. Celui de Nicolas est plus léger et moins épais. Il le pliait en deux et le mettait sous le haut de son corps. Il disposait des vêtements en guise de matelas pour isoler le bas de son corps.
Nous avions des sacs de couchage en duvet car ils offrent un rapport isolation thermique/poids bien meilleur que les sacs de couchage en synthétique (l’article duvet vs synthétique).
J’utilisais un drap de soie pour ne pas salir l’intérieur de mon sac de couchage (les sacs de couchage en duvet ne sont pas très faciles d’entretien) et apporter un peu de chaleur supplémentaire. Au final, l’apport de chaleur n’a pas été nécessaire.
Nicolas avait opté pour des vêtements à la place d’un drap de soie. Il utilisait des chaussettes, un haut à manches longues et un collant pour ne pas salir son sac de couchage. Vu que ces vêtements étaient réservés au bivouac, ils restaient assez propres. Ils avaient donc une double utilisation – ce qui est un avantage. Le petit inconvénient est que le sac de couchage n’était pas protégé au niveau de la tête (comme avec un drap de soie). Mais, il le protégeait avec un vêtement qui lui servait également d’oreiller. Pas bête le Nicolas. 😉
Chaussures
Nous avions tous deux opté pour des chaussures de trail. Cela peut paraître un choix inapproprié sur le GR20 qui est très accidenté et rocailleux. C’est effectivement un choix que je ne recommanderais pas à beaucoup de personnes.
Nous avons fait ce choix pour gagner en légèreté. Pour de longues journées, des chaussures légères sont très agréables et moins fatigantes à porter. Etant donné que nous avions un rythme de marche assez élevé, ce type de chaussures nous a permis d’avoir un bon déroulé du pied et de ne pas perdre en agilité.
Nous avons pu faire ce choix sans compromettre notre sécurité, car nous avons l’habitude de randonner avec ce type de chaussures. Notre corps (tendons, muscles, articulations, etc.) est donc habitué. De plus, nous n’avons pas de problèmes de chevilles.
Par ailleurs, nous avions des sacs légers et nous randonnions quasiment tout le temps avec des bâtons – ce qui nous permettait de garder l’équilibre et d’éviter les faux-pas.
Vêtements
Pour faire léger, nous n’avions pas de vêtements de rechange (mis à part une seconde paire de chaussettes). J’en vois certains qui grimacent. 😉 Nous avions un seul caleçon, un seul tee-shirt, et un seul pantalon convertible (qui se transforme en short grâce à des zips) pour la marche.
Nous les avons lavés, quitte à les remettre un peu mouillés. C’est assez facile pour les chaussettes, car une paire sèche sur le sac quand l’autre est aux pieds. Ça demande un peu plus d’organisation pour le tee-shirt ou le caleçon. 😉
Nous avions ensuite une tenue complète pour le bivouac que nous n’utilisions pas pour marcher. De cette manière, nous étions toujours sûrs d’avoir des vêtements secs au bivouac – peu importe ce qui arrive dans la journée.
Voici les vêtements que nous avons utilisés en fonction des conditions (en suivant le principe des 3 couches) :
Nicolas:
- Pendant l’effort : Pantalon convertible, tee-shirt respirant, softshell (s’il faisait froid ou s’il y avait du vent), bonnet (s’il faisait froid) et veste de pluie (s’il pleuvait).
- Au bivouac : Collant, tee-shirt à manches longues, haut technique à manches longues, bonnet, veste de pluie. Et éventuellement (s’ils étaient secs) : pantalon convertible, softshell.
Moi :
- Pendant l’effort : Pantalon convertible, tee-shirt respirant, micropolaire (s’il faisait froid), bonnet (s’il faisait froid) et veste de pluie (s’il pleuvait ou s’il y avait du vent).
- Au bivouac : Collant, haut à manches longues en laine mérinos, doudoune sans manches en duvet, bonnet, veste de pluie. Et éventuellement (s’ils étaient secs) : pantalon convertible, micropolaire.
Vu que nous avons eu du beau temps, nous avons pu utiliser nos pantalons, softshell et micropolaire au bivouac. Ils auraient pu être humides par très mauvais temps ou à cause de la transpiration. C’est pourquoi, nous ne comptions pas trop dessus au bivouac et avions une couche thermique (seconde couche) chacun pour le bivouac.
Hygiène
Au niveau de l’hygiène, tout se résume principalement au savon d’Alep – qui nous a servi à nous laver, à nous laver les dents, à laver notre linge et qui aurait pu nous servir de désinfectant.
Le reste est classique : une mini brosse à dent chacun, une mini serviette chacun (servant aussi à essuyer la condensation dans l’abri), du papier toilette, du fil dentaire et un stick à lèvres.
Une serviette par personne, on se serait cru à l’hôtel ! 😉
Nourriture et cuisine
Je n’ai pas osé ajouter le mot gastronomie dans le titre, car on n’y était pas tout à fait. 😉
Je ne vais pas m’étendre sur les repas – qui ne demandent pas vraiment d’explication. Je vais juste en profiter pour vous dire que nous avions gardé la semoule pour les derniers soirs, au cas où on nous n’aurions pas eu assez de combustible. La semoule gonflée à l’eau froide est largement meilleure que des pâtes gonflées à l’eau froide (c’est l’expérience qui parle). C’est d’ailleurs un des avantages de la semoule dont je parle dans cet article.
Nous avions 2 réchauds P3RS (invention d’un membre du forum de randonner léger) qui ont été fabriqués par Nicolas à l’aide de canettes en alu. Nous nous sommes permis d’en prendre deux, tellement ils sont légers (10 g), pour un peu plus de fiabilité (NDLR : voici une vidéo où je montre étape par étape comment fabriquer ces réchauds). Au final, on aurait pu en prendre seulement un vu que l’on n’a eu aucun problème. Mais c’était 10 g en plus pour être sûr de manger chaud !
En plus du réchaud, nous avions un pare-vent et de l’alcool à brûler stocké dans une poche de miel liquide (ça marche aussi dans les pom’potes).
En ce qui concerne la popote, nous avions opté pour une casserole avec un couvercle et une tasse. Pour les repas, un de nous mangeait dans le couvercle et l’autre dans la casserole. Pour la tisane, un buvait dans la tasse et l’autre dans le couvercle (ou la casserole). Je suis d’accord avec vous, la tasse c’était du luxe ! Mais ça nous a aussi servi à (mal) doser les petits-déjeuners. 😉
En moyenne, nous mangions l’équivalent d’environ 2750 kcal (calories) par jour. Au repos, notre dépense énergétique est d’environ 1700 kcal par jour. Sur le GR20, notre dépense calorique était probablement supérieure à 4000 kcal par jour.
Notre corps a donc dû puiser dans nos réserves car nous mangions moins de calories que ce que nous dépensions. C’était cependant un bon compromis, car nous avons mangé à notre faim, et nous n’avons pas senti de manque d’énergie. Cela nous a permis de partir avec un poids raisonnable de nourriture. Honnêtement, on aurait eu du mal à manger 4000 kcal par jour – et il aurait fallu prendre 2 kilos de nourriture chacun en plus (ou se nourrir à base d’huile).
En ce qui concerne la répartition calorique, voici comment celle-ci s’est faite :
- Glucides : 50 %
- Lipides : 37 %
- Protides : 13 %
Vous remarquerez l’assez grande proportion de lipides. Ils sont importants sur de longs efforts et ont un meilleur rapport énergie/poids que les glucides et protides (moins à porter pour la même énergie). 1 gramme de lipides procure environ 9 kcal, contre 4 kcal pour les glucides et protides.
Sac à dos
Vous l’avez sûrement remarqué, nos sacs à dos (à vide) sont très légers – bien qu’ils soient assez volumineux (nous avions besoin de pouvoir mettre nos matelas en mousse à l’intérieur – vous verrez pourquoi par la suite). Ils sont 2 à 3 fois plus légers que ce que prennent la plupart des randonneurs pour faire le GR20.
La raison à cela est que nos sacs sont très simples, n’ont pas d’armature (Nicolas avait enlevé sa plaque de dos) et sont très peu rembourrés. On a pu se permettre d’utiliser de tels sacs, car le contenu de nos sacs était assez léger.
Laissez-moi vous expliquer le cercle vertueux du sac léger : plus le contenu de votre sac à dos est léger, moins vous avez besoin d’armatures, de renforts et de rembourrages sur votre sac, et plus le sac en lui-même est léger. Au final, vous gagnez encore plus en poids.
Le contraire est aussi vrai : plus le contenu est lourd, plus il vous faudra un sac lourd (rembourré, renforcé et avec des armatures). Et plus votre portage sera lourd – c’est un cercle vicieux !
A vous de choisir votre cercle, j’ai choisi le mien. 😉 En attendant, voici une petite astuce pour rigidifier les sacs à dos sans armature.
Les armatures servent à transférer le poids du sac au niveau du bassin, où la majorité du poids doit être porté (comme expliqué dans cette vidéo). A la place d’armatures, nous avons utilisé nos matelas en mousse pour rigidifier nos sacs à dos et transférer leur poids à la ceinture ventrale. Nicolas se contentait de plier son matelas en plusieurs couches de sorte à former un rectangle qu’il glissait à l’intérieur de son sac, le long du dos. Pour ma part, j’enroulais mon matelas en mousse dans le sac (comme sur la photo). Une fois le contenu bien rangé et tassé à l’intérieur et les sangles de compression bien serrées, les sacs étaient assez rigides et le poids bien transféré à la ceinture ventrale. Au risque de me répéter, cela fonctionnait bien, uniquement car nos sacs étaient légers.
Nos sacs ont de plus l’avantage d’être très résistants, contrairement à beaucoup de sacs ultralégers. Par contre, ils n’ont pas beaucoup de rangements et d’accessoires. Le mien compte uniquement deux poches extérieures en mesh en plus du compartiment principal – et c’est tout. Il était peu équipé à l’origine, et quelques coup de ciseaux l’ont allégé un peu plus (rabat et divers accessoires). Celui de Nicolas compte une poche de plus sur le rabat et une poche sur la ceinture ventrale. A l’intérieur, tout était rangé dans des sacs de congélation et des sacs étanches.
Imperméabilité
Même si nos sacs à dos sont assez imperméables, nous avons préféré ranger tout ce qui craignait l’eau dans des sacs étanches (pour ma part) et des sacs congélation (pour Nicolas). Tout simplement, pour éviter le genre de mésaventure dont je parle dans cet article (sac de couchage trempé) : www.randonner-malin.com/une-erreur-que-jaurais-aime-eviter/
Je me servais également d’un de mes sacs étanches pour me faire un oreiller. Rempli avec des vêtements, il n’y a rien de mieux… 😉
Pour partir plus légers, nous avons décidé de faire plus ou moins confiance à la météo. Nous avons privilégié la respirabilité à l’imperméabilité et sommes tous deux partis avec des chaussures de trail non imperméables. Ce choix a été judicieux, car on aurait beaucoup plus transpiré dans des chaussures imperméables, et on aurait eu plus de chance d’avoir des ampoules.
Que serait-il arrivé en cas de grosse pluie ?
Nicolas aurait probablement eu les pieds mouillés, à moins que sa jupe de pluie fabriquée à partir d’un sac poubelle ait fait des miracles.
En ce qui me concerne, j’avais pris une paire de chaussettes imper-respirantes (à la fois imperméables et respirantes), car j’ai déjà testé de très longues heures de marche avec les pieds mouillés et j’en ai des souvenirs très douloureux (Nicolas n’a (encore) jamais eu cette expérience). J’avais également prévu de quoi fabriquer des guêtres de fortune (un sac plastique et du ruban adhésif) pour éviter que l’eau ne ruisselle le long de mes jambes et ne rentre à l’intérieur de mes chaussettes imperméables (déjà testé aussi).
Pas de surpantalons non plus, une jupe en sac poubelle et des guêtres en sac plastique sont bien plus légères !
Nous avions également un sac plastique chacun pour enfiler par-dessus nos sacs à dos comme un capuchon, afin d’éviter que l’eau de pluie ne s’accumule sur et dans les sacs à dos – ce qui aurait fini par les alourdir.
Pour finir…
L’avantage de partir à plusieurs
Pour randonner léger, partir à plusieurs est un avantage certain, car on peut partager le matériel commun comme le réchaud, le kit de réparation, l’abri, etc.
Un autre point positif, est que l’on peut prendre le matériel le plus léger de chaque personne. Je me souviens d’ailleurs d’une discussion avec Nicolas avant de partir, qui ressemblait à ça :
– « Ils pèsent combien tes ciseaux »
– « 28 grammes, et les tiens ? »
– « Les miens font 21 grammes »
– « Ok, on prend les tiens »
Et je peux vous dire que l’on a eu ce genre de discussions pour une grande partie du matériel commun. 😉
Qu’est-ce que l’on aurait pu améliorer ?
Les listes de matériel sont toujours perfectibles – tout dépend des sacrifices que l’on est prêt à faire pour les améliorer. Par exemple, ma poche à eau et mon matériel photo sont assez lourds, mais je n’avais pas envie d’investir pour m’alléger un peu plus. Et je n’avais pas non plus envie d’échanger ma poche à eau pour des bouteilles d’eau.
Il y a peu de matériel qui nous a été inutile. On aurait par contre pu se passer du savon en feuilles et du réchaud de rechange (que nous n’avons pas utilisés). J’aurais également pu découper le bas de mon matelas en mousse et ne garder qu’une partie pour le haut du corps.
On aurait aussi pu se passer de certains vêtements chauds (voire du drap de soie pour moi), d’une feuille de polycree et des chaussettes imper-respirantes – mais uniquement car la météo a été bonne et les températures assez douces. Ce n’est donc pas à regretter, car ça fait partie de la marge de sécurité. Et, nous reprendrions ce matériel sans hésiter dans les mêmes conditions, juste au cas où !
Je pense qu’entre le compte rendu et cet article sur le matériel, vous savez maintenant tout de notre périple sur le GR20. Mais je suis sûr que certains d’entre vous ont quand même des questions ou des remarques – et c’est le moment de les partager dans les commentaires juste en dessous. 😉
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