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Est-ce la mort de la gourde de randonnée ?

Posté par : François Jourjon 2 février 2012 188 commentaires

Gourde de randonnéeAvez-vous déjà remarqué sur les sentiers tous ces randonneurs qui boivent à l’aide d’un tuyau sortant de leur sac à dos ? Avez-vous remarqué qu’il y en a de plus en plus ? Est-ce que la poche à eau ou « CamelBak » va prendre le dessus sur la gourde de randonnée et celle-ci disparaître à jamais ? J’ai des doutes. Les gourdes et les poches à eau ont chacune leurs avantages et inconvénients.

 

Poche à eauPour ceux qui ne voient toujours pas ce à quoi je fais allusion : voici ce qu’est une poche à eau.

Une poche à eau est un réservoir souple que l’on peut remplir avec du liquide. Elle est munie d’un tuyau au bout duquel se trouve une tétine. Il suffit de mordre la tétine et d’aspirer pour pouvoir boire. Certaines personnes utilisent le mot « CamelBak » (qui est une marque) pour désigner une poche à eau.

Gourde de randonnéeJe ne pense pas qu’il soit nécessaire de préciser ce qu’est une gourde. Les gourdes de randonnée sont la plupart du temps en métal avec un bouchon qui se visse – mais il existe beaucoup d’autres sortes : certaines en plastique dur, d’autres en plastique souple, etc.

Beaucoup de personnes pensent que la poche à eau est un effet de mode, que c’est un coup de marketing et que cela ne sert à rien. Je me moquais moi-même (intérieurement) des quelques randonneurs que je voyais avec des poches à eau quand j’ai débuté la randonnée. Je me disais « ils se croient en train de faire une course ou quoi ! ». Par la suite, j’en ai acheté une pour l’escalade et les courses d’orientation et je l’ai trouvée tellement pratique que je l’ai essayée en randonnée.

Et je dois avouer que maintenant, je ne pars quasiment jamais randonner sans ma poche à eau. Une petite leçon de vie : ne pas critiquer avant d’avoir essayé… Ce que font également beaucoup de randonneurs avec les bâtons de randonnée.

Je n’ai pas voulu créer un article polémique, prêcher la gourde ou la poche à eau mais juste vous présenter rapidement les principaux avantages et inconvénients de chaque système pour que vous puissiez choisir correctement entre l’un et l’autre.

Le duel : gourde de randonnée / poche à eau

Poche à eau

Avantages

  • Pratique pour s’hydrater régulièrement. Une poche à eau permet de boire quand on le souhaite, sans avoir à poser son sac à dos, se contorsionner pour attraper sa gourde ou demander de l’aide à son coéquipier.
  • Poids. Les poches à eau sont souvent plus légères que les gourdes à volume égal.
  • Encombrement réduit. Une poche à eau prend n’importe quelle forme dans le sac à dos.
  • Utilisation possible pour d’autres activités comme le VTT, l’escalade, le kayak, la course à pied, etc.
  • Grande contenance (suivant les modèles) – qui varie généralement de 1 à 3 litres.
  • Pratique par temps froid. Il est possible de garder une poche à eau bien isolée à l’intérieur du sac à dos. Avec une gourde de randonnée, ce n’est généralement pas le cas quand elle est gardée à portée de main, et elle risque de geler.

Inconvénients

  • Fragilité. Les poches à eau sont plus fragiles que les gourdes métalliques. Cependant, certaines poches à eau sont très solides et donnent juste l’impression d’être fragiles.
  • Prix. Les poches à eau sont généralement un peu plus chères, bien que l’on en trouve maintenant certaines à bas prix (de qualité discutable).
  • Entretien. Il n’est pas toujours facile de faire sécher sa poche à eau entre deux utilisations – le développement des bactéries s’y fait souvent plus rapidement que dans une gourde de randonnée. Cependant, certaines poches à eau ont des traitements antibactériens pour pallier à cela.
  • Peu pratique pour verser de l’eau – comme pour faire la cuisine par exemple.
  • Les boissons autres que l’eau ne sont pas recommandées – pour éviter le développement de bactéries et moisissures.
  • L’eau chauffe ou gèle facilement dans la pipette (tuyau). Il est possible de pallier à cela en utilisant un isolant qui s’enfile autour de la pipette.
  • Goût et odeur désagréables. Cela dépend fortement des modèles – certains n’ayant absolument pas ces problèmes.
  • Nécessite d’avoir un sac à dos prévu à cet effet comportant une poche pour ranger la poche à eau et un trou pour faire passer le tuyau. Sur certains sacs, il est cependant facile de s’en servir même si rien n’avait été prévu pour l’utilisation d’une poche à eau.
  • Difficile de connaître la quantité consommée. On est obligé de sortir la poche à eau du sac pour savoir combien d’eau il reste. Cependant, il existe maintenant des systèmes électroniques qui permettent de connaître en temps réel sa consommation d’eau directement sur la pipette.

Gourde de randonnée

Avantages

  • Solidité (sauf pour les modèles souples qui se rapprochent des poches à eau sur ce point). Les gourdes résistent bien aux chocs et ne se percent pas facilement.
  • Durabilité. Il est possible d’utiliser une bonne gourde de randonnée métallique pendant des années.
  • Fiabilité. Il n’y a pas grand-chose qui peut être défaillant dans une gourde par rapport à une poche à eau.
  • Assez bon marché. Une gourde est souvent moins chère qu’une poche à eau. Pensez cependant à comparer en fonction de la contenance de chacune. Par exemple : comparez le prix d’une poche à eau de 2 litres avec le prix de deux gourdes d’un litre et non pas une seule.
  • Peut contenir tous types de boissons. Un avantage si vous aimez boire autre chose que de l’eau. Je n’ai pas besoin de savoir quoi. 😉
  • Entretien. L’entretien est plus facile avec une gourde – les bactéries s’y développent moins facilement (sauf pour celles en plastique).
  • Facile de verser de l’eau avec.

Inconvénients

  • Poids. Les gourdes sont souvent plus lourdes que les poches à eau. Surtout qu’une seule gourde de randonnée suffit rarement pour une journée.
  • Encombrement. Les gourdes ne se déforment pas et prennent de la place une fois vides (sauf pour les modèles souples).
  • Hydratation pas pratique. Il faut enlever son sac à dos pour s’hydrater ou trouver un autre système. Certaines personnes accrochent leur gourde à portée de main à l’aide d’un petit mousqueton ou demandent à leur coéquipier de les aider. Mais c’est rarement aussi pratique qu’une poche à eau.
  • Petite contenance. Il en faut souvent plusieurs pour une journée de marche.

Note : Tous les avantages et inconvénients présentés ci-dessus dépendent bien évidemment des modèles. Par exemple, beaucoup de poches à eau demandent un entretien important. Le modèle que j’ai (CamelBak Omega Plus) a un traitement antibactérien et s’entretient facilement.

Le gagnant

Si vous avez bien lu cet article, vous devez vous douter qu’il n’y a pas de gagnant ;-). A vous de trouver votre gagnant en fonction de vos besoins et vos préférences.

La gourde de randonnée classique et la poche à eau ne sont que deux systèmes parmi d’autres. Il existe par exemple des tuyaux qui s’adaptent sur les gourdes. Certains randonneurs utilisent même des bouteilles d’eau en plastique ou des bidons comme ceux utilisés par les cyclistes.

Certaines personnes aiment combiner les systèmes – en utilisant par exemple une poche à eau et une bouteille d’eau en plastique (c’est ce que je fais) ou une poche à eau et une gourde. Cela permet d’avoir les avantages sans les inconvénients et permet également de purifier de l’eau facilement avec des désinfectants chimiques (de type Micropur). Un récipient contient l’eau en train d’être désinfectée et l’autre de l’eau potable. De cette manière, vous avez toujours de l’eau potable disponible.

Vous savez maintenant ce que j’utilise. Et vous, qu’utilisez-vous pour vous hydrater en randonnée ? Etes-vous plutôt gourde de randonnée ou poche à eau ?

Auteur : François Jourjon

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188 commentaires

  • Cacahouete

    Deux points qui me laisse septique:
    -Le poids: tu dis qu’il est inférieur pour les poches à eaux. Une bouteille en plastique est bien plus légère que la plupart des poches à eau, pour la même contenance.
    -Contenance: tu dis que les poches à eau ont une grande contenance. Bah les bouteille aussi, faut juste prendre une plus grande ^^.

    Il faut évidemment faire les comparaisons avec des bouteilles en plastique de soda, qui sont très solide, et légère. (25g/L)

    • François

      Bonjour Cacahouete,

      J’ai fait une comparaison entre les poches à eau et les gourdes, je n’ai pas inclus les bouteilles en plastique dedans – car selon moi peu de randonneurs les utilisent (bien que je le fasse).

      A bientôt,
      François

      • Il est vrai que si tu réfléchis bien, la bouteille en plastique reste super pratique en randonnée… mais en effet « peu de randonneur l’utilisent ».

      • Serge+Gabriel

        Je vis au Québec,lorsque je track l’orignale, (c’est des trails de plusieurs jours ds le bois,ou forêt boréal).
        J’ai un thermos,et une gourde militaire.
        Avantages:
        Thermos,
        Été:eau fraiche , Hiver eau ou le café ne géle pas.poids total:700gr, ds la poche filet gauche de mon sac à dos type Kettner .

        Gourde militaire,
        Été:eau fraîche le revêtement exterieur est en tissu ce qui permet de le mouillé. et avec l’effet d’évaporation d’avoir de l’eau fraîche.
        Automne Hiver l’eau peu geler il suffit de suspendre le gourde au dessus du feu pour boire un thé chaud, de plus elles ont l’avantage d’avoir un quart dessous pour boire, manger poids total:1500gr, peu se pendre à la ceinture ou à la bretelle du sac à dos(j’utilise un sac de 45L à 80L.
        La solidité des 2.
        Inconvénients:
        Le poids les 2 pleines 2,200Kg

        Thermos&gourde
        Nettoyage: Eau, savon(lave vaisselle),comprimé effervescent pour prothése dentaire
        1 eau chaude + comprimé temps 12heures
        2 eau bouillante + savon lave vaisselle on peu rajouter du riz sec ou du sable secouer
        3 rincer et laisser sécher.

        Odeurs:
        1 Une goutte de vinaigre blanc ds l’eau de rincage,ou bicarbonnate de soude.
        2 Stocker la gourde vide au congélateur so pas de microbe pas d’odeur.

        Avant de partir une goutte de Ricard (moi n’ayant pas de Ricard une cuillére à café sirop d’érable +citron).

        Kenavo

        • Alice

          Bonjour.
          J’utilise des bouteilles d’eau … gazeuses … plus solide que celles pour l’eau plate … et je m’en débarrasse – recyclage – à la fin de mon parcours.
          Salutations.

    • marc

      Tout d’abord merci pour tous ces articles qui si je les avais lu avant m’auraient éviter bien des mauvaises surprises =)
      Je suis un marcheur régulier du week end (randonnées entre 15 et 25 kms tous les week end)
      Je suis pour la poche à eau uniquement pour le côté pratique indéniable. Celà permet de boire en marchant sans pour celà sortir la bouteille à eau du sac (boire deviend rapidement un réflexe).
      Par contre je n’ai jamais réussi à eliminer l’arrière gout qu’à l’eau contenue dans une poche à eau (malgré le fait de l’avoir rincé de nombreuses fois avant de l’utiliser)

      • claude

        j’ai ajouté deux ou trois fois un bouchon de boisson alcoolisée anisée , mais là sans les glaçons ! (sans pub) dans ma poche à eau et depuis elle a gardé ce délicieux goût d’anis qui la rend agréable même avec des pastilles de traitement bactéricide .
        Pour un nettoyage bactérien je la fais tremper régulièrement avec de la javel diluée. Aucune bêbête méchante ne résiste… Un bon rinçage suffit .
        On peut aussi mettre un comprimé bactéricide ( Micropur)
        Autre avantage : dans le désert il est possible de prendre une douche avec une poche à eau qu’on aura laissé un peu au soleil avant de la remplir au puit du bivouac !

        Bonnes randos !

        • Marjorie

          à la fin du nettoyage, je fais une dernière trempette avrec de l’essence de vanille que je laisse un temps, ça a l’effet de l’anis comme décrit plus loin. Autre truc, afin de moins nettoyer en été, orsque je rvient, je rince et met au congélo comme ça il y a toujours un peu de galce qui conserve le reste de l’eau froide et est utile pour conserver le lunch. En hiver, il faut mettre l’eau tiède et souffler dans la paille pour ne pas laisser d’eau qui gèle le conduit.

        • Christian

          Bonjour
          moi je met de l’antesit sirop sans sucre a base d’anis dans ma poche a eau et ça cache parfaitement le gout du Micropur

      • Pour le gout, il faut mettre un peu de jus de citron, c’est tout.
        C’est toujours mieux que toutes les nullités sucrées que l’on a l’habitude d’ajouter de nos jours
        Le randonneur sympa (… ou qui essaye de l’être !)

      • Claude

        Mettre 1 à café de bicarbonate par litre d’eau super pour éviter les crampes et la poche d’eau n’a jamais d’odeur puisque c’est un désinfectant naturel

  • matthias

    et une bouteille en PET?
    Pas cher, léger, incassable, réutilisable, simple d’utilisation
    Que des avantages quoi… Mais quand la folie des achats superflus nous rattrape, que peux t’on y faire???

    A Bon Entendeur

    • François

      Bonjour Matthias,

      C’est vrai que je ne fais que mentionner les bouteilles en PET et je ne rentre pas dans le détail car je ne vois pas beaucoup de randonneurs avec.

      Elles ont beaucoup d’avantages, c’est sûr mais pas que des avantages. Les inconvénients avec ces bouteilles est que les bactéries s’y développent assez rapidement et qu’elles sont un peu moins solides que les gourdes. Je ne suis pas sûr que sur le long terme ce soit un achat superflu car il n’est pas possible de garder une bouteille en plastique très longtemps.

      A bientôt,
      François

      • louis

        Suis aussi partisan de la bouteille en PET , cout nul , pas de gout , et en marche accompagnée pas besoin de tomber le sac . Bien rincée pas de bactéries . En solitaire j’ai tjrs un petit sac avec bride pour les cartes , l’eau et le minimum pour ne pas tomber le sac
        Chacun son truc mais gratuit c’est pas cher !
        Amitiés . Louis

    • CLERGET

      Je suis d’accord avec Mathias c’est ce que je voulais dire implicitement en reprenant tes mots François « mais peut de randonneurs l’utilisent ».
      La bouteille en PET aurai gagné le match je pense. Les pratiquants le savent j’en suis sure mais les lecteurs sont ils tous des pratiquants…. ça c’est une autre histoire 😉
      A méditer comme d’habitude.

    • Claudine

      Claudine
      Bonjour,
      Désolée je ne vois pas ce qu’est la bouteille en PET ?

  • Jean

    Petites astuces pour les poches à eau:
    – Pour éviter les le développement de bactérie dans les poches à eau, il suffit de la stocker, entre deux randonnées, au congélateur.
    – Pour éviter que l’eau gèle ou se réchauffe dans le tuyaux de la poche à eau, il suffit de souffler fort dans le tuyaux après chaque utilisation.

    • François

      Merci Jean pour ces deux astuces. Je ne connaissais pas la deuxième, que j’essaierai à l’occasion.

      A bientôt,
      François

      • Jmm

        Pour la deuxième méthode, j’ai rajouté un robinet, car quand le sac est bien plein ou lors de certains mouvements, l’air contenu dans le tuyau est expulsé et l’eau pour geler.
        J’ai trouvé ça chez camelback, mais d’autres marques le font également.

    • Emilie

      Bonjour,
      pour l’astuce du congélateur pour éviter le développement des bactéries, il me semble très fortement que la congélation stoppe le développement des bactéries mais ne les tue pas par contre. Du coup quand tu la remplis à nouveau, les bactéries présentes sont toujours là et vivantes …

      • Olivier

        Bonjour

        Pour empêcher les bactéries et surtout les moisissures de proliférer il y a une astuce très simple : Il suffit de rincer sa gourde avec un alcool fort (vodka par exemple), ou avec du vinaigre.

    • Cécile

      Bonjour.
      Ayant lu votre article et me renseignant sur le comment nettoyer et stoker ma poche d’eau, je m’aperçois que je fait comme vous et il me semble que ce soit la bonne méthode pour éviter les bactéries.J’utilise une poche depuis très longtemps et je n’ai eu aucun soucis depuis …

  • DecMoon

    Depuis un moment, que ce soit sur les pistes de ski ou en randonnée j’ai toujours sur mois
    – Ma poche à eau de 1,8L avec de l’eau très légèrement sucrée au sirop (pour masquer un éventuel goût de plastique)
    – Une gourde « Grand Tetra » d’1L (que j’utilise lors des pauses repas et pour palier un manque d’eau possible car j’ai déjà effectivement vidé la poche plusieurs fois sans vraiment m’en rendre compte).

    De manière moins permanente :
    – Une fiole (avec ce qu’il faut dedans)
    – Une bouteille de vin (c’est toujours classe d’ouvrir une bouteille au sommet)
    – Une bouteille thermos (surtout par les températures actuelles)

    • MDR, tu es le seul à le dire mais surement pas le seul à le faire. L’histoire ne nous dit pas si tu mets le vins dans la poche à eau, dans la gourde ou si tu le laisse dans la bouteille ???
      François, à quand le pinard en randonnée ??

  • Hélène

    autre argument contre les gourdes et bouteilles, c,est le poids inégale quand une est vide et l’autre pleine.

    en plus devoir demander à quelqu’un pour me la donner c’est assez pour ma faire rager lol

    Je viens donc de m’acheter une platypus 2 litres (ça s’écrit comme cela ?)

  • greg

    j’utilise des gourdes pour la facilité de remplissage et d’entretien
    je trouvait ton blog génial mais les sujets sont de moins en moins intéressant!!!
    un enfant serait capable de choisir entre une poche a eau et une gourde, un poncho a 10 € et une veste en gore tex a 200€,une tikka ou une taktikka.
    ps: attention de ne pas faire de sujet juste pour remplir un blog car il deviendrait trop lassant simple ressentie personnel qui n’engage que moi.
    bravo pour ton travaille que j’apprécie et respecte.

    • François

      Bonjour Greg,

      Merci pour ton honnêteté. Mais d’après les questions que l’on me pose, je ne pense pas que ce soit si facile pour tout le monde de choisir son matériel de randonnée. Tant mieux si ça l’est pour toi et libre à toi de ne pas lire les articles. J’espère aider des gens en écrivant ces articles, non pas « remplir » mon blog.

      François

    • Benoît

      Il est vrais que pour une personne pratiquant la randonnée depuis des années cela peut paraître facile de choisir les différents équipements qui l’accompagneron pour sa randonner.

      Mais pour ceux qui débute et même pour les plus expérimenter il est toujours bon d’avoir des éclaircissements sur certains équipement ou certain vêtement.

      Pour ma par jusqu’à il y a 2 jours je ne savais pas du tout se qu’était les vestes Softshell. Je l’ai appris en achetant les guides, qui sont pour ceux que j’ai lu pour l’instant très intéressant et très bien écrit.

      Donc pour ma part je n’ais pas encore lu tous les articles de se blog mais pour ceux dont c’est le cas je les trouves très bien. Peut être un peut long à la limite, mais ça c’est parcque je suis un peut flemmard.

      Donc continue comme ça et peut être à bientôt au détour d’un chemin.

  • Thomas

    Perso, je pars en montagne avec les deux systèmes. La poche à eau (max 2L) m’incite à m’hydrater régulièrement, chose que je négligeais parfois trop (il y a plus motivant que de devoir retirer tout le barda pour accéder à une gorgée d’eau au fond du sac), mais la bouteille m’assure de conserver toujours un petit fond en cas de problème (alors que je me suis déjà retrouvé à sec avec une seule poche à eau).

    Le problème de la poche à eau est effectivement la pipette : elle gèle facilement ou se met à couler et humidifie la polaire ou les gants… C’est désagréable et je me vois difficilement commencer à investir dans une gaine protectrice alors que j’essaie justement de gagner du poids.

    Effectivement, le problème de la bouteille, c’est le déséquilibre du sac une fois la consommation commencée…

    • François

      Bonjour Thomas,

      Dans les commentaires au-dessus, Jean conseillait de souffler l’eau de la pipette pour éviter qu’elle gèle. Ca vaut le coup d’essayer, non ?

      A bientot,
      François

  • Willy

    Bonsoir François, je viens de lire ton article. j’utilise une poche à eau de 2 litres pour les randos de longues distance. GR et bientôt au mois de mai 9 jours sur le GR 5 dans les Vosges. Je la trouve bien pratique mais comme tu dit on ne sais pas vraiment ce que l’on boi.
    Moi pour la nettoyer je met un peut de vinaigre blanc et je la rince bien comme il faut et j’ai aussi acheté un kit de nettoyage chez décatlhon, cela est bien facile.
    Continnue ton blog je le trouve très interèssant.

  • philippe

    Bonjour, Berger dans les Alpes pendant 5 mois, randonneur a raquettes l’hiver, je n’utilises que des bouteilles plastiques d’eau minérale, peu chères, légères, réutilisables et renouvelables aisément lorsqu’elles deviennent douteuses.

    Un thermos de soupe ou d’eau chaude c’est bien agréable aussi.

    Pour ma part j’aime bien prendre le temps de poser le sac pour boire un coup, souffler, jumeler ou prendre des photos.

  • Corinne

    Très intéressant ! Mais j’aimerais savoir comment mettre sa bouteille ou sa gourde dans le sac à dos pour bien équilibrer car en effet c’est très compact et lourd. Etant novice, je souhaiterais que l’on me dise s’il existe des petites ruses pour éviter de ressentir, de trop, ce désagrément dans le dos. Pour l’instant, je ne pars pas plus d’une journée.
    Merci !
    PS: Quelque soit le sujet, un blog est un moyen de partage entre personnes de tous niveaux. Alors merci encore.

    • François

      Bonjour Corinne,

      Le mieux, c’est d’essayer de la mettre au milieu du sac à dos et assez proche du dos. C’est mieux si elle est calée (avec des vêtements par exemple) et qu’elle ne bouge pas.

      A bientôt,
      François

    • nelisa2669

      Bonjour
      Autre solution : si tu as une poche sur le côté, la mettre dedans (en plus c’est plus facile à sortir et équilibrer à l’intérieur du sac avec une autre gourde ou un thermos.
      C’est ce que je fais l’hiver notamment pour les sorties raquettes (où je n’utilise pas la poche à eau).
      Et la poche à eau fait que je m’hydrate désormais beauxoup plus régulièrement.

  • Franch

    La solution intermediaire s’appelle le convertube, il s’agit d’une pipette qui s’adapte sur toute gourde a vis (type sigg) et toute bouteille en plastique.

    Cela permet, de boire en marchant mais aussi de sortir la gourde quand on s’arrete…

    Il est également possible d’avoir plusieurs gourdes (avec un poid reparti dans le sac) et de passer le tube sur l’autre quand l’une est vide….
    http://www.intersport.fr/e-commerce/control/product/~category_id=RCMC0003/~product_id=2211586

    Il s’agit d’une alternative interessante a la poche a eau…

  • Pascal

    Bonjour à toutes et tous,

    Depuis belle lurette j’utilise les bouteilles en PET de 2 litres à 0,25 litre il y a le choix ! j’ai bien entendu utilisé les gourdes, les poches à eau mais je reviens toujours aux bouteilles en PET.
    En rando ou VTT d’ailleurs.
    Sur des randos de 1 jours jusqu’à 7 jours par temps chaud ou froid … mais c’est vrai qu’il n’y a que de l’eau à l’intérieur ! pour les soupes, thé ou autres boissons ben c’est pas bon 😉
    Et pour boire et bien je m’arrête. J’évite de faire 2 choses en même temps même si elles paraissent simples.
    Quand à l’équilibre le mieux c’est les poches de coté du sac à dos, sinon j’équilibre à l’intérieur (avec les habits) et/ou je peaufine avec les réglages du sac lui-même.

  • XXX

    Petite remarque concernant les système à pipette,
    Attention aux variations de pression (c’est à dire d’altitude), en rando-pure et dure c’est pas forcément génant,
    -Par contre si vous emportez un système à pipette à Ski ou en parapente, ou pendant la partie motorisée du trajet,
    Le changement de pression fait sortir de l’eau par la pipette, soit la poche pleine est en surpression donc l’eau sort en montant, soit la hausse de la pression pousse sur la poche donc l’eau sort en descendant, je suis pas sur de dans quel sens ça se fait, mais pensez à souffler dans la pipette pour désamorcer le siphon avant de changer rapidement d’altitude. Que ce soit car vous allez redescendre à ski, ou que vous prenez le bus jusqu’aux point de départ.

    • François

      Merci pour ce conseil.

      A bientôt,
      François

      • Alex

        Salutations !

        Pour répondre à notre triple inconnu, j’ai déjà rencontrer ce problème lors d’une rando sur glacier. Je possède une platypus 2L (poche à eau donc…). Avant de partir j’avais isolé le tuyau avec de la mousse autocollante pour les joins de fenêtres (pas cher, facilement installé, efficace) que j’avais recouvert de skotch d’électricien (chaterton) blanc pour éviter d’avoir de l’eau chaude en été (le blanc réfléchit les rayons solaires). Elle était dans son compartiment de sac et en montant (1400 m de dénivelé en 4h) elle n’arrêtait pas de fuir, j’ai eu beau soufflé dedans rien à faire, trop de pression à l’intérieur de la poche…Je pense que la membrane de platypus est trop fine pour ne pas subir la compression de la charge du sac à dos…Chez Osprey les poches ont l’air on ne peut plus rigide et mieux conçues (aimant d’accroche, ouverture agrandie, forme) pour un prix quasi identique.

        • XXX

          Puisque je fais le follow-up de mes commentaires aujourd’hui,
          ma poche à eau qui me fait ce problème c’est une platypus. c’est donc peut être spécifique à cette marque…

  • Pascal

    Pour ma part, j’ai opté pour la gourde. Pour pallier au probleme de praticité de devoir prendre et se contorsionner pour prendre la gourde dans une des poches du sac, j’ai acheté un « holster » que j’ai cousu fermement à la bretelle de mon sac à dos. ( la gauche puisque je suis droitier) J’ai toujours la gourde sous la main et bois ainsi beaucoup plus que si j’avais la gourde dans le sac. Plusieurs marque fabrique ces ensembles, j’ai pris celui de Salomon. La gourde a une capacité de 0.6l, ce qui n’est pas terrible mais permet de ne pas s’alourdir non plus.
    Autre astuce, j’ai dans mon sac une poche de « farin’up » que je tiens remplie. Sa capacité est de 1,3 litres et elle possede un gros bouchon ce qui permet de la remplir et de la vider facilement.

  • frederic

    Bonjour,
    La poche à eau pour moi ne se justifie que si l’on est pressé, pas le temps de s’arreter pour boire.
    La plupart du temps l’on randonne à plusieurs donc pas besoin d’enlever le sac pour prendre la bouteille : l’on se rend mutuellement ce service. Et si l’on est seul c’est l’occasion de souffler 2 minutes en enlevant son sac. On l’aura compris je ne suis pas pressé en rando !
    La poche à eau est pour moi un gadget, je suis plutot pour les objets les plus simples qui sont généralement les plus légers et les plus fiables.
    J’utilise les bouteilles plastiques, meme la gourde j’évite l’on ne peut pas adapter sa contenance alors que l’on peut prendre une bouteille de 1,5 l ou 1l ou plusieurs suivant le besoin .
    Et puis une bouteille est plus légére qu’une gourde, quand à sa solidité je n’en ai jamais percé une en 10 ans. Voila donc la poche à eau ne détronnera pas la gourde vu qu’elle l’est déja par les bouteilles plastiques 🙂

  • Bouteilles PET de soda recyclées (car le plastique est plus épais), 0.5 l ou 1 l = légères et faciles à ranger dans le sac, simples à remplir. J’ai trouvé la bouteille d’Ocean Spray idéale poids/solidité.
    La poche = nid à germes. Et puis c’est pour quand on est pressé, non ?

    • François

      Bonjour Gilou,

      La poche = nid à germes, mais je crois que bouteille PET = nid à germes aussi. La seule différence est que l’on ne se ressert pas d’une bouteille autant que d’une poche à eau.

      Je ne pense pas que la poche à eau soit uniquement pour les gens pressés. Peut-être que c’est une habitude que j’ai pris en l’utilisant, mais je bois uniquement une gorgée à la fois. Quand j’utilisais une gourde, j’avais plutôt tendance à attendre d’avoir bien soif (ce qui n’est pas très bon) pour boire – ayant la flemme de m’arrêter pour boire juste une gorgée.

      A bientôt,
      François

  • Emmanuelle

    Bonjour,

    En voyant ton article assez dense et les commentaires, je me suis dit que peut-être vous ne conniassiez pas ce système eau, http://bit.ly/xsjpy9 qui permet d’avoir de l’eau bonne pour la santé à tout moment et transportable à tout moment. Cette bouteille de sport vient de sortir en Europe. Je l’ai utilisée il y a quelques années pendant que je voyageais aux USA. Vraiment très pratique et économique .

    Bonne rando !
    (moi je suis plutôt mer et plongées sous-marine, sport qui demande de boire beaucoup)

    Emmanuelle

    • philippe

      Il faudrait nous en dire un peu plus car le lien que tu donnes ne permet pas de savoir grand chose…

      • Emmanuelle

        Bonjour Philippe,

        Je n’ai donné qu’un lien général car je suis sur le blog de François, et mon intervention ne vise pas à faire de la pub ou du commerce sur son blog. J’ai juste vu la richesse des débats entre le blogueur et ses lecteurs. J’ai dans mes outils une solution qui est adaptée aux sports de plein air et aux grand voyageurs, à partager sans modération.

        Je suis moi même une professionnelle de la santé (formationquantique.com) et je sais quelle est l’importance de l’eau pour le corps. J’utilise les systèmes à eau recommandés par la société en question et les distribue depuis plusieurs années. La bouteille de sport vient d’être mise sur le marché et ce lien permet de voir une petite vidéo http://www.nikkenwellbeing.fr/p/bouteille-de-sport-pimag.html. C’est une bouteille en plastique, avec un filtre de rechange. Ce qui est important est le système de filtration pour obtenir ce que nous appelons eau PI, eau de la vie. Tout le concept est japonais et a toujours été utilisé par des sportifs.

        La qualité de l’eau obtenue est assez exceptionnelle pour le corps. Si François souhaite plus d’informations, il est préférable qu’il me contacte et je lui donnerai les éléments nécessaires. Lui saura s’il est bon de rediffuser l’information et comment la faire parvenir à ses lecteurs.

        Bonne découverte !

        Emmanuelle

      • Emmanuelle (aimaenergy)

        Bonjour Philippe, François et tous les autres lecteurs.

        Voici plus d’explications sur les infos que j’avais commencé à donner. Une vidéo courte sur la bouteille de sport
        http://www.youtube.com/watch?v=7Wrcz5SUpMg&feature=share&list=PLBEFB28E1E6B4478E

        Et pour les personnes qui s’intéressent à la qualité de l’eau qu’ils boivent, j’ai ouvert une rubrique « Eau » sur mon blog formationquantique.com. Le conteneur est peut-être important pour votre activité sportive. Toutefois, je pense que la qualité est primordiale quand vous êtes en plein effort physique.

        Bonne vidéo et réflexion

        Emmanuelle

  • pat30

    Bonjour,

    Il faudrait revenir au véritable intérêt de transporter de l’eau sur soi avant de trancher entre la gourde et la pipette et comme il est précisé, chacune à des avantages et des inconvénients.

    Le but est l’hydratation de notre formidable machine, le corps humain. Lors de l’effort, de l’eau est consommé et l’eau est primordial au bon fonctionnement général. Autant il stocke assez bien de l’énergie, autant avec l’eau ce n’est pas ça. Aussi il faut compenser régulièrement cette perte en eau.
    Et à mon avis, c’est là que le débat devient intéressant, avec le mot régulièrement.
    Lorsque l’on boit trop d’un coup, quelques instants plus tard, on fait une pose technique pour évacuer cette eau supplémentaire (que l’on a durement transportée, c’est du gaspillage !).
    Lorsque l’on ne boit pas assez, l’organisme n’aime pas ça et cela peut aller jusqu’à l’arrêt cardiaque.
    Par ailleurs, il faut boire avant d’avoir soif.

    Comment faire ?

    Avec la gourde qui est dans le sac : je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui buvait régulièrement dans ce cas. Car toutes les 10 minutes ou 15 minutes on ne s’arrête pas pour boire, ni on demande à 1 voisin de passer la gourde (en gros, en 3 heures de randos, on devrait faire une bonne douzaine de demandes ce qui doit être loin du compte en général) Par ailleurs, comme le geste est complexe, on boit un peu trop d’un coup, et donc il y a du « gaspillage ». Et comme le geste est complexe, on essaie de le faire le moins possible.

    Avec la pipette, on boit quand on veut sans le problème du geste technique, et donc plus régulièrement, en moins grande quantité, et donc avec moins de « gaspillage ».

    On pourrait conclure que la pipette est gagnante à tous les coups ? Et bien pas forcément, car il faut utiliser le coup des 2 gourdes.

    Avec les 2 gourdes, la grande en réserve dans le sac (le long du dos pour le respect de la charge), et 1 plus petite (50cl) dans un support adapté attaché à la sangle ventrale du sac. De préférence elle sera dans l’axe de l’entre jambe afin d’éviter un déséquilibre. Pas de geste technique pour boire quand l’on veut, juste à s’adapter à la position de cette gourde.

    On se retrouve donc avec 2 méthodes pour boire régulièrement sans mettre en oeuvre des gestes techniques compliqués.

    Et pendant que les uns cherchent leur gourde dans leur sac, les autres regardent et apprécient le paysage.
    Et alors que les uns arrivent fatigués ou se retrouvent avec des courbatures le lendemain, les autres le sont moins car ils ont bu plus régulièrement.

    Pour conclure, en rando, il faut partir avec suffisamment d’eau et en boire. Après chacun fait comme il veut, il en connait les avantages et les inconvénients, c’est comme pour l’utilisation des bâtons.

    Bonne Hydratation !

    • François

      Bonjour,

      Merci pour ces petits rappels sur l’hydratation. C’est surtout parce que la poche à eau me permet de m’hydrater régulièrement que je l’utilise quasiment tout le temps.

      A bientôt,
      François

    • philippe

      100% d’accord !

    • karine

      L’avantage du système gourde et poche à eau est aussi qu’on peut avoir beaucoup d’eau d’eau bien répartie sur le dos et une boisson d’électrolyte dans la gourde, ce qui est aide aussi à une bonne réhydratation

  • Mulbob

    J’ai trouvé en magasin la synthèse entre gourde et poche à eau : un tuyau flexible à pipette qui se visse sur une bouteille en plastique. Cela permet de cumuler les avantages des deux systèmes, en éliminant leurs inconvénients respectifs. Et tout en restant léger.

  • frederic

    Bonjour, il ne faut pas oublier que nous possédons tous une poche à eau (et à aliments) qui s’appele :
    l’estomac. Celui ci sert principalement à stocker les aliments solides et les boissons (qui sont mélangés entre eux) que nous ingérons , dans l’attente (de 1 à 4 heures ) d’etre assimilés principalement par l’intestin gréle.
    C’est vrai qu’il ne faut pas attendre d’avoir soif pour boire; le corps met un certain temps à envoyer le message de besoin d’eau au cerveau.
    C’est vrai qu’il vaut mieux boire par petites quantités , mais de la à boire toutes les 10 minutes me semble un peu exagéré vu le role de l’estomac , toutes les demi heures me parait raisonnable sauf cas extrème; raid shaharien par exemple.

  • philippe

    Utilisateur inconditionnel de la poche à eau depuis des années, je me permets d’intervenir pour dire qu’il y a poche et poche…

    Il est dommage de présenter le modèle à bouchon comme ce qui se fait de mieux en matière de poche à eau…

    J’ai opté pour le modèle SOURCE ; pas de bouchon, un simple fermoir qui glisse sur le haut de la poche simplement repliée et tout est parfaitement étanche ! Le remplissage est très facile aussi puisque la poche s’ouvre entièrement ! Quant au nettoyage et séchage, idem, c’est parfaitement aisé !
    Pour ma part, avant remisage et avant utilisation, je mets du vinaigre blanc avec un peu d’eau et j’agite tout ça ; je laisse sécher la poche la tête en bas et zou jusqu’à la prochaine utilisation.

    Il est par contre certain que si je n’avais le choix qu’entre une poche à bouchon et une bouteille en pet, ce serait la bouteille en pet car la poche à bouchon c’est vraiment trop naze à nettoyer et sécher !

  • Marie-Pierre

    Perso je suis depuis des années adepte de la bouteille plastique ! En Corse ou l’on doit boire beaucoup et où les points d’eau sont distants, les bouteilles rigides de deux litres sont idéales et puis…il ne faut pas oublier l’eau « cachée » : une pomme est composée de près de 90% d’eau, un concombre aussi… et ont l’avantage de ne pas se renverser…et l’eau que vous ne portez pas : profiter des sources quand il y en a, demander à boire chez l’habitant (et à refaire le plein de la gourde par la même occasion)…

  • claire

    Bonjour,

    Merci pour ce commentaire,
    J’utilise une poche a eau,plus pratique qu’une gourde a mon avis l’inconvénient le seul c’est le nettoyage en fin de randonnée.
    Bonne journée

  • Vianney

    Le principal intérêt de la poche à eau est de permettre de boire sans avoir à s’arrêter pour sortir sa gourde du sac et de s’hydrater avant d’avoir très soif, ce qui est essentiel pour ne pas baisser de régime lors d’un long périple. Sur des sorties de 10 heures de marche, l’été, sans point d’eau dans les Pyrénées, j’en porte deux ! Une de 2,5 l et une autre de 2 l… C’est lourd, c’est vrai, mais en cette saison on porte généralement moins de choses qu’en hiver. Et puis, le poids diminue au fil de la journée ! Enfin, j’ajoute quelques gouttes de jus de citron concentré dans l’eau.
    Autre impératif : le tuyau transparent est gainé dans un tuyau de mousse isolante. Cela permet à l’eau restée dans le tuyau de ne pas chauffer. Boire de l’eau tiède, c’est très désagréable.
    Le nettoyage après usage est impératif pour ne pas voir des moisissures apparaître (c’est nécessaire aussi pour une gourde…). J’ai trouvé chez Décathlon un ensemble bien pratique. Petit goupillon au bout d’un très long flexible pour nettoyer le tuyau, goupillon normal avec des poils au bout (car beaucoup de goupillons à bouteilles n’ont de poils que sur le pourtour et on n’atteint pas le fond de la poche à eau), système plastique d’écartement pour sécher la poche.
    Chez Décathlon, on trouve aussi des pastilles de désinfection. Je n’en abuse pas, car je ne sais pas trop leur composition chimique.

  • Martine

    Bonjour,
    J’ai utilisé une poche à eau (avec un bouchon) cet été et j’ai trouvé le système très pratique pour boire suffisamment et régulièrement sans faire de gaspillage comme le dit si bien Pat30. J’ai pris une poche de 2L mais en général je ne la remplis pas au delà de 1,25L (je ne suis pas très grande et 1,25L = 1,25 kg qui faut porter et dont je tiens compte pour ne pas dépasser les 8 kg maxi que je me suis fixés). Le côté souple et plat de la poche lui permet de se glisser facilement dans le sac (et les sacs récents ont maintenant un emplacement prévu le long du dos).
    Mais j’ai toujours une petite bouteille en plastique d’un demi litre avec moi que je remplis avant de partir (et dont je tiens également compte dans mon calcul de charge !). Cette petite bouteille me sert de « roue de secours » pour tenir jusqu’au prochain point d’eau si j’ai fini de boire le contenu de la poche. Elle me permet aussi de pouvoir remplir la poche pendant la journée sans la sortir du sac (ce qui peut être nécessaire l’été quand il fait très chaud et que l’on transpire beaucoup). On peut également s’en servir pour se laver les mains, des fruits, des légumes, une tasse, etc … ce qu’on ne peut pas faire avec la pipette. Ce faisant, il m’est arrivé de boire jusqu’à 3 litres d’eau en 25 kms.
    Je ne connaissais pas l’autre système qui s’ouvre complètement. Peut-on facilement l’ouvrir sans la sortir du sac en cours de route ?
    J’ai rencontré une personne qui utilise une bouteille plastique qu’elle porte en bandoulière dans un étui ad hoc qu’elle a ramené d’Amérique du Sud.
    Bonne journée, Martine

  • Leray Christine

    Pour moi pas de poches d eau j ai tout simplement une gourde toujours à portée de mains la boisson garde ses propriétés et reste fraîche ce qui n est pas le cas avec les poches à eau . Pas de bactéries ….
    CH.

  • val

    J’entend bien vos conclusions, cependant, je reste un peu sceptique sur plusieurs points:
    – elle ne se déforme pas, donc encombrante même vide ok. Le camelbak l’est moinsc’est vrai, mais une fois rentrer à la maison, le camelbak est aussi très contraignant (nettoyage, stockage….), d’autant plus u’en cas d’utilisation très régulière, les traitements anti-bactérien atteignent vite leurs limites
    – elle pèse lourd, oui ok, un camelbak aussi. Pour rester dans le léger, choisir la bouteille en plastique
    – et elle coute chère… le camelbak aussi !!! La bouteille en plastique à le meilleur rapport qualité/prix du marché, celui du poids/solidité également.
    – Hydratation pas pratique ok. effectivement le camelbak amène directement l’eau à la bouche sans le sortir du sac, mais quand il faut le sortir du sac, le remplir, puis le remettre dans le sac (le glisser, le mettre dans la bonne position, s’assurer qu’il ne vas pas trop bouger etc…, on perd aussi beaucoup de temps…!

    Pour moi, mieux vaut rester à la bonne vieille bouteille en plastique. Pas de surprise : Simple, bon marché, efficace et fiable.

    Le camelbak est un autre système d’hydratation que j’utilise aussi pour des évènements / conditions particulière (courses ou conditions qui nécessitent une hydratation très régulière.) Mais lors de randonnées, je préfère largement la bouteille d’eau…

    • philippe

      La « camelbak » avec son bouchon n’est pas, à mon avis, la poche idéale…
      La « source » avec son ouverture totale est bien plus pratique à remplir et à nettoyer (vinaigre blanc tout simplement) ;
      Ceci dit, une petite bouteille (0,5L) en PET en supplément peut s’avérer pratique.

  • pour avoir testé les deux, j’ai une préférence pour la poche à eau. Mais dans un soucis d’allégement et surtout afin d’éviter les microbes lors de voyage au long court, je prend du coup des bouteilles d’eau genre evian.

    Il y a aussi les solutions à base de poche farine up aussi.

    Enfin, pour les sujets, rando leger que tu connais est une vrai mine (pas forcément repomper) : exemple (comparatif exact des différents réchauds bois (home made et commercial)). Enfin y’a pleins de trucs

  • Jean-Charles

    Bonjour,
    Merci pour cette étude encore très intéressante.
    Pour moi, il n’y a pas photo : la gourde et rien que la gourde. Évidemment les bouteilles plastiques sont plus pratiques mais beaucoup trop fragiles à mon sens. Et pour la poche à eau, c’est surtout le problème bactério qui me fais souci. A ce sujet, attention au stockage dans le congélateur entre 2 rondos, comme j’ai pu le lire : les bactéries ne se développent plus mais « s’endorment » et, à la décongélation lors de la prochaine utilisation, c’est « l’explosion bactérienne » !. La pipette et le tuyau sont de vrais risques. Voilà, à bientôt.
    Jean-Charles

  • Jacques

    François,
    Je n’utilise plus la poche à eau mais plutôt une bouteille plastique avec une pipette et quand il fait très chaud j’utilise une gourde avec la pipette,l’eau restant plus fraîche.Dans les magasins,il vende maintenant des pipettes avec plusieurs adaptations de bouchons,il y a longtemps que je connaîs ce principe,j’ai un ami randonneur qui avait trouvé le système depuis longtemps, dommage qu’il n’ait pas pensé à déposer un brevet !!!
    Amicalement.
    Jacques

  • François il faudra faire un article sur la natrémie qui va de pair avec l’hydratation. Boire trop et trop vite est aussi dangereux que de boire insuffisamment, et l’apport en eau n’est pas suffisant pour compenser une sudation importante. J’ai toujours un cachet de sel avec moi (je randonne dans le sud et l’été qqlfois +50° au soleil)

  • bernard

    pour les deux sont utiles, chacun a le choix. en terme de convivialité, je retiens la gourde en rando pédestre.
    si je suis en VTT je préfère utiliser la poche, car je ne suis pas obligé de poser le pied à terre.

    chacun fait son choix!
    bernard

  • Bonjour,

    Un grand merci pour les informations.

    En randonnée itinérante et les balades d’un jour, je préfère la gourde ou une petite bouteuille en plastique.

    J’ai effectué des randonnées de plusieurs jours entre 1980 et 1990.

    Le matériel a évolué par rapport à ces années-là.

    Amitiés.

    Jean-Pierre.

  • Gen

    En ce qui me concerne, et après essais , ni poche à eau, ni gourde, ni pipette

    1- La poche à eau:
    Je n’aime pas le goût de l’eau de la poche ( alors , pas envie de boire!).
    C’est du poids dans le sac et donc sur le dos: la poche et l’eau!
    Son emplacement, dans le sac, sert pour les médocs de réserve ( utile lorsque l’on part à l’étranger pour 2 mois)

    2- La pipette pour gourde ou bouteille :
    J’ai avalé beaucoup d’air non désiré ( gourde horizontale)
    Ne fonctionne pas avec de l’eau gazeuse.

    3- Ma solution : des bouteilles de 0,5l, en PET. ( 3 ou 4). D’abord neuves puis ensuite remplies.
    Si le goulot prend une odeur, je jette la bouteille.
    Peu de poids supplémentaire.

    J’en porte 2 dans les pochettes filet d’un sac avant ( pack équilibre de raid light ) ( guère élégant mais si pratique!)
    La 3me bouteille, dans la poche côté du sac. Et une 4me, si canicule, en réserve ds le sac.
    Le topoguide à l’emplacement prévu pour la gourde ( pas de poche assez grande pour le topo sur les pantalons ou corsaires féminins)

    Régulièrement, je m’arrête pour prendre une photo. Et boire.
    Sur de longs chemins sans relief, stop pour boire ts les km ou 500m.( facile qd le chemin longe une route bornée).
    En montée, l’arrêt pour boire devient argument pour récupérer le souffle et mieux poursuivre.

    Chacun trouve la solution qui lui convient…

  • Isabelle

    Disons que tout dépend aussi quelle forme de randonnée on pratique… Pour ma part c’est la randonnée équestre, donc gourde (ou bouteille d’eau mais moins évident à caser dans le paquetage déjà pré équilibré) et de surcroît gourde militaire pour leur robustesse et leur facilité d’attache. Une gourde de chaque côté reposant sur les épaules du cheval permet de parfaitement équilibrer la charge et d’avoir de l’eau à disposition. L’idéale !

  • Daniel

    Bonjour,
    Je trouve que tous les points de vue se défendent. En ce qui me concerne, j’affirme que les poches à eau ne pas hygiéniques. Il est vrai que j’ai une eau très calcaire, mais les recommandations des fabricants me laissent pantois :
    -laisser la poche entre chaque sortie dans le réfrigérateur;
    -la purifier avec de l’eau javellisée etc.
    Je n’ose pas imaginer ce qu’il peut y avoir dans une poche opaque car avez-vous examiner dans les coudes de celles transparentes ?
    Il existe des goupillons, souvent trop petits, mais de toutes façons, ils ne vont pas dans les coudes.
    Alors, pour moi, vive la bouteille d’eau minérale à parois épaisses que l’on jette après la rando ou la bouteille métallique qui est d’un entretien plus aisé.

  • Philippe

    Bonjour,

    Les goûts et les couleurs…..J’ai lu à plusieurs reprises qu’il y avait du pour et du contre.
    Je rejoins cette observation.
    Pratiquant VTT, course à pied et raid multisports, je privilégie la poche à eau pour son côté pratique et la contenance. On peut transporter facilement 2 ou 3L dans le sac à dos sans être gêné.
    Je reconnais que le goût n’est pas toujours top. Au bout d’une ou plusieurs utilisations, ça part à la poubelle. Je n’ai effectivement pas encore trouvé une poche à eau facile d’entretien (mais j’ai peut-être un plan, faut que je teste). Par contre, il m’arrive très souvent de pratiquer la rando. Dans ce cas, je privilégie la bouteille ou la gourde parce que je suis moins dans l’esprit de compétition, j’ai donc davantage le temps de me poser pour me désaltérer.
    Lors d’une marche sur terrain accidenté, il peut être préférable d’opter pour la poche à eau. Je pense que le choix peut donc s’orienter en fonction de la nature et de l’intensité de l’activité.

    A+
    Philippe

  • jocelyne

    En tant que débutante, j’utilise pour l’instant la petite bouteille d’eau minérale (2 ou 3 si nécessaire) qui a l’avantage d’éviter les bactéries. Si je peux dégotter le tuyau fléxible à pipette qui se visse sur une bouteille plastique dont parle « mulbob » je serais parée dans un premier temps. J’aviserai ensuite pour les plus grandes randos.
    Merci de permettre la concentration de tous ces avis, si différents et donc si intéressants.
    Jocelyne

    • Daniel

      Il n’y aurait pas de bactéries dans l’eau minérale ?

      (Boutade)

    • Bonsoir,
      J’utilise la pipette Convertube qui s’adapte sur toutes les bouteilles plastiques (voir photo dans le contenu de mon sac à dos sur mon site). Je trouve cette option intéressante et abordable (environ 12 € chez Décathlon).
      A+
      Serge

      • Annie

        Il me semble que la pipette convertube est la meilleure des solutions au point de vue hygiène. Le soir tu rinces ta bouteille, et tu la laisser sécher ouverte. Ainsi, pas de développement de bactéries. Quand tu t’en es servi quelques jours, tu remplaces la bouteille. Je choisis des bouteilles plastique d’eau minérale dures de 1 litre.(que je remplis par la suite à ma convenance bien sûr).
        J’en emporte deux . Lorsque l’une est vide, je change le tube de bouteille.

        • Michel

          Pour ma part je ne fonctionne qu’avec des bouteilles plastique pour eau gazeuse (2×1,25l). Très solides et étanches. L’une en réserve et l’autre accessible très facilement tout en étant dans la poche ad-hoc du sac à dos (un Grégory, vraiment pensé pour ça).
          Il m’arrive parfois d’utiliser la bouteille comme cale-nuque durant les siestes…

  • Christian

    En surf, suite à une chute sur le dos où se trouvait mon sac à dos avec une gourde rigide: fracture du rein, foie ttuméfié, 3 cotes cassées. conseil: quelquechose de souple.

  • Bruno

    Bonjour,
    Mon GR20 en 2010 m’a beaucoup appris. Et depuis, voila mon équipement. Pas de poche à eau, donc reste la gourde et la bouteille PET. La gourde : bidon aluminium 0,6 litre, insérée dans sa housse isolante avec passant pour sangle ventrale du sac à dos. Ainsi la gourde reste accessible au niveau de la hanche, pas besoin de s’arrêter pour ouvrir le sac à dos, pas besoin de se contorsionner, pas besoin d’appeler à l’aide. Ensuite 1 ou 2 bouteilles en PET genre Lipton Ice Tea de 1 litre dans le sac à dos, qui en transvasant, font office de recharges. Faut bien s’arrêter un peu pour souffler! Changer les bouteilles PET de temps en temps cause hygiène. Pour la randonnée, je n’ai pas trouver mieux car aucun entretien. Pour le VTT, ça le fait moins.
    Bonnes randonnées.

  • Salut François,
    Perso, j’utilise une gourde isotherme Quechua d’1,5 litre (un peu lourde, certes) avec une pipette Convertube qui s’adapte également sur les bouteilles en plastique. Mais bon, j’ai peu d’expérience… une seule randonnée itinérante de 16 jours en Bretagne. Je débute également dans la création de mon site internet. A ce sujet, je trouve le site Randonner Malin bien construit et riche en information : une référence pour un débutant comme moi.
    Bonnes randonnées 2012.
    Serge

  • François

    Bonjour à tous,

    Merci pour vos commentaires qui complètent bien l’article et qui montrent qu’il n’y a pas de solution idéale, mais que cela dépend des besoins et des préférences de chacun.

    A très bientôt,
    François

  • Danielle

    En route sur le GR 10 en étapes depuis deux ans, j’ai utilisé les deux. bouteilles PET la première année et poche pour la seconde année.Les deux me conviennent, même si j’ai l’impression de moins boire avec la poche. aussi, cette année, je prendrai les deux. poche et bouteille.J’utilise des bouteilles d’Hépar qui sont juste à la taille de mes poches de côté. Je dois dire que je bois beaucoup et que je porte bien 2 à 3 litres minimum par jour an rando.

  • Joe

    Bonjour à tous !

    J’ai essayé les deux; ma préférence va aujourd’hui à la gourde SIGG de 60 cl. dans sa housse que j’accroche par le velcro autour de la sangle de réglage de mon sac, et j’assure l’accroche par un mousqueton.
    Les deux inconvénients majeurs que je reproche à la poche (en fait, j’utilise une gourde rigide de 1,5 l. que je place dans mon sac et sur laquelle je visse un tuyau souple), c’est
    – comme Danielle, je bois moins « à la pipette »
    – j’ai beau nettoyer et sécher le tuyau autant que je veux, je ne peux m’empêcher de trouver rapidement un goût désagréable à l’eau.
    L’avantage incontestable de ce système par rapport à la gourde traditionnelle, même très accessible comme la mienne actuellement, c’est qu’il permet de se réhydrater en plein effort, même si on est essoufflé, alors que la gourde nécessite un arrêt (même court) et un contrôle de la respiration, ce qui fait que j’attends souvent un moment « stratégique » pour boire, ce qui entraîne parfois un coup de barre inopportun 😉

    Maintenant, s’il existe un système de succion parfaitement inodore, je suis preneur! Quelle marque et quel modèle ? la combinaison des deux systèmes me parait en effet idéale

    Joe

  • valerie

    Je garde ma gourde, plus facile a entretenir a remplir, et permet de faire des pauses pour boire, j’en prends plusieurs et le poids bien repartir dans le sac n’est pas un problème.

  • Guillaume

    Bonjour à tous,

    Pour moi tout dépend de la randonnée et de son type (sportive ou balade)
    Si rando à la demi journée : bouteille PET
    Si rando à la journée, temps chaud : bouteille PET + poche à eau
    Si rando en itinérance : plusieurs bouteilles reparti sur nos deux sacs et une poche à eau de 2,5l .

    Pour moi il faut faut tirer parti des avantages de chaque, et bien préparer ça rando .

  • Marie-Madeleine

    Encore une fois MERCI pour tes rubriques que je trouve très intéressantes .Pour ma part je n’ai pas encore testé la poche à eau ,car je suis très satisfaite de mes gourdes.
    Comme je suis très optimiste je vois toujours un coté positif dans les inconvénients.Par exemple ,le fait de s’arreter pour boire avec une gourde,permet de faire une petite pause photos ou simplement d’observer le paysage, surtout en montagne. Ceci dit je rien contre la poche à eau.

    Marie-Madeleine à bientot

  • Cyril

    bonjour,

    Pour éviter le goût de plastique des poches à eau, je rajoute quelques gouttes d’antésite à la menthe. Jamais de sucre (bactéries)! Donc à vtt, c’est poche à eau (pour boire en roulant), à pied c’est une ou plusieurs bouteilles d’Hépar 1L (elles sont assez costaud) ou 0,5L (toutes marques), re-remplies à l’eau de source ou du robinet à l’occasion….

    Bonne rando!

  • Daniel

    Re,
    Je viens de lire le commentaire de Philippe. Merci pour le lien où on peut visionner la poche. Je vois qu’elle possède un coude. je confirme qu’aucun goupillon, à ma connaissance, ne va pouvoir nettoyer cette portion de tube donc c’esp là que va se développer un foyer de microbe.
    Je suis avec grand intérêt ce sujet car toutes les semaines je me pose m’intrerroge en remplissant mon ou mes bidons métalliques.
    A bientôt

  • Hubert

    Pour moi la poche à eau et ce qui est le plus pratique pour la randonnée.
    Je suis équipée d’une poche de marque source qui s’ouvre complètement, ce qui permet de la néttoyer et de la faire sécher rapidement. De plus le remplissage est très facile
    Ce produit se trouve dans tous les magasins de sports

  • Christian

    Très bon article; mais encadrant des groupes en randonnée depuis bon nombre d’années, je reste un adepte de la gourde ( bouteille plastique dans poche isolante, plus réserve dans le sac ) car tous les randonneurs d’un groupe n’ayant pas les mêmes contenants, il est nécessaire de faire des pauses boissons judicieuses: temps, paysages, problème, etc ; en particulier pour les débutants qui ne savent pas se gérer et les femmes qui ont tendance à ne pas boire suffisamment….Randonner c’est marcher avec plaisir sans trop se fatiguer pour apprécier l’environnement; ce n’est pas « dégoutter » des gens fatigués en marchant qui passent leur nuit à résorber les crampes et se bourrer de cachets !…A chacun de se gérer dans sa discipline et d’utiliser le matériel le mieux adapté; mon rôle est de conseiller les randonneurs afin de les revoir sur les sentiers et de les emmener progressivement plus haut et plus loin !…

  • Hélène

    Bonjour,
    moi j’ai toujours eu des bouteilles pour les randonnées d’un jour et toujours eu aussi un mari qui servait de bourricot pour trainer toutes nos bouteilles d’eau (moi je trainais l’appareil photo).
    Là je traverse l’Atlantique, sans le mari, pour faire le GR 65, avec une copine, mon sac à dos est un Aura 35 et je me suis achetée un poche de marque Platypus.
    Mon problème est que je ne trouve pas cela évident à rentrer dans le sac à dos, ni facile à passer dans le petit trou pour le tube. Devrais-je vider chaque jour mon sac à dos pour remplir ma poche ?

  • Roberto

    Bonjour et merci pour tous ces commentaires.
    Personnellement j’utilise une gourde en alu,que j’ ai entourée d’ un sac isotherme confectionné et adapté à la bouteille avec un convertube. J’ai aussi un sac isotherme pour les bouteilles d’un litre et demi, Je randonne en hte montagne et j’ en suis satisfait.Concernant mon convertube après chaque rando je le nettoie avec de l’ eau légèrement javélisée que j’ injecte tout en appuyant sur l’ embout,puis je rince plusieurs fois et le tour est joué.

  • Bernard

    Bonjour,
    juste ma petite contribution. Comme beaucoup d’entre vous j’utilise pour la rando sur plusieurs jours et quand le poids est primordial des bouteilles plastiques de differentes tailles, avec un tuyau d’aspiration visse sur la bouteille sur laquelle je bois. C’est beaucoup plus leger qu’une poche a eau, plus facile a nettoyer, coute beaucoup moins cher, plus facile a remplir. Il faut faire attention aux fuites dans le sac (tenir la bouteille verticale), je ne mets le tuyau que lorsque c’est utile. On sait exactement la quantite d’eau que l’on a. C’est facile de changer une bouteille, on en trouve partout. Les bouteilles plastiques c’est tres solide, j’en utilise des petites (50cl) egalement en speleo pour avoir toujours de l’eau sur moi, je les transporte dans le kit et elles resistent bien aux chocs dans les passages etroits. Ca evite de bousiller une gourde metal qui elle va souffrir au point de perdre une partie de sa contenance.
    La seule chose qui manque a ce systeme, l’effet thermos.
    Mais je concois q’une poche a eau soit interessante dans les sports de mouvement type VTT pour un meilleur confort de portage.
    J’applique la meme philosophie (s’adapter aux situations) avec le sac a dos. Je prends toujours un mini-sac ultra leger (genre moins de 200g) de 15-20l avec des mini-sangles de portage pouvant contenir une mini-bouteille (la je rejoins le sujet ;-)), un coupe vent, un peu de nourriture, l’appareil photo. Comme ca si je veux sortir du sentier en laissant mon gros sac je peux emporter ce qui est vital.
    Bernard.

  • raphael

    Bonjour,

    Après voir fait l’essai des deux formules (gourdes et camelback) le mieux à mon avis sont les bouteilles plastiques avec embout sport 75 cl – diamètre 70 mm, car elles rentrent également dans les portes bidon de vélo et les poches plaquées des sacs à dos. Avantages: réutilisables, souples et facile à trouver en super marché.

  • gerard

    Je préfère la gourde ! Cet hiver, j’ai été témoin de poche à eau qui gelait bien plus que la gourde ( Vosges 2012, fin janvier: sortie raquettes par – 18° )
    Un p’tit truc que m’avait passé un vieux pote rando, tu enfile ta gourde dans une vieille chaussettes de rando.J’ai testé, ça « marche.
    Cordial Salut
    Gérard

  • Nathalie

    Comme tu dis gourde ou poche à eau cela dépend de l’utilisation. Pour ma part, je fais des randonnées en été comme en hiver et je préconise les deux car en hiver l’eau gèle dans les poches ou dans le tube même si on expulse l’air du tube en néoprène de ma platypus. C’est très désagréable de vouloir boire et ne pas avoir une goutte d’eau qui coule!!! La bouteille plastique est dans ce cas idéale. Par contre, quand on fait de l’eau avec de la neige il est plus pratique de mettre l’eau dans la poche à eau et de l’utiliser tout au long de la soirée et de la nuit pour boire. En été, on peut alterner la poche à eau et la bouteille pour avoir une réserve d’eau très utile en cas de surconsommation d’eau ou le temps de sa décontamination. Voilà pour ma petite expérience, je voulais également te remercier pour ce super blog où j’ai puisé énormément de trucs et astuces pour alléger mon sac sachant que je dois faire le GR20 en autonomie totale sur 14 jours, je suis toujours en recherche de gain de poids….. le letmotiv du randonneur

  • jean patrice

    Personnellement, j’utilise une ceinture (Lafuma si j’ai bonne mémoire; j’écris ce post loin de chez moi, je ne peux donc vérifier) qui contient de quoi ranger deux gourdes « cyclistes » en alu, et une petite poche frontale pour le GPS et les lunettes de soleil ou la crème solaire, le couteau suisse, les clés… Normalement, cette ceinture est conçue pour être mise derrière le dos… ce que je fais quand je ne marche que deux heures. Mais en rando, je la mets devant moi, en plus du sac.

    Avantages?
    — Je peux boire en continu, comme si j’avais une poche à eau, sans avoir à déposer mon sac
    — J’allège mon sac de 2 kg en les envoyant sur la taille, et mes épaules m’en remercient (2kg=1,2kg d’eau + poids des gourdes + GPS + couteau suisse le plus souvent)
    — Je garde la commodité de remplissage / nettoyage / entretien des gourdes par rapport aux poches à eau (les gourdes passent au lave-vaisselle, contrairement à la poche: dans le quotidien —en rando, on a rarement un lave-vaisselle ;-)—, c’est bien commode)
    — Parfois, une des deux gourdes vide me sert à ramasser des fleurs à manger ou des baies.

    Vous me direz: 1,2 litre, ça ne suffit pas!

    C’est vrai, sauf que j’emporte toujours avec moi, en rando, un petit filtre à eau qui pèse 280 gr. Certes, c’est 280 gr… sauf que ces 280 gr m’évitent très souvent de porter 2 litres, donc 2kg, inutiles! Et contrairement au micropur: aucune attente + une clarification de l’eau. Et puis, dès que l’on randonne à plusieurs, ces 280 gr sont théoriquement à partager sur plusieurs personnes et cela devient dérisoire.

    Et si jamais je suis sur une rando où je sais ne pas pouvoir trouver d’eau régulièrement, bah, j’ajoute une bouteille d’eau (gazeuse: pour sa solidité) qui me fait 1,25 litre supplémentaire pour un poids du contenant négligeable. (Rem.1: la bouteille pue à cause d’un développement bactérien? Qu’importe, le filtre retira les bactéries. Et puis, quand la bouteille est vieille, hop! au recyclage… et je rachète une nouvelle bouteille d’eau gazeuse… pour le plaisir de l’eau gazeuse, aussi) (Rem.2: une bouteille d’eau gazeuse vide peut facilement être compressée dans sa largeur sans être abîmée, et prends ainsi moins de place si besoin était)(Rem. 3: beaucoup ont déjà dit plein de choses intéressantes pour vanter la bouteille, alors je me tais!)

    2 x 0,6 litre + filtre me suffit très souvent
    2 x 0,6 litre + 1,25 + filtre m’a toujours suffi jusqu’à maintenant.

    (On peut aussi utiliser de l’eau déshydratée, très légère à transporter. Le problème, c’est qu’il faut de l’eau pour la réhydrater. Quelqu’un aurait une astuce? Je blague)

  • Leslie

    J’ai abandonné ma gourde Tétras depuis bien longtemps, pour passer à la gourde souple : http://www.sports-aventure.fr/boutique/fiche_produit.cfm?ref=source_liquitainer_1l_12&type=194&code_lg=lg_fr&num=2

    ça a les avantages de la bouteille plastique, mais c’est plus solide sur le long terme.

    Et souvent, la poche à eau aussi, qui permet, comme beaucoup l’on dit, l’hydratation régulière.

  • jak5634

    Vive la concertation :
    donc ma pierre à l’édifice 🙂
    en course ,trail , rando légère « trois saisons »:
    la poche à eau
    en rando « trek » :
    la poche à eau et toujours une bouteille d’eau de 50 cl en « réserve » (fond de sac)
    nota:
    pour éviter les prises de tête au moment de re remplir sa poche à eau (extraction!!! à partir de l’intérieur du sac )
    ma poche à eau est positionnée à l’extérieur du sac(sauf par grands froids) dans une housse adaptable (facile à se procurer chez tous les bons équipementiers

  • Jonathan

    Je ne comprend pourquoi bcp de gens sont hostile a la poche a cause des problème de moisissure/bactérie . Une simple petite pastille de micropure de temps en temps ne garantisse t’elle pas une poche « propre » et sans risque sanitaire lors de longue randonnée d’une semaine minimum ?

    • François

      Bonjour Jonathan,

      Je pense que la pastille de Micropur est une bonne idée. C’est un peu similaire aux produits qui se trouvent dans les kits de nettoyage de poche à eau.

      A bientôt,
      François

  • noebleue

    Randonneuse de longue date qui a arrêté un moment, lorsque j’ai repris en 2008 que de nouveautés!! les bâtons et la poche à eau en font partie… François j’étais réticente comme toi envers la poche. Et puis, et puis… cette année une semaine de randonnée étant prévue mais étant dans une forme moyenne je me laisse tenter par la poche à eau… une intuition on va dire!
    Bien m’en a pris car ce groupe n’avait aucun savoir vivre en randonnée!! entre autres quand ils faisaient une pause à peine j’arrivais à leur hauteur – j’étais la moins en forme du groupe – ils repartaient… je passe sur l’ambiance!!

    Du coup la poche à eau m’a permis de m’hydrater régulièrement sans stress… par chance celle que j’ai achetée n’a aucun mauvais goût.

    Mon petit truc : la poche pendant que je marche et une gourde pour le repas ; c’est quand même plus agréable.
    Un copain m’a donné un truc pour pallier le fait qu’on ne peut jamais vider la poche : la mettre au congélateur entre deux utilisations … (j’ai quand même un doute sur le développement des bactéries).

  • Alain

    Personnellement j’utilise un camelbak depuis longtemps.
    C’est en fait mon système d’hydratation principal lors de mes sorties VTT, et je le réutilise en rando.

    Si c’est le principal, ça signifie aussi qu’il y en a un secondaire…
    Bidon vélo sur le porte-bidons du VTT et gourde(s) dans le sac à dos en rando, remplacées maintenant par des bouteilles (PER ? enfin celles qui contiennent de l’eau gazeuse et qui semblent bien plus résistantes que celles d’eau plate).

    L’avantage que je trouve à la poche a eau, c’est qu’elle permet de s’hydrater régulièrement, par petites quantités, sans même être obligé de s’arrêter. D’un autre coté les bouteilles servent à traiter l’eau (micropur) et a avoir une réserve de secours (effectivement, sauf si on a acheté le compteur d’eau qui se met sur le tube, on ne sais jamais quand on va tomber en panne d’eau avec le camelbak) et au bivouac, les bouteilles sont plus pratique que la poche à eau pour cuisiner.

    Au niveau inconvénient, l’entretient est effectivement le plus gros problème. Ceci dit, certains modèles sont plus pratiques que d’autres…
    Les modèles qui s’ouvrent complétement (source) ou ceux dont l’ouverture permet de passer la main (camelbak omega ou antidote) permettent de sécher l’intérieur avec du papier absorbant ou une microfibre par exemple.
    Pour les problèmes de bactéries ou de moisissures, camelbak recommande d’utiliser au choix les pastilles camelbak, ou bien deux cuillères a soupe de bicarbonate de sodium (baking soda en anglais)
    Voir sur le site http://www.camelbak.com/Sports-Recreation/Accessories/2010-Antidote-Reservoir-100-oz.aspx rubrique « care »
    Pour ceux qui ne lisent pas l’anglais, deux cuillères a soupes de bicarbonate de sodium dans la poche a eau, remplir d’eau chaude et laisser 30 minutes en prenant soin de remplir également le tube pour qu’il profite également du traitement. Rincer et sécher.
    Personnellement, avant de rincer, je brosse l’intérieur de la poche et du tuyau avec les brosses adaptées (celles d’un kit de nettoyage que j’avais acheté en même temps que la poche).
    Je fais ça approximativement une fois toutes les dix utilisations (une fois par mois en gros, suivant mon utilisation). Le reste du temps je me contente d’un brossage, essuyage et séchage et ma poche à eau n’a jamais eu de gout ou de problème de champignons……

    Pour info, le bicarbonade de sodium, malgré un nom barbare, peu être utilisé sans danger un peu partout dans la maison, et se trouve facilement en épicerie ou grandes surfaces.
    Quand j’étais gamin on faisait de la « limonade » en versant une cuillère a café de bicarbonate de sodium dans un verre d’eau citronnée…
    Voir l’article sur wikipédia pour d’autres utilisations de cette « poudre magique » 😉
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Bicarbonate_de_sodium

  • Bonjour,

    J’ai lu l’article et survolé les commentaires, j’ ai été surprise de ne rien lire sur le Xahakoa, gourde en cuir traditionnelle du Pays Basque. A l’origine on ne pouvait y mettre que des liquides alcoolisés ce qui évitait au cuir de moisir, mais on en trouve aujourd’hui certains avec une poche en latex à l’intérieur.

    Elle combine les avantage des deux, avec comme pour la poche d’eau un encombrement lié au volume de son contenu ( je ne l’ai lu nul part, mais c’est à mes yeux un argument important).
    En plus, le bouchon offre deux possibilité de goulot: un petit jet fin avec une certaine pression qui permet par exemple de nettoyer une plaie sans utiliser 1 litre d’eau, ou une plus grande pour une grande rasade.

    Testé et approuvé par de nombreux cavaliers au long cours, dont moi.

    Photo dispo sur mon blog: http://www.zaldikleta.over-blog.com

    Bonnes randos à tous

    Pantxika

  • Jean

    Bonjour
    Tous les arguments se valent, coureur et randonneur pour ma part j’utilise les deux.
    Pour la course sur courte distance, une ceinture banane Salomon avec ses petites gourdes de 20cl, pour mettre les clefs, un ou deux gels éventuellement un coupe vent l’hiver ou ranger les gants.
    40 cl largement suffisant pour l’aller sachant qu’au retour on pourra se désaltérer.
    Un Camelback pour les couses longues.
    Pour la rando en montagne les deux, la poche à eau pour le déplacement et la gourde style militaire aplatie qui va bien dans la poche avec son quart pour me faire une soupe ou un café à la halte .
    Pour équilibrer il suffit de charger la poche opposée avec la nourriture pour le même poids. Ce n’est pas compliqué, je n’aime pas les gourdes ou les bouteilles rondes du fait de leur diamètre supérieur à la gourde militaire.
    Quand au nettoyage si la poche à eau n’a contenu que de l’eau il suffit de la rincer avec de l’eau et une goutte de javel et la faire sécher ouverture vers le bas, je n’ai jamais eu de moisissure. Il ne faut pas laisser la gourde ou la poche fermée et humide entre deux activités c’est tout.
    Par contre il faut acheter des poches ou des gourdes de marque ou d’origine militaire certifiée .

  • franck

    bonjour ,

    moi perso je ne prends ni l’un ni l’autre .

    j’ai une ceinture porte-bidons que je positionne devant moi ( au niveau du ventre ) et malgré mon sac à dos , ça ne gène pas mes mouvements .
    lorsque mon bidon ( pour cycliste par exemple ) est vide . je m’arrête et sort ma bouteille d’eau pour remplir mon bidon , j’avale en même temps une bonne rasade d’eau . et c’est reparti pour environ une heure de rando . j’ai déjà essayé les poches d’eau mais à ce jour j’ai toujours trouvé le gout déguelasse .pour la gourde , surtout si elle est en fer = trop lourde .la gourde en plastique ? un arrière-gout . arrière-gout que je ne retrouve pas dans mes bidons , sans doute parce que le goulot est plus grand donc plus facile à laver . après les gouts et les couleurs … 😉
    bonne continuation à vous !

  • hervé

    Il y a également une autre solution légère, pas chère:
    le cubi!

    si,si…
    légèreté du contenant,contenance variable 2 à…beaucoup de litres, le vin ne gèle pas trop vite, se partage en rando à plusieurs, ne prend pas le goût du plastique et peut même avoir un goût agréable. Bien sûr, çà ne servira pas à hydrater le groupe toute la journée (à mon avis du moins) et en pratique mieux vaut en user avec…réserve.
    Mais testé déjà et approuvé par le groupe ;=)

  • Rochat

    Perso j’ai une bouteille camelBag avec paille pour boir sans renverser la gourde un litre, pratique… Et pour le travail j’ai joint à mon gilet de travail porte matériel, un camelBag 3 lt car les déplacements tactique ne permettent pas de pouvoir chercher une gourde et le camelBag permet de pouvoir s’hydrater voir s’hydrater un collègue le cas échéant. Très pratique merci camelbag.

  • Edouard

    Bonjour,
    je l’avoue je n’ai pas lu l’intégralité des commentaires alors peut être que cela a déjà été mentionné mais il existe des systèmes de tuyau s’adaptant sur les gourdes.
    J’ai hésité à l’adopter mais depuis que j’ai essayé j’en suis ravi. Cela permet d’avoir une gourde facile à nettoyer et de pouvoir boire à tout moment sans poser son sac, se contorsionner ou demander de l’aide à un tiers.

  • raymond

    bjr
    moi jutilise le convers tube de chez gravicime c est indispensable on change ou pas de bouteille avec de long col style evian on nettoie le tuyau .parfois et c est parti pour 11 €
    car le camelbag ..
    il veilli tres mal et manque dhygiene
    a plus ray

  • Marc

    Bonjour François
    Merci pour cette comparaison, juste pour information, le lien vers amazon ne fonctionne plus.
    Bonne soirée!
    Marc

  • Jean-Claude

    Inconvénient rencontré avec ma poche à eau: lors d’une randonnée raquettes, par 12° sous zéro, l’eau à gelé dans le tuyau !!! On a bu du vin, du café ou du thé bien chauds, et du calvados… (avec modération, soyez-en assurés)
    Je le sais maintenant. Par des températures trop basses, mieux vaut éviter de laisser le tuyau hors du sac… ou bien recours à la gourde !

    • François

      Bonjour Jean-Claude,

      Il existe des protections en mousse à enfiler sur le tuyau pour éviter que l’eau ne gèle. Il est également possible de souffler pour chasser l’eau du tuyau et qu’elle retourne dans le réservoir.

      A bientôt,
      François

      • willy

        boujour à tous
        bonjour françois
        merci pour votre article toujours bien construit et bien argumenté

        je suis un partisant actif de l’hydratation continue en randonnée et utilisateur convaincu de la pipette(reliée à une poche ou à une gourde) j’utilisais déjà la poche à eau en randonnée roller.

        pour renchérir sur le matériel: je recommande la poche à eau « widepac » fabriquée par source-vagabond.com. plastique antibactérien solide/ ouverture sur toute la largeur de la poche/ fermée par système de rail coulissant amovible/ déconnexion facile du tuyau de la poche avec système antireflux.

        pour finir, je voudrais alimenter la conversation sur l’utilisation hivernale de la pipette.
        la protection antigel du réservoir principal ne pose pas de problème dans le sac à dos. la protection antigel du tuyau qui reste à l’extérieur est plus problématique. je préconise l’addition de plusieurs astuces: isolation multi-couche du tuyau/ bien purger le tuyau en soufflant après chaque utilisation à condition que la poche ne soit pas comprimée et qu’elle soit située bien plus bas que la pipette/ laisser le minimum de longueur de tuyau à l’extérieur/ adjonction d’un peu de sel de cuisine pour abaisser la température de congélation mais nécessite de masquer le goût par du sucré p ex et donc lavage rigoureux de tout le système après utilisation.
        décathlon vend un kit d’entretien pour poche à eau qui comprend un écouvillon pour le tuyau et un support pour le séchage de la poche. il faut impérativement déconnecter la tétine du tuyau afin de nettoyer le tuyau par les deux extrémités/ et démonter la tétine pour nettoyer chaque élément.
        willy

  • Bernard

    Bonjour
    Comment éviter le gout désagréable des pochettes d’eau et quelle marque prendre ,
    merci

  • Pierre

    Bonjour,
    Je ne fais pas de randonnées extrême (par grand froid ou en haute montagne), mais plutôt type chemins de Saint Jacques.
    J’utilise un pack avant (à savoir une sacoche ventrale) qui a l’avantage d’être conçue pour porter 1 bouteille de 1 litre et 2 bouteilles de 1/2 litre, soit 2 litres au total, la bouteille de 1 litre étant dans une gaine isolée thermiquement.
    Cela a l’avantage d’avoir sa réserve d’eau à portée de la main, de ne pas avoir de problème de bactérie puisque nettoyage facile et changement de bouteille peu onéreux, mais aussi de ne pas surcharger son sac à dos, donc mieux répartir les charges.
    Merci pour tous vos conseils.

  • Guy

    Bonjour,
    Entièrement d’accord sur ce double descriptif.
    Personnellement je combine les deux en utilisant une gourde (avec tous ses avantages) équipée de d’un convertube (lui donnant les avantages d’une poche à eau), permettant ainsi l’alimentation à la demande.
    Attention: en fonction de leurs pas de vis, tous les convertubes ne s’adaptent pas sur toutes les gourdes.

  • Caludine

    Danger bouteille en métal :
    Bonjour j’ai 30 ans de rando dans les jambes et j’ai toujours pris une bouteille en plastique. Lors de ma dernière promenade en raquettes, j’avais pris une bouteille en métal car je n’avais pas de bouteille en plastique sous la main. J’ai glissé sur le verglas et je suis tombée violemment sur le dos, écrasant la bouteille métal contre mes dorsales ! Le fond de la bouteille ne s’est pas déformé ! le choc a été si violent que j’ai perdu connaissance quelques instants. Puis, le lendemain j’ai dû me rendre à l’hôpital à cause des fortes douleurs dans le dos. Donc, on ne m’y reprendra plus ! vive la bouteille plastique.

    Pour la poche à eau, il me semble que le niveau bactériologique n’est pas forcément acceptable puisqu’elle ne sèche pas à l’intérieur, alors que la bouteille plastique sèche bien plus facilement en enlevant le bouchon et son remplacement est si facile !
    Bonnes randonnées.

  • Diana

    Bonjour à tous,

    Moi j’ai choisi la bouteille 1.5l en (type Evian) + un tuyau .
    C’est très pratique et cela n’exige pas trop au niveau du maintien en fin de randonnée.
    Par contre, le principal inconvenient pour moi semble être l’air qui remonte en même temps que l’eau par le tuyau… Du coup on avale pas mal d’air indésirable. Quelqu’un a-t-il trouvé une astuce pour éviter ça?

    A vos plumes et que ça randonne! 🙂
    Diana.

  • Gibé

    4 cuillères à soupe bicarbonate dans la poche à eau, ne pas oublier de remplir le tuyau, et laisser toute la nuit. Vider puis rincer…le bicarbonate est totalement inoffensif en cas d’absorption.
    A ce jour toujours pas décider : sac + poche à eau ou sac + bidon.
    Sympa le site
    😉

  • beatrice

    bonjour !
    moi j’ai adopté le système des deux bouteilles de 50 cl , en plastique, du commerce, et j’ai acheté pour 3 euros une tubulure à perfusion que je coupe à la dimension voulue : un peti trou dns un des bouchons des bouteilles, l’autre fixée dans une bretelle et à proximité de la bouche ; facile pour boire, léger, pas cher.
    je reprs en mai (compostelle) avec et en Afrique en septembre (à pied le long du fleuve sénégal, de la même façon.

    bonnes routes à tous pour cette année 2014
    merci forum 🙂

  • vincent

    bonjour,

    est-ce que le gagnant ne serait pas une simple bouteille d’eau minérale d’1,5 L en plastique, pour laquelle il existe maintenant des housses isothermes

    du coup il n’est plus tellement utile de faire attention à la propreté de sa gourde métallique, ni de la poche à eau

    par ailleurs il existe un système de tuyau adaptable sur le goulot de la bouteille d’eau minérale que l’on peut alors utiliser comme une poche à eau … mais continuellement renouvelée

    vincent

  • Olivier

    Bonjour

    Juste un petit message pour vous faire part d’une astuce : Les sachets de sucre que l’on trouve maintenant en grande surface font des poches à eau aussi solides que les gourdes souples type « Platypus » pour beaucoup moins cher, avec le sucre en plus.

  • Nathalie

    Allo,
    Tanné de trainer des bouteilles d’eau, je me suis acheté un sac gourde Camelbak mais …
    Comment fait on pour s’en servir la 1ere fois ?
    Comment l’eau fait pour arriver dans le tuyau ?
    Faut il enlever le bidul jaune, il n’y a aucune explication sur les cartons du produit et je ne voudrais pas le briser.
    Merci

    • Nathalie

      Ouf, enfin ça fonctionne maintenant et ça c’est fait tout seul.
      J’avais laissé la gourde sur une tablette et le tuyau pendant vers le bas et a mon retour de mon 15km de velo, en touchant au tuyau, l’eau s’est mise a descendre dans le tuyau.
      Prête pour la prochaine ride …

  • stanislas

    c’est toujours avec plaisir que je lis tes sujets très varies sur la randonnée et ses dérives,si je ne marche pas ,en te lisant ou relisant je suis dans la nature et je rêve du lendemain .tu ma demandes mon avis sur les 2 Téléchargements chaussure et sac a dos.ce sont des dossiers bien expliques et bien imagés.je suis a 100% de tes remarques , appréciations et comparaisons.
    continu ainsi François tu nous fais voyager dans ton univers que je partage
    .a+et grand merci

  • René

    Bien argumenté comme article. Mais il y a un gros bémol avec les gourdes alu (Grand tétra en l’occurence) : on ne trouve plus de rondelle caoutchouc d’étanchéité pour remplacer celles qui ont craquelé avec les années ! J’ai deux modèles 1L qui doivent avoir 30 ans ou plus toujours en très bon état – inusable !!!
    Sauf la rondelle.
    Où en trouver ? Dois-je changer mes gourdes pour des objets plus récents qui sont bien plus chers que quelques joints de caoutchouc ?
    Bonjour Tristesse …..

  • littleblue

    Boire dans du PET est malsain, surtout si l’on y met des boissons acides qui vont attaquer le matériau. Rappelez-vous que le PET est un dérivé du pétrole… santé !
    Faire de la randonnée pour se sentir bien et d’un autre côté s’empoisonner le corps est contradictoire.
    Je reste fidèle à ma gourde SIGG très légère et d’entretien aisé en ayant opté pour le compromis d’utiliser un tuyau vissé à la gourde (trouvable dans les magasins de sport) pour les longues randonnées en été, même si le goût de plastique reste rebutant. Et si on est à plusieurs je préfère que l’on se passe les gourdes.
    Pour quelques heures de marche seulement c’est la gourde uniquement.

  • Florian L

    J’aimerai ajouter que d’un point de vue « sécurité – survie », la gourde en inox portée sur soi (en bandoulière) permet de stériliser l’eau en cas de séparation avec son sac…

  • Gaston

    Bonjour les marcheurs,
    Je ne rentrerais pas dans les débats : gourde, bouteille ou poche à eau.
    Nous passons suffisamment de temps à crapahuter pour que chacun fasse son choix. Perso, je prévois un long périple Jacquaire et il y aura les deux, ne serait-ce que de pouvoir se transvaser un bon côte du Rhône dans une bouteille plastique, ou simplement se laver avec la flotte de la fontaine du village.
    C’est dommage, il y a eu de bonnes préconisations, mais qui n’ont pas été entendues car non explicitées.
    Mon expérience professionnelle me permet de vous donner quelques indications sur l’entretien des contenants quels qu’ils soient.
    Un fabricant sérieux de céramique vous dira de nettoyer un carrelage à l’eau pure, les savons du commerce contiennent des cires qui font briller, mais qui vont retenir de nouveau les traces de pas. (Pour votre savoir : utilisez du savon noir trouvé au bas des rayons d’hyper, mais uniquement s’il y a des dépôts gras) et rincez bien.
    Je ne suis pas hors sujet. ( !)
    Car ce même fabricant vous dira de rincer une dernière fois avec une eau coupée avec un peu d’acide (n’importe lequel, voire du vinaigre blanc)
    Et bien, dans les gourdes, Camel-back, bouteilles et même verres de table, l’eau dépose ses sels minéraux qui se transforment en calcaire. Le calcaire est une fine pellicule de tartre dont les pores sont très ouvertes et qui retiennent toutes les bactéries du monde et qui donnent du mauvais gout.
    Il suffit de faire partir ce calcaire avec un produit acide de temps en temps en rinçant bien. Sel, vinaigre blanc. Et pour finir, quelques gouttes d’eau de javel suivies d’un gros rinçage, votre contenant sera sain et sans odeurs.
    On comprend pourquoi il faut mettre du sel dans le lave-vaisselle et de l’acide appelé PH moins dans les piscines. (Carrelages et liners rugueux ou joints noirs) Au printemps tous les pisciniers utilisent de l’acide chlorhydrique ou sulfurique pour nettoyer des bassins pleins d’algues, ce qui aurait pu paraître insensé.
    Rendez le support lisse, tout partira ! Il suffit de paramétrer le principe dans tous les cas de la vie.
    Il vous semblera évident, qu’une poche à eau qui a du mal à sécher car il y a une lente évaporation et dont les parois sont généralement collées, peut sentir.
    Pensez toujours: eau égale= couche de calcaire= bactéries accrochées = laissez agir un produit acide pour tout virer.
    Même combat pour la plomberie, les wc qui noircissent et autres chasses d’eau qui se coincent !
    Je vous souhaite de bons périples.
    Gaston.
    Alignez un max de kilos dans les jambes, pas dans le sac.

  • Evelyne

    Il existe dans les grandes surfaces d’articles de sport des pipettes qui se vissent sur la gourde. Ainsi l’hydratation est plus facile car la gourde reste dans le sac à dos

  • Arnaud

    j’ai lu rapidement l’article et je trouve se blog intéressant et pratique !!!
    A travers différents commentaire j’ai pu lire la technique de congélation de la bouteille entre deux rando
    Surtout a éviter car contrairement aux idées reçus la congélation stop la prolifération des bactéries, mais ne détruit pas ces ptites bestioles pour autant.

    le mieux reste de désinfecté le contenant avant la rando et après la rando

  • Jean

    Bonjour François,

    Perso ayant l’habitude de la poche à eau que j’utilise très souvent pour le vtt en montagne, je l’adopte parfaitement en rando. Cependant pour les randos journée, que je fais le plus souvent, je prends aussi une bouteille ou gourde.. Surtout pour l’apéro du midi…;-)
    Bon comme je suis à la recherche permanente du poids light, je préfère prendre une bouteille plastique !! 🙂

    PS : ton site est vraiment super….merci et continue….

    Jean

  • benjamin

    Une gourde large en acier ou alu (type gourde militaire) est un excellent outil dans les randonnées sur plusieurs jours en milieu « hostile » (c.a.d aucune possibilité de ravitaillement ou d’abandon pendant plusieurs heures), en complément d’un camel back;
    Je ne citerai qu’un seul exemple: on peut remplir la gourde dans une rivière et y placer des capsules décontaminantes pour purifier l’eau. De même on peut remplir le camel à l’aide de la gourde précédemment purifiée.
    Bref, je ne me sépare jamais de ma gourde (quitte même à partir avec mais vide)

  • Hélène

    Bonjour. Depuis 20 ans je randonne à la journée ou sur plusieurs jours (tous massifs) avec ma précieuse gourde rouge en métal d’1 L. inusable , sans goût autre que celui de la boisson que j’ai versée dedans (j’emmène toujours un citron et quelques gouttes dans une eau fraîche la rendent encore plus délicieuse). Elle est incassable et inusable, garde la boisson bien fraîche et se lave très facilement avec un goupillon si besoin. Quand à l’approvisionnement, jamais eu de problème… mais je ne randonne pas dans le désert! J’ai toujours trouvé une source, une fontaine ou une ferme pour remplir ma gourde! Cela m’a valu de belles rencontres. Un grand merci pour ce blog génial que je découvre en randonnée en Lozère!

  • jean-pierre

    Question : poche à eau ou gourde ???

    confidences perso : avantage de la gourde , cela vous oblige à faire des pauses pour vous hydrater et discuter un peu en admirant le paysage et consulter sa carte .
    Par contre le liquide se réchauffe assez rapidement , j’en ais dèja oublié 2 lors de mes randos !!!!
    Par temps froid la gourde est un avantage .
    La poche à eau : le liquide reste frais plus longtemps surtout équipé de l’enveloppe thermique placé dans le sac dos il est bien calé , on boit plus souvent du fait de ne pas étre obligé de marquer des arrets .
    Pour une boisson chaude pas le top , une certaine odeur lors de la consommation du liquide , gros avantage …….les tétes en l’air ne l’oublieront pas !!!!!!!!!

  • Emmanuel

    Bonjour, pour ma part je test la poche a eau 1.5l avec une ou deux gourdes de 1 litre , ça dépend de la randonnée, si il y a pas mal de point d’eau je prend la gourde 1 L + la poche a eau , la gourde de 1 litre me servant a purifier l’eau avec les micropure et une foi purifié je met dans la poche a eau et remet un autre litre a purifié.
    L’autre gourde n’est pas indispensable en randonnée avec beaucoup de points d’eau mais c’est agréable d’avoir de l’eau a ne pas faire bouillir pour le bivouac…

    • Benoît

      Bon système de bouteille sale. Pour ma part j’utiliserais plutôt une bouteille en plastique simple pour cela (voir une bouteille souple qui prend moin de place).

      Personnellement je part toujours avec mon stocke d’eau (environ 4 litres) mais il est vrais que cela rajoute du poids.

  • Marmotte

    Mes usages :
    La gourde pour les boissons chaudes en période froide, eau bouillante à mélanger en moitié avec de la neige pour ne pas se brûler, çà double le volume disponible…
    Le reste du temps j’ai un tuyau avec embouts qui s’adaptent sur toutes sortes de bouteilles ou des poches. J’utilise donc 3 petites bouteilles type San Pellegrino d’un 1/2 litre chacune qui sont solides et pour ne pas déséquilibrer le sac avec une grosse.
    Si j’ai besoin de purifier l’eau j’utilise 3 poches d’un litre chacune : 1 pour boire, et les 2 autres en purification en décalé pour toujours disposer de suffisamment d’eau. Très efficace en pays chaud quand il faut beaucoup boire. J’ai testé en Afrique australe et c’était approprié.
    Pour nettoyer un peu de vinaigre blanc avec un peu de bicarbonate est parfait. L’eau de javel est inutile et détériore les matériaux sans compter l’odeur plutôt désagréable… L’idée de l’anis est séduisante et à retenir ! je vais essayer…

  • Benoît

    Personnellement je part en randonner avec deux gourdes en allu de 750 ml. L’une sur le sac et l’autre a la ceinture. J’ai en plus 3 bouteilles d’1 litre simple dans le sac, et je remplie mes bouteilles en allu lors de mes poses.

    Je vais aussi tester la poche a eau car il est vrais que se système est intéressant de part le fais que l’on est pas obliger de retirer le sac pour faire le plein. Donc a voir :-).

  • mary

    J’ai horreur des poches à eau …j’aime pas le vert à l’intérieur.
    J’utilise une gourde métal cylindrique 3/4 de litre et 90gr et j’ai ajouté tuyau et embout pour boire :
    . ‘ source convertube’ chez ‘ Aventure nordique ‘
    Lorsque je rentre de mes 2 mois de rando j’y laisse un peu d’eau javélisée ..rincée séchée et en attente pour le prochain départ ..

    Ensuite j’ai une réserve de 3/4 de litre de 90gr : c ‘est une bouteille métal de sirop ‘Teisseire’ dont le bouchon est vraiment hérmétique.
    Ensuite j’ai toujours dans le sac une petite bouteille de yaourt ( 10gr ) en cas de chute pour nettoyer une plaie.

  • Herve

    Jai debuté au Puy avec une gourde milItaire: sympa toujours fraiche mais tres lourde a porter ( sauf avec un ceinturon ad-hoc) donc exit
    dans la montee de l’aubrac.: essais avec des gourdes de rando ; insuffisantes en contenance par grosse chaleur et peu pratiques
    j ‘ai fini par trouver une bon « compromis »: Dans le cas de longues,chaudes et désertiques étapes » , j’ai acquis en Espagne une gourde en peau à interieur latex( multifonctions!) 1l1/2 ; S’il ne fait pas trop chaud,elle reste vide dans le filet du sac( poids nul); et si l ‘effort mérite récompense: 1/4 de Rioja ou Sangre de toro( gros rouge qui tache et quibooste!! mais pas d autres « remontants » qui risquent de deteriorer le latex. de plus dans des cas extremes( camino de Levante 46°..) elle sert à me » rafraichir le plafond » ( à condition que le niveau des soutes ne soient pas trop critique)
    donc, je reste sur ce compromis qui me va parfaitement

  • Herve

    Jai debuté au Puy avec une gourde milItaire: sympa toujours fraiche mais tres lourde a porter ( sauf avec un ceinturon ad-hoc) donc exit
    dans la montee de l’aubrac.: essais avec des gourdes de rando ; insuffisantes en contenance par grosse chaleur et peu pratiques
    j ‘ai fini par trouver une bon « compromis »: Dans le cas de longues,chaudes et désertiques étapes » , j’ai acquis en Espagne une gourde en peau à interieur latex( multifonctions!) 1l1/2 ; S’il ne fait pas trop chaud,elle reste vide dans le filet du sac( poids nul); et si l ‘effort mérite récompense: 1/4 de Rioja ou Sangre de toro( gros rouge qui tache et quibooste!! mais pas d autres « remontants » qui risquent de deteriorer le latex. de plus dans des cas extremes( camino de Levante 46°..) elle sert à me » rafraichir le plafond » ( à condition que le niveau des soutes ne soient pas trop critique)
    donc, je reste sur ce compromis qui me va parfaitement
    Non la gourde n ‘est pas morte!

  • jean samuel

    Je suis encore un vieux marcheur ! mais depuis 30 ans je marche avec petite gourde plate en alu ensachez dans un gant de toilette humide attachée sur ma bretelle droite a porté de main.

  • gomunochikin

    Bonjour et merci pour cet article !

    Quelques petits points que j’ajouterai :

    – Certaines gourdes vont sur le feu, très utile si on a plus d’eau pour en faire bouillir (la mienne est en inox)
    – Pour préciser sur la solidité : résistance aux perforations d’une gourde, en cas de chute par exemple
    – Niveau santé, on peut se poser la question du plastique (vu le gout que laissent les poches) sur la durée

  • pierre

    Tant pis si c’est un peu plus lourd, mais aprés avoir tout essayé, je suis revenu à la bonne vieille gourde militaire en alu avec sa housse en feutre pratique quand il fait vraiment chaud et le grand quart qui va sur le réchaud pour la soupe (ou le grog)…
    En plus c’est indestructible : la mienne a 40 ans et elle est encore toute propre à l’intérieur et à peine bosselée : c’est ce que l’on appelle du matériel bien amorti !!

  • Patrick

    Nous sommes (mon épouse et moi) des randonneurs occasionnels, sur une journée. Je prend des bouteilles d eau minérale.. le faît de s arrêter pour retirer les bouteilles du sac permet de souffler et d admirer le paysage (Choisir le bon endroit LOL).
    Lorsque la bouteille est vide je la compresse ce qui prend moins de place dans le sac;

  • Claude06

    Bonjour,
    Pour les disciplines hivernales (rando à peaux de phoque, ski nordique), c’est gourde métallique pour éviter la casse du plastique en cas de gel mais aussi en cas de vol plané lors d’une chute à ski. Comme je ne pratique plus l’hiver, le problème est réglé.
    Pour la rando pédestre dans le sud de la France, toute l’année, avec des températures positives, c’est bouteille en plastique d’eau minérale du commerce. Comme d’autres, je prends le temps de faire des pauses régulières pour s’hydrater mais aussi pour grignoter et/ou faire un point topo, un panorama, etc. Parfois, mais ce n’est pas systématique, je complète avec une petite bouteille de vin ou du pastis pour l’apéro à midi, avec modération.L’apéro au cours d’une randonnée pour marquer le coup a une saveur vraiment particulière !

  • jano

    Bonsoir
    Le débat dure depuis 4 ans à ce que je lis. Pour mes potes et moi, chacun a son abreuvoir. Les adeptes de la poche sont nombreux. On rigole, des déboires avec les fuites un jour ou l’autre. la bouteille d’eau de 1l 30 reste une sécurité pour les pros. Pour les autres, des bouteilles de 0.5 l pour contrôler sa conso.
    On a vieilli mais avant tjs bouteilles d’eau du commerce partout dans le monde et jamais de tourista si respect des consignes de ne boire que l’eau des bouteilles non décapsulées. La poche à proscrire car entretien difficile et gourde même inconvénient et limite de capacité.Le seul point noir de la bouteille plastique est la fraîcheur. Un peu de congélateur et tout va bien. A chacun son avis et ses astuces. Le but ne pas gâcher nos randos pour de l’eau souillée. A plus sur les sentiers

  • Max

    Bonjour,
    Personnellement j’utilise, soit une poche à eau pour les sorties à la journée, soit une poche à eau et une gourde souple pour les sorties sur plusieurs jours.
    Au-delà des avantages et inconvénients de chacun des systèmes, l’essentiel, à mon sens, est de rappeler la nécessité absolue de s’hydrater régulièrement, la poche à eau répondant parfaitement à ce principe. Mais des « récipients » placés judicieusement répondent aussi à cette problématique.
    J’ai randonné récemment avec un groupe qui pour la plupart des membres ne s’étaient pas posé la question de la nécessité de s’hydrater avant d’avoir soif (sauf ceux équipés d’une poche à eau). Résultat des courses : arrêts réguliers pour des pauses boisson (la gourde placée dans la poche latérale du sac est souvent inaccessible, il faut l’aide d’un comparse), coups de pompe de certains dus probablement à un déficit en eau.
    J’ai lu il y a quelques années un article assez complet et chiffré sur la perte en eau d’un randonneur et la baisse de performance associée, c’est assez impressionnant. Si quelqu’un connaît ces données, il est indispensable de les rappeler pour convaincre ces personnes qui nous regardent, nous les utilisateurs de poche à eau, avec un sourire condescendant, de cette nécessité de s’organiser pour remplir (la gourde ou la poche !) cet impératif.
    Merci à tous pour ce débat qui alimente ma réflexion et mon expérience.
    Bonne année 2017 sur les chemins de France et d’ailleurs.

  • Fred

    Je sais, c’est un article déjà ancien mais je rentre d’une semaine de randonnée sur la West Highland Way (Ecosse) et souhaite faire partager mes tests et mon choix final.

    Il y a 1 an j’avais acheté des gourdes chez Decathlon, le modèle métallique.
    Sympa pour la rando à la journée mais avec l’inconvénient de ne pas vraiment savoir combien il reste.
    J’ai ensuite acheté un adaptateur Convertube pour utiliser la gourde comme un hydrapack.
    Très pratique, surtout si on est pressé ou que l’on n’a pas envie de sortir sa gourde du sac à chaque fois.
    – inconvénient: pénible à rincer

    Avant mon départ pour l’Ecosse je me suis vraiment interrogé sur l’acquisition éventuelle d’un hydrapack.
    Pour finir j’ai opté pour la solution la plus simple: 4 petites bouteilles d’eau minérale de 500ml
    et voici pourquoi:
    > poids imbattable
    > facile de loger 4 petites bouteilles
    > facile à remplir à nouveau dès qu’une bouteille est vide
    > visibilité permanente de ma consommation
    > contrôle de la quantité restante > évite les surprises
    > facile à remplir, y compris avec le filtre Katadyn befree
    > si jamais je perds ou casse par mégarde une bouteille, il m’en reste toujours 3 autres en plus de la Befree

    et pour résoudre le problème de l’accès facile, j’avais une petite housse fixée à ma sangle d’épaule du sac à dos et cela me permettait d’y accéder sans avoir à déposer le sac ni à me contorsionner pour tenter d’atteindre les poches filet.
    Dès qu’une bouteille était vide, je la remplaçais par une autre.

    Sur un plan strictement perso, j’aime bien m’arrêter ne serait-ce que 15s pour boire, plutôt que de boire en marchant, cela me fait faire des micro-pauses bénéfiques et en plus j’ai le sentiment d’apprécier d’avantage.

    Conclusion:
    Pour moi, ni gourde, ni hydrapack, rien ne vaut les petites bouteilles d’eau minérale de 500ml

  • Lisa

    Bonjour,
    Je ne suis pas sûre que beaucoup de monde lira mon post mais je tenais à faire partager mon point de vue.
    Personnellement, j’ai banni les contenants en plastiques (bouteilles PET, gourdes ou hydrapacks) pour plusieurs raisons :
    – pas hygiénique : risques important de développement de bactéries ;
    – pas bon pour la santé : passage de composants du plastique (ex bpa) dans l’eau ;
    – pas bon pour l’environnement même si elles sont recyclées : on fabrique plus de 2 milliards de bouteilles en plastique par an, imaginez la consommation de pétrole et la pollution que ça génère !
    – l’eau n’a pas bon goût.
    En ce qui concerne les gourdes en métal, attention ! La plupart (voire toutes chez décatlhon) sont en aluminium, c’est un métal qui n’est pas bon du tout pour la santé !
    Je sais, je suis embêtante (restons polis !) !
    Du coup, j’ai opté pour une solution simple un gourde en inox (acier inoxydable) de la marque Klean Kanteen avec un bouchon sport (il en existe avec bouchon normal).
    Certes, elle est un peu plus chère à l’achat qu’une bouteille d’eau en plastique ou qu’une gourde en métal simple mais elle a des avantages certains :
    – elles est très légère, presque autant qu’une gourde en alu ;
    – elle est antibactérienne : les bactéries ne se développent pas sur l’inox (pour rappel dans les cuisines pro et les blocs opératoires tout le matériel est en inox !) ;
    – elle est solide et quasiment inusable, du coup, je préserve l’environnement en n’achetant qu’1 gourde au lieu de plusieurs dizaines de bouteilles en plastique ;
    – l’eau reste fraîche plus longtemps qu’avec une bouteille en plastique ;
    – facilité de nettoyage : le goulot est large et permet de la nettoyer correctement, elle passe même au lave-vaisselle !
    – elle peut contenir tout type de boisson chaude ou froide.
    Question pratique, je la mets dans la poche sur le côté de mon sac à dos, je ne me contorsionne pas pour l’atteindre et je profite de mes pauses boisson pour admirer le paysage, prendre une photo et souffler un peu ;
    Enfin, je précise que j’ai une gourde de 75 cl, vous allez dire que ce n’est pas assez. C’est vrai mais quand je pars pour la journée (principalement dans les Pyrénées), je fais régulièrement le plein dans des cascades ou de petits ruisseaux de montagne. Je n’ai pas de pastilles pour purifier l’eau mais jusqu’à présent je n’en suis pas morte !
    Voilà !

    • Aude

      Bonjour,

      Merci à François pour tous ces articles !
      Et merci à vous pour m’avoir apporté la solution que je cherchais !

      J’ai les mêmes réticences pour le plastique et l’alu (ressources gaspillées pour le plastique et matériau assez peu inertes pour les deux). J’avais donc choisi pour l’instant le verre. Je randonne plutôt sur un ou deux jours, c’est donc jouable, mais c’est LOURD !!!
      Je n’avais jamais pensé à l’inox !

      Dans l’hypothèse où tu repasserais par là, pourrais-tu indiquer le poids de ta gourde ?
      Merci

    • Mélodie

      Bonjour,

      J’avoue ne pas avoir lu la centaine de commentaires de cet article, et je m’excuse si ceci a déjà été abordé. Je me permets de mettre mes connaissances d’ingénieur matériaux en regard du commentaire de Lisa sur les gourdes métalliques.
      Presque tous les métaux s’oxydent lorsqu’ils sont en contact avec l’air et se dégradent : le fer rouille et le cuivre fait du ver-de-gris par exemple. Pour cette raison, tous les contenants métalliques sont recouverts d’un revêtement de composition chimique différente, ou dans le cas de l’aluminium et de l’acier inoxydable, c’est le métal lui-même qui va créer sa couche de protection en surface en s’oxydant à l’air libre. Dans le cas de l’aluminium, la couche de protection est de l’alumine, un oxyde d’aluminium, mais qu’on fabrique en couche plus épaisse (par anodisation). Dans le cas de l’acier inoxydable, il s’agit d’oxydes d’autres éléments chimiques de l’alliage, et notamment du chrome (plus de 10 % de la composition totale de l’alliage) pour la protection à la corrosion, et du nickel pour l’effet antibactérien.
      En regard du commentaire de Lisa, et par rapport aux effets sur la santé, l’alumine inerte me parait plus sécurisante qu’un alliage de chrome (je vous renvoie vers l’histoire d’Erin Brockovich si vous voulez vous faire peur avec du chrome). Il est fort peu probable que l’aluminium diffuse dans l’eau, tout comme le chrome ou d’autres éléments d’alliage de l’inox, mais au choix, je préfère tenter ma chance avec l’aluminium plutôt qu’avec des éléments plus lourds et prouvés comme nocifs pour la santé en quantités moins importantes. Mes besoins antibactériens ne sont pas non plus aussi importants que dans un bloc opératoire ;).

      Après, d’autres éléments sont à prendre en compte dans le choix d’une gourde, comme l’environnement et les procédés de fabrication et de recyclage, et chacun choisi bien comme il veut. Je n’essaie d’apporter qu’un peu de connaissances sur la chimie des surfaces. 🙂

      Bonne journée

  • Jeremy

    Bonjour,

    Je début la randonnée, et je m’intérroge sur l’achat d’une poche à eau ou de gourdes en aluminium.

    Je viens d’avoir une mauvaise expérience sur ma dernière randonnée avec des bouteilles en plastique. Elles étaient dans les rangements extérieures de mon sac à dos (prévu à cet effet) et elles sont devenus chaudes très rapidement à cause de leur exposition au soleil.

    Quel est le meilleur produit (entre la poche à eau et une gourde) pour conserver au mieux la fraicheur de l’eau ?

    J’écarte la solution de mettre la bouteille dans le sac. Je l’ai essayé, ce n’est pas pratique, c’est trop long d’accès.

    Je vous remercie de votre attention.

    • François Jourjon

      Je pense que le mieux pour vous sera une poche à eau. Ça vous permet de la mettre dans le sac et de l’isoler un peu de la chaleur. Pensez par contre à bien souffler dans le tuyau après chaque utilisation, sinon l’eau va vite chauffer dans celui-ci.

      A bientôt,
      François

    • Denis

      une dizaine de glaçons dans la poche, de préférence un modèle isolé par un manchon en néoprène comme sur les anciens Camelbak et ça reste frais toute la journée même quand il fait 40°. Utilisable seulement en rando à la journée évidemment…

  • Bruno

    Perso, j utilise 4 bouteille plastique de coca 50 cl.
    Soit je les utilise toutes ( si je sens le manque d eau dans les heures à venir, ce qui est rare)
    Soit j en rempli 2 , 1 dans ma poche pantalon sur le genoux et 1 autre tout aussi facilement accessible dans mon sac dorsal.
    Soit 1 seul quand les sources sont abondantes et que je rempli au fur et à mesure que je rencontre de l eau.
    Bref, cela me permet de maîtriser mon poids d eau lors de grand trek.
    Autre avantage, lors des nuits froides ( hiver par exemple) je rempli mes bouteilles d eau bouillante . Bouteilles que je glisse dans le sac de couchage pour passer une nuit au chaud.
    (Non, elles n ont JAMAIS eclate)
    Et encore un autre avantage, je mets des sachets de thé tout au long de la journée + sucre . Bref, j ai du nestea , qui plus est , parfois chaud.
    Et une dernier astuce, j ai toujours a porte de main une tasse en plastique qui me permet de boire même avec un léger filet d eau.

    @+
    Pti yéti

  • Robin

    J’aime beaucoup la structure de l’article sous forme de duel, c’est original ^^

    Pour ma part, le gagnant est la gourde ! J’ai trouvé quelques modèles isothermes en inox pour pas trop cher, et maitenant, ma gourde ne me quitte plus 🙂

  • David

    Je pense qu’un autre inconvénient du Camelbak est la contenance et la difficulté à le nettoyer. En revanche je vous l’accorde il est beaucoup plus simple d’utilisation et de transport.

  • Denis

    J’utilise le même Camelbak depuis bientôt 20 ans en rando VTT / marche nordique, moyennant un nettoyage rapide de la poche après chaque sortie et un nettoyage au savon en profondeur tous les mois environ +/- du Milton (le désinfectant à froid pour les biberons) de temps en temps et ça ne sent jamais mauvais. Peut être parce que j’utilise exclusivement de l’eau où ont infusé à froid pendant 24h 4-5 feuilles de menthe poivrée du jardin par litre 😉

  • Redfish

    « Entretien. Il n’est pas toujours facile de faire sécher sa poche à eau entre deux utilisations – le développement des bactéries s’y fait souvent plus rapidement que dans une gourde de randonnée. Cependant, certaines poches à eau ont des traitements antibactériens pour pallier à cela. »
    > On trouve depuis quelques années des poches avec ouverture large (tout le haut).
    Facilitant ainsi le nettoyage et sechage.

    « Les boissons autres que l’eau ne sont pas recommandées – pour éviter le développement de bactéries et moisissures. »
    > Ni plus ni moins que les gourdes…
    Par contre, le plastique souple employé dans les poches à eau à tendance à garder le gout de ce qu’on met dedans (jus, sirop, autre…).

    « Poids. Les gourdes sont souvent plus lourdes que les poches à eau. Surtout qu’une seule gourde de randonnée suffit rarement pour une journée. »
    > On peut aussi prendre 2 bouteilles d’eau minérales de 1l… 40gr la paire.
    Soit plus de 2 fois plus léger qu’une poche à eau de 2l.

    « Hydratation pas pratique. Il faut enlever son sac à dos pour s’hydrater ou trouver un autre système. Certaines personnes accrochent leur gourde à portée de main à l’aide d’un petit mousqueton ou demandent à leur coéquipier de les aider. Mais c’est rarement aussi pratique qu’une poche à eau. »
    > On peut aussi mettre ses gourdes dans les poches filets du sac à dos.
    Si il est bien conçu, on ne devrait pas se démettre l’épaule en les prenant, sac à dos sur le dos.

    Je rajouterai dans les inconvénient des gourdes… le bruit.
    Ca fait floc floc quand on marche dès que la gourde n’est plus pleine.
    Pas de soucis de ce type sur les poches à eau.

    Sinon, je rajouterai une autre alternative.

    Une soft flask (ou deux) de 500ml accrochée à une bretelle de sac à dos (ou mieux, dans un filet de bretelle si le sac en est équipé. Comme ce qu’on trouve sur les sacs gilet de trail).
    Et on rajoute une platypus de 2l (contenance maxi 2.4l) dans le sac à dos (dans la zone prévue pour la poche à eau ou dans le volume principale du sac).

    Avantages:
    -Léger avec 28+36=64gr (pour 2.9l max transporté)… rapport poids/volume imbattable.
    -On sait quelle quantité on boit.
    -Pas de bruit.
    -Soft flask à portée de main.
    -Platypus pouvant être placé où on veut.
    -Platypus et flask ne prenant pas de place une fois vide.
    -Bon marché (10+10=20€).
    -La platypus ne prend pas le goût du liquide qu’on met dedans (la soft flask oui par contre).

    Inconvénient:
    -Il faut transvaser l’eau du platypus vers la flask régulièrement (pendant une pause).

    Pour ma part, j’ai 2 flask de 500ml (dont une avec une boisson isotonique) et 1 poche à eau de 1l quand je fait une sortie à la journée (gilet trail, le volume de rangement suffit).

    En rando/trek, j’ai 1 flask de 500ml, 1 platypus de 2l (2.4l max) dans le sac et 1 platypus de 1l (1.2l max) pour mon filtre sawyer.
    Ainsi, si le point d’eau est loin du bivouac, je peux anticiper et emporter 4.1l (dont 1.2l d’eau « a filtrer »)… et tout ça pour 88gr.
    De quoi voir venir.

    🙂

  • quenta

    Comme le dit l’article, il n’ y pas de solution miracle, ça dépend de l’utilisation de chacun 🙂

    J’aime pas trop les poches à eau à la base, car ça me prend de l’espace dans le sac, et je veux également pouvoir sortir la gourde/poche facilement pour pouvoir la remplir à la rivière (là c’est mon soucis d’organisation, je suis sûr que certains sacs sont bien rangés 😉
    De plus, j’aime bien pouvoir facilement vérifier combien d’eau il me reste.

    Jusqu’à présent, j’utilisais 2 gourdes 1.5L alu de chez D4, avec un adaptateur pipette source 🙂
    Le coté alu garde l’eau fraîche assez longtemps (bon c’est pas complètement isotherme, mais bon)
    Je mettais les 2 gourdes dans les grandes poches extérieures de mon sac, et c’est parti avec la pipette.
    La gourde c’est pratique pour le repas ou le refuge, un peu plus qu’une poche à eau je trouve.

    Forcément, vient rapidement le problème du poids en rando avec bivouac et/ou autonomie ….
    Une gourde 1.5L à 185g environ, c’est pas anodin 🙁
    Je vais donc me tourner vers des gourdes souples, ou bien des bouteilles d’eau. Toujours avec la pipette, indispensable, et encore plus avec des sacs au-delà de 45L je trouve.

    Après on pourra me dire, rien ne m’empêche de mettre la poche à eau dans la poche latéral de mon sac… c’est vrai 🙂

  • Sebastien

    Les avantages et inconvenient de la gourde vs la pohe a eau sont bien presentes.
    Toutefois cet article est peut-etre le plus frustrant du blog :). Pourquoi?
    Parce-que Francois estime que « peu de personnes utilisent des bouteilles d’eau ».
    Ce qui est, a mon humbre avis, totallement faux (et meme si c’etait vrai j’ai envie de dire « et alors »?).
    En fait selon moi, une majorite de randonneurs utilisent maintenant des bouteilles d’eau.
    Sur les grand sentiers U.S. style Apalachian Trail ou PCT par exemple plus de 90% des thru-hikers utilisent des bouteilles d’eau. Et ce n’est n’est pas par hasard. La bouteille a des avantages enorme niveau prix, poid, volume, flexibilite, compatibilite avec les purificateurs d’eau, etc…

    Peut-etre un nouvel article un de ces jours pour comparer gourde / poches a eau et bouteilles en plastique?

    • François

      L’article date presque d’une autre époque.
      Effectivement une bonne partie de randonneurs utilisent maintenant des bouteilles d’eau (ça a toujours été une option de choix pour la randonnée légère), mais la gourde faisait vraiment partie de « l’attirail classique » du randonneur auparavant. Ça semble être un peu passé de mode.

  • Isabelle

    C’est pas mal d’être obligé de s’arrêter pour sortir une gourde du sac! ça fait une excuse pour une petite pause ;-))

    • Lérins

      Bonjour
      Exactement, c’est aussi mon point de vue. Je ne vois pas ce qui peut empêcher de s’arrêter x fois pour boire, ça prend moins d’une minute pour sortir la bouteille, boire et la ranger ! On est en rando (en principe contemplative…), pas en trail ni à l’ironman !!! Cet obsession du chrono est pour moi une énigme.
      Je n’ai toujours pas fait ma révolution technologique (!) et je préfère la bouteille en plastique 1,5l basique s’il n’y a aucun risque de gel. Par ailleurs, ce souci écologique soudain contre le tout- plastique a créé un besoin d’acheter des gourdes parfois à des tarifs prohibitifs dont certains savent exploiter le filon commercial…
      Je bois autant sinon plus d’eau que ceux qui utilisent un tuyau, j’aurai simplement mis 10mn de plus qu’eux, c’est quoi à l’échelle d’une journée ? Pour preuve, j’avais aujourd’hui dans mon sac 30l deux bouteilles de 1,5l soit 3 litres d’eau à ma disposition ! Peuvent ils en dire autant ?
      Je crois que beaucoup confondent randonnée et trail !

  • Jean-Yves

    Bonjour
    Une astuce pour eviter le developpement des bactéries dans une poche à eau, entre 2 périodes de randonnées, je range ma poche à eau dans le congélateur, cela fait au moins 4 ou 5 ans que je fais cela et aucun problème de déterioration 🙂

  • Dupont

    Bonjour
    Pour info il existe des système de tuyaux qui s’adapte sur les bouteilles d’eau et qui transforme en qq sorte une bouteille en poche à eau ce qui permet de boire sans l’aide de personne ou sans devoir enlever son sac à dos.https://www.intersport.fr/gourde_convertube-source-p-2031160KC2/