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Pourquoi je n’utilise jamais de poncho de pluie en randonnée

Posté par : François Jourjon 25 janvier 2012 228 commentaires

Poncho pluieSavez-vous ce qu’est un poncho de pluie ? Un poncho de pluie (ou cape de pluie) est un vêtement généralement sans manche, avec un trou pour passer la tête, et une capuche. Une pèlerine est un vêtement assez similaire, mais avec des manches. Les ponchos et pèlerines s’enfilent par-dessus le randonneur et son sac à dos, et ont pour but de les protéger des intempéries.

Comme le titre l’indique, je n’aime pas les ponchos. Mais d’où me vient ce mépris pour les ponchos ? J’y viens tout de suite.

Pour ma première grande randonnée, j’étais allé au Décathlon le plus proche de chez moi afin de m’équiper. Je m’étais rendu dans le rayon « randonnée » et j’étais tombé sur un poncho de pluie coûtant quelques euros. Je me souvenais avoir déjà vu des randonneurs avec ce genre de capes et je m’étais rapidement convaincu que c’était le meilleur choix pour me protéger des intempéries.

J’ai ensuite pu tester ce poncho de pluie très rapidement, le premier jour de randonnée pour être exact. Première impression : pas facile à enfiler. Deuxième impression : effet sauna. Troisième impression : ne protège pas du vent. Je vous passe les autres impressions…

Pour tout vous dire, à ce moment-là je n’étais pas sûr que j’aimerais la randonnée – c’était mon premier jour, j’étais mouillé, j’avais un sac très lourd et je ne voyais pas à plus de 20 mètres. C’est uniquement le lendemain matin au lever, une fois la vue dégagée, que j’ai compris que j’aimais la randonnée.

Alors voici quelques raisons pour lesquelles je n’utilise jamais de poncho.

Les raisons pour lesquelles je n’utilise jamais de poncho de pluie en randonnée

  • Poncho randonnéePénible quand il y a du vent. Le poncho a tendance à s’envoler dès qu’il y a du vent et ne reste pas bien en place. La pluie arrive même parfois à atteindre le randonneur ou son sac à dos. Il est possible d’utiliser un cordon en ceinture pour limiter cela – mais il y a quand même des morceaux de tissus qui prennent toujours le vent.
  • Ne coupe pas du vent. Le vent s’engouffre dans le poncho facilement créant un courant d’air. S’il fait chaud, c’est assez bénéfique car cela évacue la transpiration. Mais s’il ne fait pas chaud, vous aurez probablement froid, car cela ne vous coupe pas du tout du vent. Pour en savoir plus sur le vent et son effet, lisez cet article.
  • Pénible à enfiler. Les ponchos ne sont pas très faciles à enfiler et à enlever, et requièrent parfois l’aide d’une autre personne. Certains s’enfilent plus facilement, car ils ont des fermetures éclair, des boutons pressions et des cordons de serrage par exemple.
  • On ne voit pas bien ses pieds – voire pas du tout. C’est vraiment quelque chose que je trouve assez dangereux sur terrain difficile. Il est cependant possible de pallier à cela en utilisant un cordon comme ceinture.
  • Inconfortable. Je trouve que les ponchos ne sont pas confortables car ils restreignent les mouvements. Quand on a un poncho par-dessus le sac à dos, on a l’impression de ne pas pouvoir bouger librement.
  • Peut s’accrocher. Les ponchos sont généralement assez lâches et peuvent s’accrocher facilement dans ce qu’il y a autour (branches, ronces, etc.). Avec des trous, ils sont beaucoup moins imperméables ! 😉
  • Pas pratique pour marcher avec des bâtons. Le poncho de pluie protège mal pour marcher avec des bâtons de randonnée car les bras « sortent » du poncho. Les pèlerines pallient en partie à cet inconvénient.
  • Certains ponchos sont étanches et non-respirants (comme celui dont je parle au début de cet article). L’effet sauna est dans ce cas garanti et vous serez mouillé par votre propre transpiration. Si vous suivez ce blog régulièrement, vous devez déjà avoir lu l’article sur l’imperméabilité et sur la respirabilité, où j’aborde le problème de la non-respirabilité de certains ponchos et vestes de type k-way.
  • Il n’est pas possible d’utiliser son poncho de pluie pour d’autres activités de plein air. Imaginez faire du VTT, du kayak ou de l’escalade avec un poncho… A l’inverse, vous pouvez avoir une veste imperméable et respirante qui vous serve pour plusieurs activités.

Malgré tous ces inconvénients, beaucoup de randonneurs utilisent les ponchos. Pourquoi ? Car ils ont des avantages certains. C’est pourquoi, même si je ne suis pas un fan du poncho, je vais vous présenter certains de ces avantages.

Les avantages d’utiliser un poncho de pluie en randonnée

Voici quelques avantages des ponchos :

  • PonchoTarpPonchoTarpIls peuvent être utilisés comme abri « tarp ». Un « tarp » signifie bâche en anglais et est utilisé comme abri pour la randonnée ultralégère. Certains ponchos peuvent servir à la fois de protection pour les intempéries pendant la marche et d’abri pour dormir le soir. Cela a l’avantage d’alléger significativement le randonneur.
  • Le prix. Ils sont souvent beaucoup moins chers que des vestes de randonnée.
  • Ils protègent à la fois le randonneur et son sac à dos. L’eau ne coule pas entre le randonneur et le sac. Avec une veste par exemple, le dos du sac à dos et ses bretelles sont mouillés – voire même plus.
  • Ils peuvent être utilisés comme abri de fortune. Vous pouvez vous abriter dessous temporairement, en attendant qu’un orage passe, ou pourquoi pas même y déjeuner.
  • Ils protègent le haut des jambes. La plupart des ponchos de pluie descendent assez bas et protègent le haut des jambes – ce qui n’est pas le cas avec une veste.
  • Certains ponchos sont imperméables et respirants. Ils vous permettent donc d’évacuer une partie de votre transpiration. Ils sont par contre souvent moins performants que des vestes de randonnée.

Le mot de la fin

Vous avez maintenant un bon aperçu des avantages et inconvénients des ponchos. Il y a vraiment deux partis : les randonneurs qui adorent les ponchos et ceux qui les détestent.

Je ne pense pas qu’il y ait un choix meilleur qu’un autre, cela dépend de vos besoins et de vos contraintes. Quoi qu’il en soit, si vous choisissez un poncho pour randonner, évitez vraiment les ponchos de base et prenez un poncho respirant.

Personnellement, j’utilise une veste imperméable et respirante pour me protéger des intempéries. Pour protéger le contenu de mon sac à dos j’utilise soit une housse de pluie autour du sac à dos, soit un sac imperméable que je glisse dans mon sac à dos. dans lequel je mets les affaires qui doivent rester sèches.

Après avoir lu cet article, vous savez ce que je pense du poncho. Et vous, avez-vous déjà utilisé un poncho de pluie ? Qu’en pensez-vous ?

Auteur : François Jourjon

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228 commentaires

  • Marie-Christine

    Bonjour,
    En 2009, en tant que randonneuse novice !! pour ma 1ère grande randonnée 15 jours, j’avais le genre de poncho qui sert de sauna !!!
    En rentrant, et en attendant mon 2ème départ, vite vite au magasin de sport acheté un poncho respirant… c’est mieux, mais non il ne protège pas complètement, je me souviens d’un jour de pluie, toute la journée sans arrêt, et bien ça traverse !! Ca dégouline sur les chaussures.
    Par contre, je me souviens d’un jour de grand vent et de froid dans l’Aubrac (2009), un randonneur qui est devenu un ami nous a conseillé de mettre le poncho et le sac à dos par dessus, pour protéger du vent et cela nous a aussi protégé du froid, vu qu’il ne se glissait plus sous le poncho…. Merci PE

  • Pascal

    Bonjour,

    Je suis comme toi en ce qui concerne le poncho … beurkkk
    Pour ma protection contre la pluie, une veste (avec capuche attenante) vraiment imperméable et respirante + protection pour le sac à dos me sont suffisant.
    Je garde toute la mobilité et la fluidité dans mes mouvements (surtout si je trébuche !).
    Bonne continuation pour la suite.

    • Jean Luc

      Une veste respirante n’est pas fonctionnelle dans les conditions ou elle devrait être utilisée : S’il pleut, la membrane ne peut plus jouer sont rôle puisque l’humidité extérieur (et l’eau à fortiori) empêche la vapeur de sortir. Le Gore Tex est une vaste fumisterie que ne fonctionne qu’en labo dans des conditions particulières de température et d’humidité ou quand il fait beau et chaud lorsqu’elle est inutile.

      • François Jourjon

        Bonjour Jean-Luc,

        Avez-vous déjà essayé des vestes imper-respirantes et les avez-vous comparées avec des vestes non respirantes ?

        Je suis d’accord sur le fait que quand la membrane est saturée, la respirabilité est moindre voire quasi-nulle. Mais le tissu extérieur des vestes imper-respirantes est déperlant pour éviter cela.

        A bientôt,
        François

        • Gael

          La membrane shakedry de chez gore TeX est top. L’eau glisse dessus et ne s’y accroché vraiment pas donc la membrane n’est jamais vraiment saturée. La respirabilite est top. Je suis toujours sec à l’intérieur après 1h15 de course. Probleme: la membrane est fragile. On ne peut pas laisser un sac à dos dessus sans l’abîmer. Ma veste a un soufflet mais je pense qu’il serait léger dans le cas d’un sac de 40L

    • Chantal

      Bonjour pour notre randonnée vers compostelle chasue annee on en croque un bout!!! Nous avons opté pour une vedte et un pantalon imperméable
      Leger cela ne nous empetre pas

  • sarah

    Pas adepte du poncho non plus. J’ai eu l’occasion d’en essayer un l’été dernier qui n’était pourtant pas le modèle 1er prix. Résultat : ça gouttait sur le bas de mes jambes ! Je préfère une veste. Et je protège mes affaires avec un sac poubelle.

  • Patricia

    Moi, j’aime bien le poncho, bien sur ça n’est pas 100% au sec lors de très grosses et longues pluies, mais je trouve que c’est ce qui limite le plus les dégats…

    • Laurence

      Le poncho, quelle mauvaise idée ! J ai essayé une fois pour me protéger de la pluie. Le lendemain : lumbago, c était horrible et bien sûr cela a gâché ma semaine de rando. Ben oui, pas de circulation d air plus beaucoup d humidité donc l horreur ! Je ne saurais que le déconseiller !!!

  • De guitare

    Je connais pas le poncho de randonnée, je connais la version pour vélo qui elle est plus judicieuse. Cependant ce genre de truc sont fait pour protéger de la pluie, pour le reste c’est vrai que c’est toujours un peu un handicap. En fait c’est bien quand on bouge pas :-).

  • Thierry

    Le poncho n’est absolument pas adapté à la marche en montagne, une glissade et le temps de sortir les bras pour se rattraper je vous dit pas la gamelle, non pas pour moi.

    • François

      Bonjour Thierry,

      Je pense que l’on peut effectivement rajouter cet inconvénient à la liste avec le fait que l’on peut marcher dessus et trébucher dans les montées ou les descentes raides.

      A bientôt,
      François

  • Utilisé un peu en vélo par le passé (uniquement pour l’eau qui arrive du haut et en ayant prévu des attaches à l’avant et à l’arrière) je ne l’utilise plus depuis que je pratique la randonnée pédestre pour les mêmes raisons évoquées dans l’article. J’ai vécu des cas en montagne où des personnes marchaient dessus dans les passages escarpés et heureusement que le poncho a laché en se déchirant car la chute aurait été inévitable et dangereuse. Il en est un peu de même en plaine quand il faut emprunter des franchissements de clôtures ou des passages étroits car cela s’accroche partout et contribue à sa rapide détérioration.
    Pour l’abri de fortune, il vaut mieux une couverture de survie épaisse. (déjà testée)

    • François

      Tout à fait d’accord pour la couverture de survie.

    • Lolo

      Peut-être la couverture de survie, oui, mais si c’est pour se protéger de la pluie, achtung aux orages !!
      Les témoignanges sont très divergents à ce sujet, mais par mesure de précaution, j’éviterais. Perso, c’est peut-être idiot, mais sous orage, je ne serais pas tranquille sous CS, même allongé et mon bâton rangé.

      • François Jourjon

        C’est vrai que sous l’orage, ce n’est pas génial par contre.

        • Denis

          Pour ma part, randonneur depuis une vingtaine d’année, j’ai opté pour une pèlerine. Elle ne prend pas le vent par dessous, elle protège bien les jambes si en plus on met des guêtres. les manches permettent de marcher avec les bâtons. Le sac à dos est au sec. Et pour éviter la condensation à l’intérieur, il suffit d’ouvrir la fermeture éclair (sauf en cas de forte pluie de face). Le seul inconvénient c’est le poids et le prix si l’on veut un article de qualité.

  • Hélène

    Je comprends les arguments contre, mais sur le GR65, pour une pélerine débutante, je dois quand même pas sauter des clotures non ?

    Alors vous faites quoi pour vous protéger ne serait-ce qu’un peu les jambes ?

    • François

      Bonjour Hélène,

      Certaines personnes randonnent en short avec des petites guêtres pour éviter que l’eau ne rentre dans les chaussures. Personnellement, j’utilise un sur-pantalon imperméable et respirant s’il pleut beaucoup.

      A bientôt,
      François

    • Claude

      Bonjour les amis. Parti seul en 2013 a 62 ans en partant le 3 mai du PUY j’ai cheminé jusqu’à Fisterra (4 juillet) J’ai eu 27 jours de pluie sur 30 pour rejoindre St Jean. Mon poncho a été très utile. Pas facile à mettre seul, c’est vrai, le retirer pour accéder au sac, compliqué, tous cela est exact. Avec mes guêtres et chaussures imperméables, je n’ai pas été mouillé. En questionnement, je suis aller à ma rencontre sur ce chemin. Si possible le faire seul et entièrement. Une incroyable expérience humaine. Retour en autocar (30 heures) jusqu’à Besançon avec un changement à Burgos. Ce retour « lent » permet de se réadapter. A la vie « trépidante » de notre société. Bien à vous amis randonneurs. Claude.

  • Hélène

    alors dans ton sac à dos tu dois avoir ta veste et ton pantalon imperméable et ton couvre sac à dos imperméable ?
    Mon sac à dos n’est qu’un petit 35 litres pour une petite madame et à le regarder je ne peux y loger grand chose. (mon sac à dos -osprey aura 35- ne comprenant pas sa house malheureusement. C’est pour cela que je pensais prendre le poncho, pour n’avoir qu’un seul truc à trainer.

    Quand nous partons pour une journée en montagne, mon mari traine une pantalon et une bonne veste imperméable comme pour la pêche. mais là mon sac à dos de compostelle est un peu trop plein.

    Je trouve ça difficile de choisir tout ce matériel quand on ne s’y connait pas. Ce fut pareil pour le débat bottine de randonnée ou soulier de randonnée 🙁 J’ai choisi des Lowa soulier, je les aime beaucoup, mais certains ne jurent que par la botte haute…

    • François

      Bonjour Hélène,

      Effectivement, ce n’est pas facile du tout de s’y retrouver dans tout ce matériel ! Je ne sais pas si tu as déjà utilisé un poncho, mais tu risques quand même de te mouiller les pieds et le bas des jambes car l’eau dégouline du poncho.

      Quand je prends un pantalon imperméable, je n’ai qu’un autre pantalon de randonnée. Certaines personnes préfèrent ne pas prendre de pantalon imperméable et avoir deux pantalons (dont un de rechange). Au final, c’est un choix personnel – le poids est à peu près équivalent dans les deux cas.

      A bientôt,
      François

  • Jean-Claude

    apparemment peu de randonneurs savent se servir d’une cape de pluie, et c’est dommage
    40 ans que je randonne avec !
    il faut savoir l’acheter et l’utiliser en réfléchissant un petit peu !
    prendre une cape respirante (un peu plus onéreuse)
    surtout qui s’ouvre devant
    se mettre face au vent pour la mettre, et d’un coup sec la passer par dessus la tête
    la coincer sous le sac, ou mettre un lacet, pour ne pas qu’elle s’envole
    dans les montées, faire un nœud en bas, ou prendre les velcro en quiconce
    et surtout pas de poncho à 4 sous !

    • Hélène

      merci je prend note !

    • François

      Bonjour à vous,

      Entre ceux qui détestent les ponchos et ceux qui ne peuvent pas s’en passer, il y a au moins un point sur lequel on s’accorde : pas de poncho bas de gamme pour la randonnée !

      A bientôt,
      François

    • Daniel

      Je suis ancien motard et ancien militaire et le poncho, lorsqu’il est bien utilisé est idéal (très léger dans le sac à dos). J’y rajoute une casquette à visière pour éviter l’écoulement sur le visage. D’accord il faut y mettre le prix. Sinon, il faudrait utiliser des survêtements de pluie de marin-pécheur ou de motard entièrement étanche, donc sauna assuré. Il n’y a rien d’idéal, mais dans ce domaine on reste dans le compromis utile à la plupart des randonneurs moyens.

      • Marion

        Bonjour,
        Je suis adepte du poncho de randonnée, mais le dernier que j’ai acheté n’est vraiment pas imperméable en cas de fortes pluies. Avez-vous des conseils de modèle ou de marques à nous donner?
        Merci par avance.

  • Abdelali, animateur de randonnée en moyenne montagne, Taza, MAROC

    Bonjour, le port du poncho est vraiment embêtant pour les raisons que vous avez mentionnées.Je m’en suis servi une fois lors d’une randonnée sous bois, mais j’étais contrarié par les branchages mais surtout par toute l’eau de pluie qui ruisselait dans mes chassures et sur mon pantalon et depuis j’ai décidé de la bannir de mes affaires de randonnée.Je le porte dans mon sac pour servir de tarp quand quelqu’un veut changer de vêtements…

  • Hélène

    Bien sûr si on rentre chez-soi chaque soir la question est bien différente de mettre 20 kilo sur son dos.
    Mais pour faire le chemin de compostelle chaque gramme est soupesé…

    • marie

      Pour compostelle sur 2 mois.1700 km, j’ai longuement hésité mais je l’ai pris et je n’ai pas regretté.
      J’ai des manches et une fermeture éclaire, il est respirant. Il m’a servi pour poser mes affaires hors humidité lorsque je pliais ma tente ; pour m’asseoir ; ou pour poser sous le tapis de sol quand je ne montait pas la tente… et, par gros temps de pluie : efficace même avec beaucoup de vent.
      Comme le dit Jean Claude c’est une question d’habitude. Dès que le temps est vraiment menaçant je me mets face au vent pour le percher sur mon sac et je le laisse pendre prêt à être enfilé, manches coincées dans mes bretelles de sac pour ne pas le perdre… J’ai effectivement dû faire attention aux barbelés et aux passages en chicanes pour ne pas le déchirer !.. aucun problème avec les bâtons !
      Les pantalons mouillés (matières techniquee) pas grave ça sèche rapidement dès qu’il y a un peu de vent… je vous rassure on en meut pas !!

      • Xiane

        d’accord avec Marie… poncho avec manches et ouverture totale devant. Les bras restent libres pour parer à toute éventualité et utiliser les bâtons en toute sécurité. Pour les jambes, guêtres hautes par-dessus le pantalon et chaussures étanches (ou presque…) parce que après une journée de pluie battante, il ne faut pas rêver… Nous avions eu la chance en arrivant au gîte, d’être accueillies par une charmante dame qui avait prévu une pile de journaux pour assécher nos chaussures. Elles n’étaient pas totalement sèches le matin, mais avec une bonne paire de chaussettes bien sèches, elles ! tout s’est bien passé 🙂 Autre avantage du poncho ouvert devant, dès qu’il y a une accalmie vous pouvez ouvrir le poncho et vous aérer sans avoir à le quitter complètement… et le refermer rapidement en cas d’ondée… Ah j’oubliais ! une bonne casquette à visière bien rigide pour abriter le visage, épatant !

      • Marion

        Merci pour vos conseils. Quelle était le modèle de votre poncho s’il vous plaît?
        Merci par avance

      • TCHI-TCHI

        Oui le poncho c’est bien pour moi en marche nordique, j’utilise un sandow pas trop moche pour la taille cela évite qu’il se relève

  • michele

    Moi aussi j’ai banni le poncho il y a longtemps , après avoir été aveuglée , sur une crête , par le poncho sauvagement rabattu par une belle bourrasque de vent ! J’en achète seulement pour nos petits-enfants ( because finances ) lorsqu’ils randonnent avec nous , mais à la fin de la rando c’est de la dentelle . Je crois qu’ils en sont guéris pour le restant de leur vie !

  • patrice

    Je pense que je suis de l’avis un peu général, je ne suis pas friand du poncho, je préfère porter une veste déperlante avec capuche ou casquette. Pour moi, comme tu le dis je pense qu’il faut un poncho respirant mais je connais pas. le modèle de base est vraiment effet « bouillotte »

  • Sanne

    pour etre tout a fait honnette, je n’utilise plus guere de poncho non plus. Mais ce n’est pas parce que je les trouve desagreables. Mais c’est un truc en plus a mettre dans les sac qui est plutot lourd et cvolumineux, et en general, cela ne « remplace » pas une veste. Mais j’ai un poncho qui n’a pas les inconvenients mentionnes ci-dessus: c’est cpoupe dans un sac rectangulaire bien ample, avec un trou pour la tete et les mains.
    – Pénible quand il y a du vent. non ca descent assez bas et protege jusqu’a peu pres au genous meme par vent
    – Ne coupe pas du vent. pas vrai pour le mien, au contraire
    – Pénible à enfiler. non pas vrai pour le mien
    – On ne voit pas bien ses pieds – voire pas du tout. pas vraiment vrai pour le mien, mais bien sur, je ne ferais pas de l’escalade avec. C’est pour la marche
    – Inconfortable. effectivement ce n’est pas un vetement technique, mais ca ne gene pas pour marcher
    – Peut s’accrocher. c’est surement un peu vrai. En Islande ou au Ladhak, cela ne m’a pas gene
    – Pas pratique pour marcher avec des bâtons. pas le cas pour le mien, qui m’a ete vendu comme poncho, non comme pelerine.
    – Certains ponchos sont étanches et non-respirants … c’est vrai pour le mien, mais ce n’est pas un pb du poncho mais du vetement non respirant
    – Il n’est pas possible d’utiliser son poncho de pluie pour d’autres activités de plein air. comme deja dit, c’est surtout qu’il faut de toute facon une veste, donc le poncho est en plus. Et le mien est assez lourd.

    Dans les avantages: le mien ne fait pas abris (il a la forme d’un sac rectangulaire), mais quand il ne pleut pas c’est un super tapis de sol lors des pause sur terrain humide, ca peut servire de sac solide pour faire un depot de materiel, …

    voila, ce n’est pas si mal le poncho. Mais je le remplace de plus en plus par un ensemble veste, surpantalon goretex … et je triche un peu, je vais aussi plutot dans des regions ou il pleut peu (-:
    Par contre, en velo, je trouve toujours qu’un bon poncho expres velo, c’est nettement mieux que juste la veste et le surpantalon.

  • Bonjour, Je suis d’accord aussi, ce n’est pas pratique du tout et cela facilite l’écoulement de l’eau dans les chaussures.
    J’utilise des bonnes guêtres et un sac protecteur pour mon sac à dos, en cas de pluie faible, j’ai toujours un parapluie léger dans le fond de mon sac.

    • oilean

      Randonneur regulier en moyenne montagne, et gr compostelle. Pour mon avis :la pelerine a manche efficace! Par contre, comme signalee pour remplacement, la Couverture de survie : a banir totalement en cas de pluie orageuse _ souvent associee a la foudre.Electricite et metal en association mortele. Quant au parapluie, retourne au premier vrai coup de vent et mobilise constamment une main. Pas adepte du tout. J ai depuis longtemps une pelerine, a manches donc. Contrairement a ce que je lis, c est bien etanche, coupe parfaitement le vent. Une fois bien mise, (face au vent, je la balance vers l arriere, sans aide, et j enfile les manches), attachee, (fermeture eclair pour la .mienne), bat un peu mais ne se retrousse pas en cas de coup de vent. Pratique en rando marche classique, tant qu il y a du sentier. Pas en escalade ou terrain tres accidente.ou foret/buissons.N empeche pas de voir ou je met mes pieds. Des guetres (ou sac plastique pour petit budget)protegent les bas de pantalons, et dessus de chaussures… Les manches de la pelerine , faut les choisir larges et amples, assurent une totale liberte et etencheite des bras pour bien tenir les batons de marche. Je prefere ma pelerine plutot qu a avoir des bretelles et dos de sac toujours mouilles longtemps apres la fin de pluie. Inconvenient de la pelerine, la capuche toujours mal commode, coince les mouvements de tete. Et faut mettre une casquette a visiere pour eviter la pluie dans les yeux, c est tout. Enfin, question de budget. 10 fois moins cher q une veste et pantalon goretex. Pas du tout le meme poids dans le sac ni usage comme bivouac qui m a deja sauve la mise. Mais je ne pense pas a convaincre. C est mon vecu. Adete ou pas, Bonne marche !

      • dominique

        Un truc pour enfiler le poncho ( que j’utilise de manière inconditionnelle depuis 30 ans). Habiller d’abord le sac à dos de votre poncho et mettre ensuite le votre sac sur le dos , le poncho étant déjà en place sur le sac.

        • François

          Aviq partagé, c’est ainsi que je procède. S’agissant du poncho ou pèlerine, je maintiens que c’est la seule protection efficace sous une « drache » sévère. Mais il faut choisir : un « poncho » pèlerine avec des manches élastiquées aux poignets, une fermeture par zip ou velcro totale, sur le devant, un « lacet » en partie basse pour limiter le risque d' »envol », une « poche » dorsale pour bien « prendre » le sac à dos et bien sûr, une matière imper/respirante (en fait, surtout imper car, pou la « respirabilité », il ne faut pas rêver. En tout état de cause, les vestes « imper/respirantes » ne sont pas longtemps imperméables : guère plus d’une heure sous une averse corsée. Quant à la « déperlance » de surface, elle n’est efficace que sous une pluie modérée et pas plus d’une heure.
          Protéger son sac avec la housse prévue à cet effet ne protège que le dos, pas le côté « bretelles ». En tout état de cause, aucun sac n’étant étanche, il convient de ranger le contenu dans un grand sac-poubelle ( solide: genre sac pour déchet de jardin: 100 l, mais on peut retailler). Tel est mon avis qui ressort de ma vieille expérience (79 ans) . Mon poncho date du début des années 80 et il est toujours efficace. Je l’ai utilisé partout : ce n’est pas le rêve, bien entendu. Nota on peut toujours le réimperméabiliser en utilisant le spray Nikwasx: très efficace et ne supprime pas la respirabilité. François, le vieux pèrègrin.!!!

  • Olivier

    Poncho pas génial, c’est exact. Juste un point positif supplémentaire. Lors d’un besoin (grosse commission) à la sortie de la tente en pleine nature un matin d’averse, vous pouvez l’enfiler ‘cul-nu’. Il protège le papier WC des gouttes et surtout votre corps accroupi.
    François, merci pour les dossiers.

  • christian

    Bonjour,

    Très intéressant l’article sur le poncho,
    je pense que les nombreux points négatifs sont trop nombreux a mon avis.
    J’en ai un avec manches que je trouve couvrant et surtout très léger…..
    Pour moi aucun point négatif.
    Christian

  • nicole

    Helen, j’utilise un poncho – pèlerine – régulièrement en randos et aussi l’année dernière du Puy à St Jacques lors des rares journées de pluie. A part le fait que je nai pas encore la technique parfaite pour l’enfiler, je ne retrouve pas tous les inconvénients décrits. Il a des manches donc ne me gene pas pour marcher avec des batons ou me retenir en cas de chute, A moins de porter des guetres, la pluie rentre dans les chaussures, avec ou sans cape. Je vois, comme avec toute autre capuche, il suffit de garder un chapeau dessous, arranger le devant dans les descentes/montées est possible, comme décrit plus haut. C’est moins lourd et moins cher qu’une veste et un surpantalon goretex.

  • Bruno

    Il est vrai qu’un poncho basique n’est pas pratique. Personnellement, j’en ai un depuis plus de six ans que j’utilise en ca s de forte pluies… mais c’est plutôt une pélérine avec des manches (on évite « l’effet remontant » quand il y a du vent, et on peut marcher avec les bâtons sans problèmes. Il faut en prendre une avec une ouverture entière devant (fermeture éclair + scratch): c’est beaucoup plus facile à enfiler, et on peut la laisser entr’ouverte en ne fermant que les scratchs et pas la fermeture éclair. Ca ventile un peu à l’intérieur et évite la condensation… Evidemment, ça dégouline sur les pieds: mais si on porte des petites guêtres ça ne rentre pas dans les chaussures!
    Avantage général: on est bien protégé et le sac aussi, car le protège sac n’est pas suffisant en cas de fortes pluies (dos du sac mouillé, lanières trempées…).
    Par contre en cas de petites bruines, une veste imperméable et respirante est largement suffisante!

  • Bernard

    Bonjour, Au bout d’une journée complète de pluie, je n’en connais pas beaucoup qui sont secs ! Le top des vestes ne reste imperméable qu’un an. Après, l’eau s’infiltre là où le sac à dos frotte. Il faut la renouveler fréquemment pour rester au sec, en haut. Mais vu le prix d’une bonne veste . . . Pour les jambes, je fais l’impasse mais je prends un pantalon qui sèche au premier coup de vent. Pour le bas, je porte des guêtres hautes, comme pour faire des raquettes. C’est très efficace pour la rosée du matin. Un bon poncho respirant pèse de 5 à 800 gr. Maintenant, je roule avec un poids minimum et je ne prends plus de veste, uniquement des polaires qui s’ouvrent devant et un poncho Raidlight de 40 gr. Il ne protège que le haut et le sac. Il est trop court pour qu’il y ait un excès de condensation. Après une journée de pluie, je suis aussi mouillé que si j’étais bien équipé mais je n’ai porté que 40 gr ! Je secoue le poncho et il est sec, j’en fait une boule et le case dans un coin du sac. Une veste de qualité, trempée, c’est 3 à 4 kg, ça met un bout de temps à sécher et c’est pas sous une tente minimaliste qu’on peut installer un étendage ! Ce n’est pas le grand confort mais après une journée de pluie et de boue, la notion de confort n’est plus qu’une vue de l’esprit ! Le top, c’est de ne partir que les jours de beau temps !

    • François

      Bonjour Bernard,

      Une veste de qualité, trempée, c’est 3 à 4 kg, ça met un bout de temps à sécher

      Je ne suis pas tellement d’accord, une veste de qualité ça pèse quelques centaines de grammes et ça n’absorbe pas l’eau. Après, je suis d’accord, le prix n’a rien à voir avec celui d’un poncho, bien que l’on trouve de bonnes vestes à des prix corrects.

      C’est vrai qu’il est difficile de rester sec quand il pleut toute la journée. Il faut gérer l’évacuation de la transpiration tout en empêchant la pluie de nous mouiller. Ca demande du bon matériel et surtout une bonne utilisation de celui-ci.

      A bientôt,
      François

    • Ed

      Salut Bernard,
      Pour les jambes j’utilise un pantalon de pluie avec fermeture eclair et boutons aux côtés. J’ouvre les côtés quand il fait chaud.
      Je ne suis pas vraiment fan des guêtres puisque la pluis peut toujours rentrer par dessus, coulant des jambes. Sinon il faudrait avoir des guêtres qui montent au dessus des genoux…
      Sous le poncho je porte une veste coupe vent. Ca resiste à la condensation.

      Ciao, Ed

  • Philippe

    je partage complètement l’analyse sur le poncho, et les seuls avantages que je lui trouve ne sont pas sur le dos du randonneur, tapis de sol pour la pose casse-croute, écran paravent (posé sur une clôture), abri de fortune…pour ma part je défend ardemment la housse de sac, (sans oublier à l’intérieur le sac poubelle pour garder les vêtement au sec), et les vestes « respirantes » à superposer aux autres couches…on s’y retrouve aussi question poids. pour les jambes je préfère les textiles déperlants, qui ont généralement la capacité de sécher très vite (mais attention à la sensation de froid). les guêtres sont aussi une très bonne protection.
    Et si on ne craint pas le ridicule, le parapluie peut offrir une alternative très intéressante…
    Philippe

    • Daniel

      Je suis d’accord avec ce commentaire. Je supporte très mal le poncho; ce que je lui reproche: non respirant, on a les vêtements trempés par la transpiration, alors autant ne pas le porter, au moins on n’est pas gêné dans ses mouvements. Je suis adepte des « trois couches » , tee-shirt respirant, sous-pull et polaire. Quand il pleut vraiment, je mets mon K.Way et… j’ouvre mon parapluie qui me protège de la pluie
      bien sûr mais que je peux orienter pour me protéger des rafales de vents et de pluie glaciale ou de neige. J’ai adapté un système de lanières pour le fixer aux bretelles du sac et ainsi, j’ai les mains libres pour utiliser mes deux bâtons dont je ne me sépare jamais! Dans le fond de mon sac, j’ai cependant en réserve … un poncho pour assurer ma protection lors des arrêts.
      Daniel

      • Philippe

        je suis intéressé par le système de lanières pour tenir le parapluie, car se libérer les deux mains c’est quand même une bonne idée sur certains terrains pentus, gras, glissants…
        Alors si Daniel voulait bien donner quelques détails, ce serait bien, merci d’avance…
        Philippe

        • Daniel

          Bonjour Philippe,

          Rien de bien compliqué.Tout d’abord le choix du parapluie: léger, manche téléscopique de manière à pouvoir le fixer aisément sur l’un des côtés du sac.
          Ensuite son arimage: ouvert, je l’attache à l’une des bretelles du sac à dos à l’aide de deux lanières autobloquantes, faciles à serrer et à desserrer… et afin qu’il ne bascule pas, je règle la hauteur en faisant en sorte que les baleines du parapluie me frôlent le sommet du crâne qui sert de point d’appui (je porte une casquette de marin lorsqu’il pleut, elle m’évite les frottements désagréables des baleines!) . Je suis libre de mes mouvements. Evidemment, en cas de vent je le tiens à la main.
          Bonne rando sous la pluie…
          Daniel

  • Leray Christine

    Je suis tout à fait de votre avis en ce qui concerne le poncho. Il est effectivement inconfortable retient la transpiration et ne protégé pas vraiment ..
    Je fais Compostelle depuis 2010 je ne l ai utilisé qu une fois , il rend le parcours désagréable  » dans les dénivelés  » j ai renoncé à cela. Je suis équipée de vêtements de meilleure qualité sans être gênee à la marche.
    Christi.

  • Jacques

    François,
    D’ accord avec toi sur l’ utilisation du poncho, c’est vrai l’on est très mal dedans, c’est une étuve mais en cas de très forte pluie je le met quand même en prenant la précaution de me protéger des gouttes d’eau dans les chaussures par des mini guêtres.
    Amicalement.
    Jacques

  • Jean-Charles

    Bonjour,
    Pour le moment je suis équipé d’une veste + pantalon respirants mais j’avais envie d’un poncho pour les applications déjà citées (abri, tapis de sol, protection en cas de petite pluie de durée limitée).
    Il y a l’inconvénient du poids, sinon je prendrais les 2.
    A lire tous les avis, je pense que je vais rester sur ma formule actuelle (veste pantalon, housse pour le sac.
    Merci pour tous ces commentaires. .
    Jean-Charles

  • Jacques

    François,
    D’accord avec toi,non seulement le poncho n’est pas pratique mais c’est une étuve au bout de peu de temps.Je l’utilise quand en cas de forte pluie en prenant la précaution de mettre des mini-guêtres pour éviter d’avoir l’intérieur des chaussures trempé.
    Amicalement.
    Jacques

  • Catherine

    Et le parapluie ?

    Apparemment aucun partisan du parapluie de rando… je vais donc être la première à vanter cette solution.

    Je dis bien parapluie de rando : ultra-léger (207g pour 1m d’envergure), sans métal (armature en fibre de verre très souple et très solide, aucun danger en cas d’orage), résiste à un vent assez fort, et très efficace aussi contre les uv et la chaleur car il existe en version réflectorisée.

    – Avantages : super respirant, orientable, abrite parfaitement le haut du corps jusqu’aux genoux, – de toute façon sans guêtres hautes on a très vite les pieds mouillés que ce soit avec veste ou poncho – protège aussi le sac, la pluie ne le traverse jamais, peut servir d’abri de fortune et de signalisation (réflectorisé), très efficace contre le soleil agressif en montagne, peut s’ouvrir à la moindre goutte et se refermer tout aussi vite pas de manipulation laborieuse. Se transporte sur le sac comme un bâton ou un piolet. Et bien sûr peut être utilisé en ville : look impeccable !

    – Inconvénients : il faut le tenir donc renoncer à un bâton (il existe des systèmes « mains libres » permettant de le fixer aux bretelles du sac, mais ce n’est pas très convaincant), pénible si le vent dépasse constamment les 50 à 60km/h. Pas très pratique en sous-bois, évidemment.

    • monique

      Très intéressant et tentant comme idée; où trouver un tel parapluie ? d’autres messages parlent de fixation facile sur le sac à dos qui libère les mains.
      Pour ma part, j’ai choisi une pélerine très grande taille pour bien couvrir mes jambes, mais avec la marche, elle remonte en général au dessus du genou et c’est pire; je déconseille donc cette option; quoique, avec un pantalon qui sèche vite, ça n’est pas non plus un gros problème, s’il ne fait pas trop froid, ou avec un sur-pantalon respirant.
      Par contre, quand il pleut sans vent, quel plaisir de marcher sous la pluie avec une pélerine, sans se mouiller et avec le sac et son contenu bien au sec !
      Sans compter toutes les utilisations déjà citées du poncho (ou de la pélérine).

    • Chantal

      Tout à fait d’accord pour le parapluie de randonnée léger et pratique pour abriter aussi l’appareil photo ou consulter la carte.
      J’ai fait le chemin de Stevenson sous la pluie et le vent et le parapluie était idéal. On peut aussi s’en servir le soir après la douche pour visiter le village étape sans avoir à enfiler à nouveau une cape mouillée et boueuse. Enfin il ne tiens pas bcp de place et sèche rapidement au gîte.

    • Bonjour
      Moi aussi je suis adepte du parapluie quand il pleut un peu … et , quand il pleut beaucoup , je ne marche pas… Parce que la rando c’est du plaisir , pas de la galère. ET faudra qu’on m’explique ce que des gens font dehors en montagne avec des vents de 60 à l’heure .. Allo la météo !!

      • François Jourjon

        Je peux te le dire en ce qui me concerne. Même si je préfère la plupart du temps randonner quand il fait beau, j’aime aussi les sorties dans des conditions météo difficiles. Et je pense que ça vient du fait que j’ai un goût pour l’effort et ce que les anglophones appellent le « fun de type 2 », c’est-à-dire quand ce n’est pas forcément plaisant sur le moment mais que ça l’est en rétrospective.

  • Pascale

    Bonjour à tous, plutôt adepte de la veste et de la housse de sac, je me suis offert un poncho récemment après une bonne douche (housse du sac certes impreméable mais de fait dégoulinant sur mes reins, puis sur la veste qui elle même dégoulinait sur les cuisses…avec le froid pas top). Par contre, consciente des problèmes de respirabilité, d’amplitude du poncho (je mesure 1m60), j’ai ciblé mon achat. J’ai mis un peu plus cher mais ai choisi un poncho respirant, taille M (donc je ne me prends pas les pieds dedans -ça m’était arrivé lors d’essais précédents-), avec une attache entre les jambes, des boutons pression entourant chaque cuisses; au niveau des manches un élastique dans lequel on passe le pouce permet de maintenir le poncho en place. Après plusieurs essais, j’en suis contente et ne regrette pas. Il n’en reste pas moins une visibilité réduite en terrain pentu…mais rien n’est parfait…

  • DANIEL

    J’ai utilisé le poncho (décathlon) et après de nombreuses randonnées ou par fort vent, il me servait de cache-nez, en temps de pluie, si cela ne traversait pas toujours, la transpiration faisait le reste. Et surtout je trouve son utilisation très dangereuse en montagne testée à l’occasion d’une descente très pentue et glissante par temps de pluie et vent. Manqque de visibilité des pieds, encombrement, accroche dans les branches. J’utilise maintenant une veste respirante en gore-tex.

  • Gen

    Bonjour à tous..
    Un simple « retour d’expérience ».

    En 2010, pour vivre le chemin de Compostelle en France, j’avais estimé que sac poubelle intérieur, sur sac suffiraient pour protéger les vêtements de rechange. Et marcher en T-shirt et pantalon technique. Sauf que j’ai souffert de vent glacial. Vêtements secs, oui, mais sac trempé malgré le sur sac!

    En 2011, pour l’ Espagne, pèlerine de bonne qualité, respirante et à ma taille, ( sous le genou quand portage du sac.). Pas de problème pour l’usage des bâtons.
    Un sac poubelle réservé à la grosse pluie au fond du sac protégeait de l’humidité des chemin, lors des pause. Tous les vêtement sous sacs ziploc.

    2 comportements:
    a- Si pluie fine, supportable : sur sac; et marche comme en 2010, avec chapeau de soleil pour protéger les lunettes des gouttes. ( veste goretex dans sac.)

    b- quand grosse pluie durable : ( étapes juste avant l’arrivée à Santiago)
    * tout le contenu du sac placé dans le grand sac poubelle resté comme neuf car non utilisé.. Et donc plus efficace!
    * veste goretex ( je n’ai pas eu froid!)
    * sur sac
    * chapeau de soleil
    * pèlerine respirante protégeant aussi le sac!
    * Je n’ai pas utilisé la cordelette prévue pour serrer pèlerine.

    Ce n’est pas parfait mais ce fut efficace.
    Un autre « truc » : ne pas pauser au café avec les autres et avancer plus vite m’a permis d’arriver à l’étape avant les trombes d’eau que les copains ont subies.. Ecouter les prévisions météo, c’est utile, parfois.

  • val

    Bonjour,

    Permettez moi de nuancer un peu ces propos. D’abord attention aux généralités et à ne pas tirer de conclusion trop hâtives: vous concluez clairement contre le poncho, et précisez « Il y a vraiment deux partis : les randonneurs qui adorent les ponchos et ceux qui les détestent. » Un peu rapide, et l’article prend pas mal de raccourcis : l’utilisation du poncho dépends aussi beaucoup de nos habitudes, nos capacités, et notre connaissance du terrain.

    Je suis parfaitement d’accord avec vous pour dire qu’il n’est pas adapté à la marche, surtout en montagne (on ne voit pas ses pieds, prises au vent etc…). L’inconvénient le plus mis en avant dans l’article est le problème de la respirabilité, qui est certes une problématique, mais pas forcément la majeure! Néanmoins, il demeure un élément basique de sécurité, peux être utilisé de mille et une façons et a des centaines de domaines d’applications qui ne sont vraiment mis en lumière ici…

    Tout d’abord, comme tout matériel, cela dépend de l’utilisation que l’on en fait ! Vous abordez l’article, très logiquement, sur une utilisation très classique du poncho (protection du randonneur). Mais le poncho reste un remarquable outils sur bien d’autre domaine: abris, tapis de sol, sursac, protection du matériel et vêtements secs, apporté de l’opacité, bivouac en milieu humide ou sur neige, paravent, faire un casse croute au sec (alors que tout est trempé!), isolation du sol etc…

    Aujourd’hui par exemple, je ne prend pas un poncho pour une sorti à le journée en montagne , même si des précipitations sont prévues. Par contre sur plusieurs jours, je ne partirai pas sans. En Scandinavie, il m’a plusieurs fois permis de garder l’intérieur de la tente au sec alors que l’on patauger dans 5 cm d’eau dehors. Idem pour les vêtements. Dans les Pyrénées, pas plus tard qu’hier il m’a encore permis de manger abrité du vent, et de ne pas être directement assis dans la neige. Et je n’ai été le seul a apprécier… Quelques randonneurs frigorifiés m’ont aperçu, et se sont empressé de venir s’abriter du vent et profiter du thé fumant !

    Dans beaucoup de cas, les personnes sont mécontentes car le poncho protège mal de la pluie (surtout bas des jambes) ou ne respire pas. Essayer de prendre la pluie une journée entière, je ne connais aucune veste gore tex (ou autre) quelque soit sont prix qui vous garantira de rester 100 % au sec. Par contre, garder des vêtements secs dans le sacs pour le bivouac est largement possible.

    De plus, les reproches par rapport au poids sont justifiés, surtout en comparaison à la couverture de survie. Mais le poncho reste beaucoup moins bruyant, et surtout beaucoup plus polyvalent. La critique du poids n’est pour moi pas vraiment fondée car, comte tenu des usages multiples qui peuvent être faits avec le poncho, on observe souvent un gain de poids: je vais utiliser (et porter) qu’un poncho, alors qu’un autre se trimbalera des sacs étanches pour ses vêtements, un sursac, une protection pour son duvet, sans doute un tapis de sol supplémentaire, etc… Un seul objet = multiples usages.

    Conclusion: le poncho ne s’utilise pas en l’enfilant, mais il s’utilise avec la tête !

    • marie

      Complètement d’accord avec toi… alors que j’ai longtemps hésité, il fait partie maintenant de ma liste… pour toutes les raisons que tu donnes !

  • Il est certain que le poncho de pluie doit être utilisé pour des sports on l’on transpire peu ou à des moment autre que avec un sac à dos de 30 ou 25 kilos . Par contre pour moi un poncho m’as sauvé la vie le jour on mon vêtement de pluie m’as lâché … Autre chose c’est un outil polyvalent pour la vie en pleine nature et léger donc moi je ne me permettrais pas de dire à quelqu’un de ne pas avoir de poncho avec lui car c’est un superbe outil (quant on connais c’est possibilités). Autre chose il est vrais que si il fais froid ou si il pleus je prend d’autre vêtement je par pas sans rien en espérant que le poncho me serve de blouson et d’imperméable et de tente…

    Les autres possibilités : abris , peu remplacer un sac à dos , sert à récupérer l’eau de pluie ,à s’asseoir quand le sol et humide , (protèges le l’humidité sur un matelas végétal, sous un matelas de randonnée) , permet par grosse pluie de limiter aux vêtements de pluie d’arriver au point de saturation…
    Mais protège aussi du vent contrairement à se qui est dit plus haut .
    Après se n’est que mon avis à plus et simpas quand même t’est articles .

    • val

      + 1 Je suis parfaitement d’accord :
      « c’est un outil polyvalent pour la vie en pleine nature et léger donc moi je ne me permettrais pas de dire à quelqu’un de ne pas avoir de poncho avec lui car c’est un superbe outil (quant on connais les possibilités) »

  • Isabelle

    Et bien ma fois, s’il est possible que pour la randonnée pédestre le poncho n’est peut-être pas le plus efficace, par contre je ne suis pas d’accord en ce qui concerne une autre forme de rando’ : la randonnée équestre…
    En effet rien de mieux pour cette activité qu’un poncho qui protège non seulement le cavalier mais la bagagerie. Au niveau des jambes en cas de grosse pluie, un sur pantalon imperméable permet de ne pas avoir le bas du corps mouillé. Afin de ne pas avoir l’agacement d’un poncho qui s’envole, se soulève ou se déchire dans la moindre ronce, il faut le choisir dans une bâche ou toile suffisamment lourde.
    Donc pour ma part et pour mon type spécifique de rando’, c’est jamais sans mon poncho !

  • Philippe

    Bonjour,

    En effet, le poncho n’est pas très indiqué pour toutes les raisons exposées ci-dessus.
    Les marques s’efforcent, en effet, de faire preuve de créativité pour au mettre au point des vêtements de haute technicité qui permettent de pratiquer une activité outdoor dans les meilleures conditions possibles. Ce n’est pas l’offre qui manque !

    Cordialement,
    Philippe

  • Olivier

    Comme dit plus haut, le poncho, par rapport à son poids dérisoire, peut être utile dans maintes cas de figures. C’est pas pour rien que les armées du monde entier dotent leurs troupes de ce bout de plastic et pas de k-way. Essentiellement efficace en non-mouvement, neige ou pluie, il remplira un rôle certain, ne fut ce que psychologiquement.

  • Bonjour,

    Je trouve le pancho intéressant pour les randonnées de plusieurs jours en montagne par exemple pour covrir le sac à dos et mêm pour les randonnée ou balades d’une journée.

    Evidemment on transpire dedans.

    Par forte pluie, on est bien protégé.

    Je l’utile également pour les randonnées à vélo.

    Jean-Pierre.

  • lina

    Personnellements je n’ai jamais utilisé de Pencho. Je l’estime dangereux!!!. Mouillée pour moulliée!!! ça fait un objet en moins à porter . Cependant ,chacun ses habitudes et ses petites ficelles pour la randonnée la plus confortable possible. Amicalement. Lina

  • yves

    ben, tout ça est bien joli !
    mais personnellement, je transpire beaucoup, alors poncho, veste aérée ou pas, je ne suis jamais parvenu à trouver une parade pour ne pas me retrouver trempé dedans ET dehors !!!

  • Fréderic

    Entièrement d’accord, j’ai acheté un pancho au vieux campeur, j’en ai pris un qui soit correct (50 €). Je l’ai testé l’été dernier en faisant le Mont Perdu. Je l’ai utilisé dans des conditions climatiques difficiles (pluie, vent, froid), quelle galère ce pancho, je suis définitevement vacciné, je préfère de très loin la solution de la veste respirante.

  • sophie

    Pour ma part j’utilise un poncho respirant… fort pratique ! il sert à tout : abri, à protéger mon matelas quand je dors par terre, par temps de pluie « of course »… etc… etc… J’ai opté pour un modèle qui possède une fermeture éclaire sur toute la longueur, il s’enfile comme une veste, je le trouve très pratique… Certes je ne l’emmène pas tous le temps, car il pèse son poids… je le trimbale avec moi en fonction de mes itinéraires !

  • valerie

    Tout a fait d’accord, moi non plus je n’aime pas le poncho, je prefere le k-way.

  • François

    Bonjour à tous,

    Merci pour tous vos avis et votre participation, ça permet de bien compléter l’article et d’avoir un bon aperçu des avantages et inconvénients du poncho de pluie.

    A très bientôt,
    François

  • Christine

    Bonjour ! Je n’ai pas lu tous les commentaires, mais je peux vous dire, en tant que fille, que lorsqu’il pleut, et qu’on a une envie de pipi, c’est hyper pratique !!!!! Et discret !!!! :-)))

  • Marie-Madeleine

    Moi aussi j’ai testé le poncho et effectivement l’effet sauna est très désagréable .j’utilise donc une veste imperméable beaucoup plus confortable et en cas de très fortes pluies je prends un parapluie.Cependant, comme je n »aime pas avoir du matériel non utilisé,exceptionnellement je mets le poncho

    Marie-Madeleine MERCI à bientot

  • Eric

    il est vrais que les ponchos ne sont pas super pour marcher avec les batons ainsi que pour les risques de chutes . Pour moi je préfère une bonne veste respirante

  • Hélène

    j’ai bien de la misère à m’imaginer avec un parapluie en randonnée. Quand il vente trop un parapluie vire facilement à l’envers et se brise et si on marche en compagnie de quelqu’un d’autre cette personne doit surveiller ses yeux.

  • monique

    je n’aime pas le poncho avec ou sans bras car après une journée de marche sous pluie battante, la pluie coule dans les chaussures et dans vos chaussures cela fait « floc-floc » et quand vous les enlevez, et retournez les chaussures vous avez de l’eau qui s’écoule !!!
    c’est comme le KWay, mouillé dehors et mouillé dedans !

    • Oilean

      Avec ou sans poncho, quand on marche sous la pluie et sur un sol bien mouillé (goudron ou sentier) les talons renvoient des jets d’eau (voire de boue) dans les chaussures…même principe que le stop-caillasse donc : protéger la cheville et l’ouverture de chaussure. Les guêtres (même des sacs plastiques légers non serrés au mollet) sont une bonne solution.

  • Après avoir testé différentes possibilités, poncho – pélérine – KWay – veste , je suis devenu un adepte du parapluie de type Tempête , très léger en matière composite, aucune partie métallique ce qui est apprèciable en cas d’ orage , des ouvertures aménagées dans la toile ce qui évite au parapluie de se retourner en cas de grand vent et une protection parfaîte vu son diamètre couvrant assez large, le sac et la totalité du corps sont protégé, y compris les chaussures.
    Vu sa légéreté et la hauteur il suffit de le coincer dans la sangle de poitrine et je n’ai même pas à le tenir en main.

  • Gilles

    Pour ma part, parapluie aussi. Gros diamètre, en bois, double toilage aéré pour laisser passer les bourrasques de vent, rajouter une cordelette du haut du parapluie ouvert au manche cela évite un retournement et permet de porter l’engin en bandoulière, fabriquer un bel étui en toile forte avec vélocross de fermeture et vous vous servez de votre pétroc comme bâton de marche. CQFD

  • magalie

    Je pense que la combinaison coupe vent (déperlant) / Poncho peut être une solution en cas de pluie et vent. Le probleme reste de pouvoir encore marcher avec des bâtons. Nous nos sac ne sont pas imperméables (golite/jam et pinnacle), je prévois donc un sac poubelle à l’intérieur du sac à dos afin de proteger le contenu.
    Mais il va de soit que selon le terrain, il faut choisir la meilleure combinaison possible…
    merci pour cet article et pour les nombreux commentaires !

  • Hélène

    Bonjour tout le monde, après avoir été comblé par tant de lecture intéressante, voici ce pourquoi j’ai opté:

    je me suis acheté une petite veste North face coupe-vent imper-respirant avec zipper sous les bras (qui se vendait assez chère) + plus un sac imperméable pour le sac à dos+ un poncho imperméable à 1$ (1.5 euro) juste au cas ou vraiment ça serai le déluge sur le GR65 lol

    merci tout le monde pour vos opinions

  • gerard

    Il est évident qu’il faut choisir un poncho respirant; pas toujours facile quand on n’a pas trop de tunes …
    Là, où c’est pratique, c’est en cas de pluie, pendant le pique-nique, tu es peinard son ton abris de fortune ! j’ai testé en forêt de Bleau et de rambouillet.Par contre, attention au vent.
    Cordial salut
    Gérard

  • nelisa2669

    Bonjour
    Je me suis remise à la randonnée il y a quelques années avec une première destination : l’Irlande.
    Commentaire de tous les randonneurs de mon entourage : n’oublie pas d’acheter une cape de pluie!
    Résultat : achat de la cape classique Q*** cad avec manche et fermeture éclair de bas en haut. Comme je suis grande, modèle hoimme qui s’il est un peu trop long au manche m’arrive bien en dessous du genou.
    Résultat des courses : efficace même si effectivement ça tient chaud.
    Depuis je l’ai toujours, même si je n’aime pas spécialement. Par contre je l’enfile (sur un simple tshirt en général sauf température vraiment basse) et par dessus je mets le sac à dos avec le sursac => comme dit plus haut comme ça la cape s’envole moins.
    Après, comme personnellement j’ai vite chaud en randonnée, et à moins qu’il ne fasse vraiment froid, si je mets la cape de pluie, je suis en version pantacourt ou short du pantalon : certes, l’eau peut dégouliner sur les chaussures (dans le pire des cas je mets les guêtres), mais en n’ayant pas de « bas » de pantalon, si la cape goutte on évite le problème de l’humidité qui remonte peu à peu jusqu’aux fesses.
    Avec une bonne casquette c’est nickel!!!
    Bonnes randonnées

    Et en plus comme dit plus haut, je m’en sers pour plein d’autres choses (et de sa housse également qui peut faire un petit sac en cas de cueuillette).

  • Quelqu’un a-t-il évoqué l’effet « gouttière » de la cape de pluie ? Quand des litres d’eau froide se déversent dans vos chaussures ! ;o)

  • philippe12

    Bonjour

    il ya 30 ans, à l’armée j’ai appris a me servir d’un poncho (type ABL – impermeable solide quasi indechirable – mais pas respirant les ouvertures sont suffisantes..). accompagnateur de randonnée equestre.. je suis un fervent du poncho
    j’ai essayé tout le reste.. car a cheval les ponchos/cape de pluie bas de gamme pouvaient faire peur aux chevaux..ils finissaint avec des bouts de plastique volant et etaient trempés et frigorifiés ( meme avec des supers vestes de montagnes dessous)
    alors….
    et je suis revenu au poncho,
    vous avez bien exposé les avantages
    il est important que le poncho puissent se fermer ( corde ou pression pour ne pas voler au vent, orienter la nécessaire gouttière sur les cotés.. et permettre une bonne ventilation ) et soit indéchirable – donc un cout certain pour
    – protége de la pluie, du vent du froid
    – tapis de sol, couverture de survie
    – Tarp
    – permettre les mouvements des bras/jambes/tete en toute securité et vision
    – permettre une bonne ventilation sans points de stockage d’eau ..
    – en fin de balade elle sert de couverture au cheval
    puis protege le materiel,
    et peut servir…d’ arme de dissuasion – j’ai du l’utiliser rouler en baton contre un chien …

    depuis derrière chaque selle il y a un poncho (type armée) rouler en baton –

    l’ hiver j’ai la cape de pèlerin de mon grand pere, superbe et chaude qui fait le même office ..3 kg..
    indestructible…chaude .. lors des pauses mon cheval l’adore

    oui a la qualité
    oui a la cape/poncho de

    Amicalement

    • François

      Bonjour Philippe,

      Je n’avais jamais entendu parler du poncho en tant qu’arme de dissuasion : c’est une bonne idée ! Et il semblerait que le poncho soit très apprécié des cavaliers – ce n’est pas la première fois que je l’entends dire.

      A bientôt,
      François

    • Jean-Luc

      Bonjour,
      animateur de randonnées montagne et autre, j’ai toujours mon poncho type armée avec moi et il ne me vient même pas à l’idée de ne pas l’avoir pour toutes ses utilisations possibles.je l’ai un peu modifié pour améliorer ses utilisations en tant que tarp ou abris de fortune en rajoutant des attaches à chaque coin et avec une ficelle entre deux arbres ou les bâtons, c’est un super abri même avec du vent. Je ne suis pas gêné par la respirabilité car très ouvert sur les cotés. Le seul inconvénient est effectivement de ne pas voir suffisamment ses pieds dans les dénivelées. Mais son prix permet à toutes les bourses de rester un peu au sec. Nous sommes 20 millions de randonneurs et je ne crois pas qu’on soit tous dans la possibilité d’investir des milliers d’euros dans du matériel.
      j’apprécie grandement tous les commentaires qui ont été fait mais pour ma part j’essaie d’amener le plus grand nombre vers notre activité et ce sans trop de contraintes financières. Je préfère privilégier l’achat de chaussures et de sac à dos avant de penser aux vestes techniques et autres bien trop onéreuses pour une utilisation occasionnelle. Donc 100 % pour le poncho

  • Jean Louis

    Bonjour
    Je suis comme Philippe un adepte du poncho que j’ai largement utilisé il y a quarante ans en Allemagne pendant mon SN. Il existait aussi des ponchos en toiles camouflée qui assemblés par deux formaient une tente canadienne pour deux personnes. Auparavant dans les années 60 j’utilisais en haute montagne une « cagoule » en toile enduite avec la poche pectorale comme Tintin au Tibet et le fameux K Way, les deux n’étaient pas étanches.
    Le poncho de l’armée est un peu lourd pour la randonnée alpine, par contre en canoë il servait quelquefois de voiles dans les planiols et à l’étape de « tarp » pour le bivouac dans les années 70-80.
    Aujourd’hui j’ai donc choisi un Poncho-Tarp Golite très léger qui me sert quelquefois aussi de tarp mais surtout de tapis de sol pour le double toit de la tente Shangri La 1. Au fil des années le sac s’allège énormément mais le poncho reste.
    Cordialement

    • François

      Bonjour Jean-Louis,

      Très bonne idée d’avoir un poncho à double utilisation pour diminuer le poids du sac. Avec une veste de pluie classique, ce n’est pas facile de se faire un tapis de sol ou un tarp. 😉

      A bientôt,
      François

  • Fred

    Bonjour

    Un avis de plus en faveur du poncho pour ma part.
    Moi j’ai un simple quechua XXXL, 700g, avec des manches, donc pas si gênant que ça de l’utiliser.

    Sans, avec des pluies prolongées le sac est complètement trempé. (donc + de poids)
    Ok si on emballe tout dans le sac on garde les affaire au sec, mais dans ce cas il y a intérêt d’avoir une abside pour y mettre le sac afin d’éviter de tremper l’intérieur de la tente, surtout que je me sert de mon sac comme coussin ^^ (et un sac mouillé j’ai pas ça)
    Et si on cumul le surplus de poids en eau de tout ce qui sera mouillé sans poncho, ne sommes nous pas à 700g supplémentaires ? 😉

    Grâce au poncho je peux manger sous la pluie n’importe où. en règle général sur un tronc d’arbre, la protection de mon sac me servant à poser mes fesses au sec, le poncho recouvre tout, je peux faire ma popote tranquilou 🙂

    Et perso en cas de pluies, je me met en short avec des guêtres, et je me suis pas trempé..
    Et pour la transpiration, ça s’aère bien en soulevant la jupe de temps en temps 😉
    Ce dernier point n’est pas optimale certes, mais pas aussi désagréable, je trouve, qu’un sac trempé avec une inception de sac poubelle dedans ^^

    Fred.

  • Mathieu

    Le poncho présente tout de même le gros avantage d’offrir un abri sur un phase statique (repas, observation) plus confortable qu’une veste. Ensuite cela peut être un moyen extrêmement utile pour se réchauffer en cas de problème : il est possible, en position assise de faire de la place sous le poncho pour allumer une bougie dont la chaleur sera plus ou moins gardé par celui-ci et personne ne verra cette lueur même la nuit (désolé je suis un ancien militaire !). Voilà. Je précise quand même que dans mon sac (80l), j’ai quand même une veste goretex en plus de mon précieux poncho ! car c’est vrai que pour se déplacer ce n’est pas pratique voire impossible en la végétation dense.

  • Jean

    Je suis un adepte du poncho pour les qualités citées plus haut. J’en possède plusieurs en fonction des saisons et de la durée de la rando. Cela va du poncho jetable en été au cas ou même en balade, au poncho de l’armée US en Rip Stop pour multiples usages en randonnée de plusieurs jours.
    En été je prends aussi un coupe vent respirant déperlant de 150 g et en hiver le modèle supérieur avec membrane imperméable de 400 g. Tant que la pluie reste faible. si déluge je met le poncho ou je m’arrête, m’assois sur un rocher sous mon poncho et attends que ça passe… Je crois que tout a été dit par les précédents, ayant essuyé de nombreux orages je peux affirmer comme on disait à l’armée que le seul vêtement étanche reste le casque lourd…

  • Bruno

    Marcheur régulier, j’ai utilisé dernièrement sur GR20 une veste Helium rain QUESHUA 100€ 195g en taille L, ainsi qu’un pantalon MONTURA Time cover 90€ 235g en taille L (vieux campeur). Ces vêtements sont dits multicouches donc normalement respirant. Précision je mesure 1,93 et prend du L car je préfère les vêtements ajustés plutôt que flottant.
    Avantages
    – l’ensemble fait à peu près le poids d’une cape de pluie
    – le pantalon zipable sur toute la hauteur peut être enfilé avec les chaussures
    – c’est ma tenue de soirée MUL (en rajoutant les Tongs)
    :
    Le 18/09 une matinée entière de pluie entre les bergeries de BALONE et Castel de VERGIO. Vers 9h sous le bocca di Foggiale une douche gigantesque ne nous quitte plus de la matinée. Les sentiers ruissèlent et parfois nous avons l’impression de marcher dans un torrent.
    Vers 11h30 l’eau me dégouline dans les manches. J’ai donc réduit la longueur des bâtons pour que mes avant-bras restent inclinés vers le bas => évite l’entrée d’eau et aide à pousser pour avancer
    13h Halte à CASTEL de VERGIO pour casse crouter. Mes deux collègues ont vidé l’eau de leur chaussures pas moi, car ils n’avaient pas de pantalon de pluie. En effet celui-ci recouvre les chaussures évitant que l’eau n’entre par le haut des chaussures
    L’après-midi mi-figue mi-raisin et venteuse m’a permis de retirer le bas et garder le haut. Pas d’effet sauna constaté sur toute la journée malgré un rythme de marche soutenue. Après avoir accéléré pour réserver des places et le repas du soir, J’arrive fringuant au refuge en tee shirt technique.
    Le soir il fait froid le pantalon et la veste sont de est de nouveau utile. Seuls mes pieds nus dans les tongs ont un peu froid. Il gèlera dans la nuit
    Le lendemain au départ de MANGANU les chaussures de mes collègues au sortir de la tente sont encore bien humides et pas faciles à enfiler. Pas les miennes.
    On a croisé plusieurs adeptes du PONCHO ils ont eu les mêmes problèmes que mes collègues. Ils étaient tous cuits à l’arrivée (froid, humidité…).
    :
    Heureusement pour tous, le lendemain et les jours suivants seront sans pluie
    :
    Maintenant libre à chacun de faire son choix, et continuer à randonner avec des pantalons/tee shirt en coton et des vêtements d’un autre temps que l’on fournissait aux bidasses (pour les nostalgiques). Pour les autres rassurez-vous rien ne vaut du bon matériel adapté aux efforts pour s’assuer une bonne randonnée.
    et même si certains vous le raconte. pour y avoir participé, les bidasses (appelés) n’ont jamais fait 40km à pied chaussés de Rangers et le barda et 25kg sur le dos par les temps pluvieux et froids de l’automne dans l’est de la France, le tout dans la journée et finir au petit trot, ou seulement en rêve.
    Maintenant il existe des GPS (parfois sur SMARTPHONE comme Iphigénie) et OPENRUNNER pour calculer les distances réalisées. Certains seraient déçus.
    Pour les surhommes qui ont encore des certitudes sur leur performances passées, je les invite à venir faire un petit 40 bornes avec leurs frusques et leurs bardas d’un autre temps. En ce qui me concerne je prendrai mon matériel ainsi que mes vêtements de pluie légers qui me suivent dans mon petit sac à dos chaque week-end qu’il pleuve qu’il vente ou qu’il neige.

    • MP

      « (….)pour y avoir participé, les bidasses (appelés) n’ont jamais fait 40km à pied chaussés de Rangers et le barda et 25kg sur le dos par les temps pluvieux et froids de l’automne dans l’est de la France, le tout dans la journée et finir au petit trot, ou seulement en rêve. »

      Contingent 89/12, stage au Centre d’Entrainement Commando du fort des Rousses, Décembre 1990 (pour cause de VSL), raid de 40km en 12 heures, avec rangers, sacs à dos F1 complet, Casque F1, FAMAS, brelages, et six chargeurs approvisionnés…

      Le soir, à l’arrivée, nouba jusqu’à 2 heures du mat’.

  • Jean

    Bonjour,

    J’utiliseai un poncho en nylon enduit (léger imperméable) rectangulaire avec pressions le long et trou pour la tête avec cordon.
    avec une veste millet gore tex et un pantalon short déperlant.

    Outre tous les usages signalés (tapis de sol, abri pour pique-niquer au sec, changer une carte dans un porte carte, grosse commission au sec, sac pour ramener du bois sec…), en cas de très grosse pluie, il me protègeait mieux que ma veste qui prenait l’eau au niveau des sangles du sac et qui ne séchait pas sous la tente.
    En cas d’averse intermitante, je le mettais et l’enlevai beaucoup plus vite que la veste et sans poser le sac.

    Pour les gouttières dans les chaussures, on ramène le morceau devant soi dans la ceinture. On voit mieux ses pieds et l’eau est dévié sur les côtés.
    Pour le vent, bien replié sur soi et attaché, il est coupe vent et vole pas tout azimut. (j’utiliseai pas de batons)
    Quand il fait chaud (et qu’il y a pas de vent), le mouvement de la marche provoque une circulation d’air qui évite l’effet sauna.

    Quand j’ai arrêté la rando pédestre, il m’ a beaucoup servi en rando équestre. (le poncho évite aussi que l’eau coule sur la selle et la transforme en bain de siège comme le fait une veste)

    Et je l’emmène en rando en chien de traineau. Il sert surtout de trap mais un hiver, on a fait un raid d’une semaine sous une neige mouillée. Au bout de 2 jours nos vestes d’alpinisme hyper technique à 300/500 € étaient gorgé d’eau et mes copains mushers ont mis des sacs poubelles de 100 litres par dessus les vestes techniques pour se protéger au moins le torse. Mon poncho a repris du service.

    Inutilisable en VTT, en canoe sur la Loire, je l’avais mis en le laissant pendre hors du canoe. C’était pas le top mais m’a protégé les genoux et j’évitais de monter les bras au dessus de l’horizontal pour que coule pas vers le torse.

    Le poncho va servi d’outils multi usage et il va permettre de prolonger les fonctions d’une veste respirante lorsqu’il y a une très grosse pluie et très longue où la veste va finir par être gorgée.

  • Nicole

    Bonjour,

    Je fais partie des anti-poncho.
    Je déteste cette sensation de sauna et préfère finalement marcher bras nus avec un parapluie. Je mets une veste polaire lors des pauses et revêt à ce moment-là le fameux poncho pour me protéger du vent. Tout plutôt que de me noyer dans ma transpiration.
    Par contre, je tenterais bien un poncho avec un indice RT<6 mais je ne sais pas où trouver ce genre de produit. Je suis allée voir sur le site du vieux campeur, mais les commentaires des utilisateurs sur leur gamme ne sont pas en faveur de leurs produits. Trouver un bon poncho est aussi difficile que trouver une bonne paire de chaussures !!!

    Si vous avez des adresses ….

    • François

      Bonjour Nicole,

      Etant donné que je ne suis pas un grand fan du poncho, je ne suis pas extrêmement bien renseigné sur ce genre de produits.

      Je sais par contre qu’il y a au vieux campeur tout une série de ponchos CO.TE.NOR. Je ne connais par contre pas leur indice de respirabilité. Est-ce que ce sont les ponchos que vous avez déjà vus ?

      A bientôt,
      François

  • bertrand

    Bonjour,
    Impossible pour moi de partir sans poncho…
    Certes, il a des inconvénients, mais les qualités sont pour moi bien au-dessus :
    – protège d’une grosse pluie (petite pluie = habits déperlants ^^)
    – coupe le vent au campement, (doit être solide et bien attaché) avec une armature en bois pour renforcer.
    – je dors sous tarp et il empêche l’humidité de s’infiltrer et de mouiller le sac de couchage ( protège la partie basse du sac, donc les jambes et les pieds et permet de gagner quelques degrés, quand j’ai froid au pied (souvent en températures négatives).
    – permet de récupérer l’eau de pluie pour qu’elle coule direct dans la gourde (ou presque !!!)
    – le plus important : la tortue, combiné à une mini lanterne. Un gros orage ou une cheville de flinguée … et vous aimerez le poncho et sa mini lanterne pour attendre au sec et au chaud…

    Le poncho est un indispensable quand ça tourne mal…
    A bientôt.

  • Xavier

    Merci pour cet article intéressant aussi bien par son contenu que par les commentaires nombreux qu’il suscite. Je pense comme beaucoup d’autres de vos lecteurs que le choix d’un poncho dépend de multiples facteurs :
    – finances : un poncho indestructible de l’armée, c’est 15 EUR… à comparer aux 100-300 EUR pour une veste technique (et il faut rejouer pour le pantalon) qui va tenir 2-3 ans au mieux… et encore moins si c’est un enfant/jeune que vous équipez (trop fragile)
    – milieu : en plaine, c’est très bien, en montagne ou en forêt/taillis, ça peut gêner
    – durée de la rando : inutile pour quelques heures, je l’apprécie au-delà à cause de tout ce qu’on peut faire avec (en plus de son rôle de base)
    – climat : on s’en passe très bien quand il y a un peu de pluie (vêtements déperlants), mais quand on randonne plusieurs jours sous une pluie battante… le poncho s’impose en plus du reste ! les protections de sac à dos sont très insuffisantes pour tenir plusieurs jours.
    – mais surtout, c’est à l’arrêt que le poncho fait la différence : coupe-vent, mini-tente, bâche au-dessus des sacs ou de l’intendance, tapis de sol sous mes fesses, protéger le feu qui essaie de démarrer, etc.
    – le niveau technique de la rando et des randonneurs… qui explique souvent la différence de perception d’un matériel, la fatigue, etc.
    – la fréquence d’utilisation : on est prêt à investir plus quand on s’en sert souvent.

    Comment mieux vivre la marche en poncho ?
    – relever ses manches => on transpire moins et on aura les manches sèches à l’arrivée
    – marcher avec un pantalon déperlant attaché par-dessus la chaussure (=> pas d’eau dedans, même quand le pantalon finit par prendre l’eau) ; alternative : short, guêtres (pas testé)
    – pour la condensation à l’intérieur : pas très important, en dessous on garde une couche déperlante (ex polaire légère) ; à la pause, on évacue en secouant pendant 4-5 secondes
    – pour la tête, je n’aime pas les capuches (ça prend le vent et on ne voit rien). Alors rien, un bonnet ou une casquette fait l’affaire.

    Bref, le mépris de Bruno pour tous ceux qui ne font pas comme lui est bien inutile : malgré le matériel technique (que j’apprécie beaucoup pour ma part), le poncho reste et restera une valeur sûre pour des millions de gens et dans bon nombre de situations…

  • Danny

    Bonjour ! Je constate que le poncho ne plait pas à tout le monde. Personnellement j’ai travaillé en forêt assez longtemps pour affirmer ceci. Quand on bouge … on transpire 😉 ,et certains plus que d’autres, et après quelques heures d’effort on est relativement trempé même sans pluie. À cela on rajoute la pluie et la condensation par le port des vêtements respirant-imperméable (et même le poncho) et voilà on est trempé quand même. (En ce qui me concernent , rester au sec signifie ne pas trop bouger et rester à l’abris)
    Bref la solution est plutôt simple, portez des vêtements qui on la capacité de sècher rapidement et de garder la chaleur même quand ils sont trempés alors vous pourrez continuer à avancer. Et c’est pourquoi je dis qu’en cas de pluis le choix d’un imperméable devrais s’adapter au type d’activité que vous faites et pour combien de temps.
    Exemple 1; Lorsque je travaillais en forêt un poncho n’était pas une bonne option parce que je marchais en pleine forêt pour superviser des travaux de sylviculture ensuite je retournais au camion. Une veste et un pantalon en nylon imperméable (très abordable et plutôt compact) suffisaient et lors des déchirures majeures je m’en procurait tout simplement un autre. C’était hors de question avec ma veste de goretex 😉 qui était trop dispendieux pour risquer des déchirures.
    Exemple 2; À la chasse (Debout ou assis à l’affût) mon poncho est excellent, il me permet de garder mon arme près de moi à l’abri.
    Exemple 3; En randonnée, c’est un mélange des deux, pantalon en nylon imperméable et poncho. Quand je m’arrête j’installe mon poncho en abri (toiture) et je fais un feu et/ou je cuisine et je peux continuer a m’agenouiller et m’assoire sans trop me soucier des saletées et si mon feu le permet je fais sêcher quelques vêtements sur des cordons.
    Dans bien des cas l’imperméable sert seulement à vous protéger du contact de la pluie « froide » . La condensation (variable) est plutôt chaude si vous portez des vêtements « adaptés » à l’humidité comme la laine (entre autres). Le poncho ne devrait pas seulement être considéré seulement comme vêtement de pluie parce qu’il est multifonctionnel comme indiqué dans quelques commentaires. Il vaut facilement son poids. Choisissez le comme abri de cuisine instantané, sous tente, pare-soleil, tapis, coupe-vent, paravent d’intimité, etc. Sachez utiliser son potentiel et vous aller l’adopter 😉 c’était mon humble avis !!

  • Danny

    Oups ! j’oubliais , le poncho s’attache très bien à la taille ou de la façon que vous voulez avec un simple cordon. d’ailleurs certains modèles comme les ponchos militaire ont plusieurs oeilletons sur les bordures et mêmes des boutons pression. En plus pour dépanner en cas d’urgences, si on installe la doublure optionnelle on peux utiliser les boutons pressions pour former un sac de couchage rudimentaire(environ 75cm x 244cm).

  • Pierre

    Moi, entre le soleil et la pluie, je choisis le soleil, sans hésitation !

    • Lucie

      Bonjour Pierre.
      c’est un choix, moi, j’aime la pluie! que du bonheur quand il pleut et alors …la rando sous la pluie…avec on bon équipement…un vrai régal!

  • lionel

    Hello !
    Le poncho en tant que vêtement, c’est effectivement assez nul… on se prend les pieds dedans, et on a un effet sauna K-way très pénible.
    Mais comme TARP ou abri secondaire, ça fait une bâche légère et très peu encombrante, géniale !
    Il y a un usage en particulier que j’apprécie, c’est comme protection pour démarrer un feu sous la flotte… en faisant un Tarp de fortune avec 2 bâtons et un poncho, on peut abriter une zone ou faire un début de feu, et ainsi avoir un peu de sec sous la drache, ce qui est fort agréable. Et au pire, si le feu prend un peu plus vite que prévu et que le poncho fond… c’est pas terrible pour l’environnement, mais ça fait pas une grosse perte.

  • philippe

    Bonsoir,
    Beaucoup a été dit, je rajouterai juste un avis d’après expériences :

    En cas de pluie continue ou orage, la veste et le couvre sac ne suffisent généralement pas :
    Ma tenue avec pèlerine dans ces cas là selon température :
    Pieds : chaussures + chaussons néoprène 2,5 mm (100g la paire) : au moins même mouillés les pieds restent chauds (temp > 2 ou 3°env), et pas la peine d’éviter les flaques 🙂
    Torse : sous vétement fin (type helly hansen) + goretex light + poncho : on ne sue quasi pas, et l’humidité reste entre la goretex et le poncho; à l’arrivée, on est sec même après 10 heures sous la pluie…
    Jambes : short voire maillot de bain (si si!), si plus froid collant léger : on a rarement froid aux jambes, on ne mouille presque rien et on garde tout sec pour s’habiller quand on se pose (au lieu de trainer des habits mouillés qu’on n’arrivera pas à sécher, sous tente par exemple)
    Tête : casquette sous la capuche qui empêche l’eau de couler sur le visage (+ buff si assez froid).

    La pélerine est à fixer à la ceinture et à remonter en cas de grand vent; pour cela coudre de 4 à 6 bouts de cordelette ou d’élastique sur le bas de la pélerine : cela permet aussi d’avancer sans l’enlever à tout bout de champ quand il fait un brin de soleil temporaire, et de la relever sur le devant en fixant les élastiques, soit sur les bretelles du sac (micro mouqueton), soit sur les poignées des bâtons si on en a : ça ventile tout seul !!
    ! sur terrains techniques : la veste reprend l’avantage. Dans ce cas, même entièrement trempée, vous remettez ensuite le poncho : au final la chaleur que vous dégagez, emprisonnée en dernière barrière par le poncho permettra à l’humidité de migrer vers l’extérieur de la veste et vous sècherez sous vêtement et veste au mieux pendant que vous marcherez.
    testé et retesté sur HRP et traversée Vercors+chartreuse+Bauges bien arrosées…
    Bonnes rando humides !

  • babet64

    bonjour à tous ,
    je suis complètement d’accord avec vous car il y a poncho et poncho , j’ai fait le chemin de Compostelle à Paques l’an dernier sous un temps exécrable , j’avais le poncho +l es guèttres comme je ne suis pas trés grande! avec mes bonnes chaussures étanches je n’ai eu aucun souci d’humidité que du vent ! mais avec une ceinture c’était parfait j’en ai mais appreciée de marcher sous la pluie et la neige,d’ailleurs je vous conseille de faire les 300 derniers kilomètres avant St Jacques de Compostelle c’est magnifique !

    Babet64

    • Lucie

      Bonjour François
      j’utilise une pèlerine (poncho avec bras mais sans ouverture devant.
      à lire ton article,je dois avouer qu’elle n’est pas très pratique pour l’enfilage mais elle constitue malgré tout une protection supplémentaire.
      En 2011, sur le chemin de Compostelle où j’ai marché plus d’un moi dans la pluie (moi d’avril, sur la voie du Puy), je peux vous dire que malgré ma veste 3 couches et mon couvre sac, j’ai dû plus d’une fois vider mon sac, passer mes vêtements dans le sèche linge quand il y en avait et sécher mon sac comme je pouvais. Heureusement que ma veste allait très bien et que mon sac ultra léger de chez raidlight séchait Ultra rapidement. Mon sac n’ayant pas d’armature l’eau passait entre le sac et le dos et les bretelles sont bien sûr mouillées.

      Cette année, pour mes randos en ‘Islande, je me suis munie en plus de ma veste rando de ma pèlerine, et malgré le vent, le froid, la grêle, la pluie…pas un seul,jour je n’ai été mouillée. Bien sûr, je ressemblais un peu à un escargot…mais quel bonheur de finir une journée au sec!
      je pense me chercher une pèlerine avec ouverture sur le devant et bricoler un lien de serrage dans le bas.

  • Benjamin

    Bonjour,

    Comment fais tu François lorsqu’il pleut vu que tu n’aimes pas les ponchos ? Car j’ai déjà marcher sous la pluie et un poncho garde beaucoup plus les affaires au sec que de mettre juste un couvre sac pour le sac à dos et de se mettre une veste imperméable ou un K-Way, qu’en penses tu ?

    Benjamin

  • Alain

    Il faut distinguer :
    -le poncho ( type « armée », que tous les anciens ont bien connu..) : rectangle avec un trou au milieu pour passer la tête et muni d’une capuche;
    -la cape ou pèlerine, vêtement ample, qui s’ouvre et se ferme devant de haut en bas, muni de manches et d’une capuche.
    J’ai l’impression que beaucoup de commentateurs ne parlent pas de la même chose et font une confusion entre ces deux vêtement de protection.
    Dans mon expérience, sous une pluie têtue et prolongée, on mouille par la pluie sous le poncho à partir de la ceinture, et sous les genoux sous la pèlerine, et …par la transpiration sous les deux, peut-être moins sous le poncho, plus aéré…
    J’ai bien noté la solution de la veste gore-tex sous l’un de ces vêtements, qui me paraît a priori pertinente.
    Les commentateurs ont bien fait remarquer les innombrables avantages du poncho dans ses utilisations hors vocation spécifique originelle…J
    Car la question est /
    -être mouillé par la pluie?
    -être mouillé par ma transpiration?
    Or nous ne voulons ni l’un ni l’autre .
    Alors, ne sortons que par beau temps?
    Ce serait bien dommage, car on peut chanter sous la pluie!

  • fabrice

    un bon parapluie protegera de la pluie mais aussi des assauts du soleil pendant une pause……

    • Alain

      Oui,oui, je fais souvent, mais en terrain découvert (vas-y, en forêt, ou même sur un chemin en règle découvert, mais avec ici et là un arbuste et sa branche qui penche sur le chemin…), et sans vent…J’ai même pratiqué le ski de randonnée avec un parapluie( la crosse bien calée dans le dos, dans le système de réglage, ça tient très bien ) Mais il faut un parapluie assez grand, type parapluie de berger, sinon la pluie te dégouline dessus et sur le sac. Du coup, le parapluie est assez lourd: ça va pour une course à la journée avec un sac léger, mais pas pour du gros raid en autarcie.

  • Saĩk

    Bonjour à toutes et à tous.

    J’ai lu avec attention tous vos avis.
    Compte tenu de mon état de santé je ne peux plus vraiment randonner mais je sors tous les jours marcher avec mon chien. Cela peut tout de même représenter plusieurs heures au quotidien.

    J’habite à la pointe de Bretagne. Ici, la pluie, tout le monde le dit, est fréquente. Elle est aussi souvent très froide et accompagnée de vent parfois violent.
    Je peux dire à ceux qui parlent de « parapluie tempête » qu’ils provoquent par chez nous l’hilarité générale.
    Vous pouvez faire une croix dessus à partir de 40 km/h de vent en terrain dégagé. Vous ne pourriez pas le tenir correctement plus de dix minutes (si vous êtes fort) et encore, à condition que le vent soit régulier en direction et en intensité.
    Quand à l’accrocher au sac à dos, c’est dangereux si vous randonnez à proximité d’un bord de falaise, à mon avis. On risque trop d’être déséquilibré par une rafale.

    Les seuls vêtements qui tiennent chaud à l’état mouillé sont ceux en laine à condition de pouvoir se protéger du vent. C’est un ancien marin qui vous le dit (l’humidité, on connaît assez bien).
    Je n’ai encore jamais trouvé aucune tenue vraiment imperméable et respirante à ma taille.
    Contrairement à certains, mes 1,96 m pour 92 Kgs ne me permettent pas d’entrer dans du L.
    Je me sens déjà souvent un peu à l’étroit dans le XXXL.

    Pratiquant aussi dans mes sorties la photo de nature, et au lu de tous ces commentaires je vais m’acheter un poncho que j’ai vu à la boutique Jama.fr (je ne sais pas si on peut mettre ici un lien).
    Je pense qu’il sera assez grand pour mon chien et moi si on se prend ce qu’on appelle ici « un grain ».
    Il faudra bien sûr que le grain ne dure pas trop longtemps, parce que côté condensation, le chien, ça assure…

    Bonne randonnée à toutes et tous.

    • Saïk

      Bon, un petit retour sur les ponchos de chez Jama :
      Trop petit pour moi.
      Je l’ai reçu avec le chariot de la fermeture éclair qui ferme sous le cou qui était cassé.
      Il se promenait tout seul dans la pochette de transport (c’est le seul truc bien là-dedans).
      Les pressions sont en plastique et ne résistent absolument pas au vent.
      C’est vrai que le vent, en Bretagne, on en a du sérieux, fréquemment.

      Je ne conseille donc pas cet article.

      Bonnes randos à toutes et tous !

  • alex

    mon premier poncho etait de couleur Kaki… (un modele ciré si je me souviens bien), mon sac a dos etait kaki, mon treillis etait… kaki. Et j’avais des rangers noires made in France…une autre forme de randonnée.
    C’est vrai que c’est mieux que rien, ca protege de la pluie et ca peut servir d’abri.
    Aujourd’hui, j’evite à tout prix de randonner qd il pleut. Je trouve que ca n’a aucun interêt. On finit tôt ou tard par etre mouillé, beurk.
    Bien sûr, pour une rando d’une semaine ou plus, il faut prévoir… Je prend alors une (sur)veste + capuche en tissu respirant solide (à cause des sangles du sac à dos), un sur-pantalon et une housse étanche pour le sac à dos. On en revient au vieux principe: il n’y a pas de mauvais temps, juste des gens qui ont les mauvais habits…

  • lionel

    Poncho! Que des déceptions! 1) « Aigle » pas du tout impermèable! 2) Une ronce et « la robe de marié » 3) Lourd et sauna mais impermèable quand même faut le prèciser ouf! note 1/3 …

  • alain

    Bonjour,
    pour moi qui randonne au long cours, sur les chemins plutôt faciles, jamais je ne partirais sans ma cape.
    C’est une bas de gamme de chez décat, avec manches et fermeture totale.
    Apres des étapes longues sous la pluie j’arrive bien plus sec que les autres, mais j’ai un secret:
    j’utilise aussi un petit parapluie de rando et des stop tout.
    Le parapluie est un haut de gamme tres solide et qui supporte le vent sans dégats. Il arrête 80 % de l’eau, le reste ruisselle sur la cape et mes chaussures « relativement  » étanches ne se remplissent pas grace aux stop tout.
    On arrive a affronter des vents sérieux dans cet équipage et la condensation est bien maitrisée car si il y a beaucoup de vent l’air est renouvelé et si il y en a peu j’ouvre assez largement la cape.
    Pour enfiler la cape , je pose le sac, je mets la cape dessus et je met l’ensemble sur mon dos.
    Les vestes ne me plaisent pas car l’eau traverse très vite les zones ou les bretelles portent et la condensation est intense quand il pleut beaucoup. Je les reserve à la montagne un peu délicate.

  • Chantal

    je ne suis pas non plus adepte des lourds ponchos etanches dans lesquels on mijote (mais c’est ausi la cas de certaines vestes de pluis ou kways). mais un jour chez d..n j’ai vu un poncho léger pliant tout compact, vendu « pour dépanner » et donc pour quelques euro j’en ai pris un pour l’avoir toujours au fond du sac au cas ou. J’avais une veste dite imperméable mais qui l’était de moins en moins, et ce poncho m’a rendu services à plusieurs reprises. d’autant plus que je n’ai à ce jour pas de sur-sac pour mes sacs à dos.
    certes il ne suffirait pas s’il fallait marcher plusieurs jours de suite sous une pluie battante…chose qui ne m’attire pas de toute façon. il m’a encore rendu service cet automne un jour que j’allais aux champignons et ne voulais pas trop m’encombrer, j’ai pu continuer encore ma cueillette et redescendre sereinement jusqu’à la voiture.

  • André

    Expérience collective il y a un mois, une pluie monumentale dans le Haut Languedoc (la pissotière su sud !!). Trop fort pour continuer sans risques de glissades sévères,J’ai du m’asseoir sur un rocher plié sous mon poncho, pas de sueur, et bien protégé.
    Ceux qui avaient des vêtements dits étanches, ben!, pas si étanches que ça au bout de deux heures, ou pas assez top en qualité.
    Celui qui avait un poncho trop cheap, trempé sur les quatre vingt centimètres du bas.
    Pour moi juste humide, mais le poncho m’a couté un rein !! utilisable en tarp (pas mal) Gatewood Cape de Six Moon Design.300gr
    Par contre c’est sur on n’avait pas un vent trop intense.
    Pour retrouver une étanchéité équivalente en veste plus pantalons je suis à 1,1kg et finalement 800gr ça compte
    Mon avis n’est donc pas encore tranché entre les deux solutions.

  • Jef

    Les sorties en montagne ne doivent être réalisées que par beau temps, donc le poncho est un élément de sécurité pour éventuellement se protéger d’un brusque orage, le mieux est se s’accroupir avec son poncho enfilé par dessus le sac à dos et de laisser passer l’orage.
    Ce n’est absolument pas un vêtement adapté pour la marche en montagne…monumentale erreur !
    Rien ne vous protégera mieux, vous et votre équipement, qu’un poncho !

  • Sylvain

    Bonjour et merci pour ce site très utile,

    Un autre avantage des ponchos est le poids et la place dans un sac à dos, ce qui me pose la question suivante : pour un voyage en sac à dos de 2 semaines avec forts risques de pluie, vaut-il mieux privilégier une veste imperméable et respirante plus efficace et plus agréable ou un poncho pour alléger le sac et prendre moins de place ?

    Merci !

    • François Jourjon

      Bonjour Sylvain,

      Pour le poids et la place, ça dépend vraiment des modèles. Ce n’est pas toujours à l’avantage du poncho.

      Si vous pensez aux ponchos extrêmement légers et transparents très bon marché, je vous le déconseille, car ils sont très peu résistants. Ce sont en quelques sortes des ponchos à une utilisation (et encore).

      A bientôt,
      François

    • André

      Bonjour
      Comme dit plus haut, tout est fonction du profil de la rando et de la météo.
      Un orage dans le Mercantour, rien ne protégera mieux qu’un BON poncho, je prends mon Gateway (efficace, cher, et 300gr), mais alors j’avance peu.
      Marcher une journée sous la pluie en Galice, je préfère ma hardshell (+ pantalon +sursac), je marche à l’aise avec une étanchéité correcte.
      J’ai toujours du mal à choisir

  • Sebastien

    Bonjour François,

    Je suis en train de me préparer pour le tour du Mont-Blanc, j’ai utilisé pendant longtemps des ponchos mais j’aimerais pour cette fois partir sur une veste respirante imperméable. Grâce aux différents articles sur les différents types (gore-tex,…) je me sens plus à l’aise dans l’achat d’une veste qui est quand même un investissement.

    Idem je me renseigne sur un pantalon du même type… mais j’ai une question d’ordre pratique.

    Il y a une bonne 20aine d’année, j’avais un pantalon de Kway que je mettais au dessus de mon pantalon… avec les problèmes que l’on connait.

    Mais actuellement ces pantalons respirants imperméable, j’imagine qu’ils ne se mettent pas directement sur le pantalon de rando.
    Je ne me vois pas non plus me changer sous une pluie battante.

    Bref je m’imagine plus le matin lorsque je m’habille décider du pantolon à mettre en fonction des prévisions météorologiques. Mais j’aurais voulu avoir ton avis.
    Comment procèdes-tu ? as-tu des conseils à ce sujet ?

    Merci,
    Sébastien

    • François Jourjon

      Bonjour Sébastien,

      Tu peux mettre ces pantalons directement par dessus le pantalon de rando, je trouve cela même mieux. Ça permet de passer de l’un à l’autre facilement. S’il fait froid ou que tu es sûr que le temps va être mauvais, tu peux mettre un sous-vêtement long en dessous (voire un pantalon polaire entre les deux).

      Je pense que le mieux est de l’utiliser comme une veste de pluie – le mettre quand il pleut et l’enlever quand il ne pleut pas (ou l’ouvrir pour que ça respire mieux). Souvent ils peuvent s’enfiler rapidement sans enlever ses chaussures, donc c’est assez pratique.

      En ce qui me concerne, j’essaye de ne pas en prendre s’il ne fait pas froid pour alléger mon sac quitte à me mettre en short pour éviter de mouiller les « jambes » de mon pantalon. Le seul problème avec cette méthode est que l’eau finit pas rentrer dans les chaussures en ruisselant sur les jambes. J’ai testé avec des chaussettes imperméables et respirantes, même problème – même si ça met un peu plus de temps à arriver.

      A bientôt,
      François

  • yves

    thepacka.com

    voir le site pour une description d’un autre compromis comprenant couvre sac et poncho.

  • Andre

    Bonsoir
    Belle idée, mais comme toujours le point crucial est le compromis impérméabilité/respirabilité.
    Si c’est aussi imperméable qu’un couvre-sac, au bout d’une journée de marche on sera mouillé par en dessous.
    Pas pres de finir la recherche de la solution idéale !
    Les retours sur le produit seront, c’est sur, étudiés avec soin.

  • thierry

    Bonjour, je comprends que l’on puisse aimer ou détester le poncho ! Mais je pense sincèrement qu’une bonne veste respirante et un bon poncho respirant lui aussi sont complémentaires…
    Dans de nombreux commentaires, des personnes disent que pour une petite pluie une veste suffit en protégeant éventuellement le sac à dos, mais je me suis déjà fait « surprendre » par de bonnes rincées et je peux dire que ma capeline (+ des guêtres) m’a permis d’arriver à bon port nettement moins mouillé que si j’avais mis ma veste respirante et une protection sur mon sac…
    Voilà pourquoi j’emporte toujours en randonnée une veste et un poncho.
    S’il y avait une solution idéale, cela se saurait, non ? Donc à chacun de s’équiper selon ses attentes.
    A bientôt.

  • christiane

    Je suis tout à fait d’accord avec toi. Je hais les ponchos, d’ailleurs, pour mon prochain périple, je vais m’acheter une veste en gore tex.

  • didier

    j’ai les deux et c’est complémentaire . La veste imper respirant pour les pluies faibles et poursuivre sa marche mais lorsque l’orage se déverse de façon importante – je m’arête, je trouve un endroit pour m’assoir (éventuellement sur mon sac a dos et je me recouvre avec le puncho comme une cloche pour attendre que cela se calme – Ce n’est bien sur pas une science exacte…malheureusemen

    • Oilean

      Randonneuse sur GR, moyenne montagne, et Compostelle.
      Même avis favorable. Pour moi :la pèlerine à manches est très efficace ! (fermeture zippée et velcros)
      Je n’ai jamais connu de « pluie qui vient mouiller le sac à dos sous un poncho » comme ça était plus haut. Ou bien ce n’est pas un « long » poncho/pèlerine mais un genre de capeline, ce qui n’est pas le sujet ici.
      Merci ma cape : comme Didier : en tipi pour une pose assise sur mon sac sous une pluie perpétuelle en rando forêt, ou en toiture ombragée sous le cagnard du Camino, et en bivouac enveloppé dedans, en pose pipi (oui, mesdames) sur le même camino très-très fréquenté (des kilomètres sans abri du regard), ah oui : en cabine de bain (pudique, sur sentier des douaniers !), etc..
      Et j’ai toujours des guêtres en sac poubelle pour les jambes et le dessus des chaussures : toujours au sec !
      Adepte !

  • Edmond

    Depuis des années pour voyager avec mon âne j’utilise un ensemble de pluie Wettex (veste et salopette) à enfiler par dessus…c’est du matériel de pro pour les bûcherons…..des heures et des heures de pluie…et toujours au sec et aucun effet de sauna….beaucoup moins cher que les vestes Goretex ou Patagonia…qui prennent l’eau au bout de 2 à 3 h00 de pluie.

    Bon…la couleur est peut-être voyante mais pas plus que les ponchos rouges qu’on voit sur la photo du haut de page.

    • Oilean

      Merci de l’expérience. En effet, l’ensemble Wettex n’est pas excessif, bi-colore pour la veste orange/vert sapin et salopette vert sapin, pour ce que j’ai pu voir. Ca passe (surtout sur les routes !).
      Mais : Tu dis ne pas transpirer en marchant plusieurs heures (j’espère avoir compris que l’âne est pour porter les bagages et pas toi !) Le fait de ne pas (je pense) porter de sac qui te colle au dos limite les contacts et donc la condensation/transpiration et l’aération de la veste doit se trouver justement dans le dos…

      Par contre, un ensemble pareil doit faire son poids, à ne pas négliger dans le sac à dos, si tu veux bien le donner, ca serait intéressant à comparer avec veste et pantalon de pluie (et de marche !).
      Merci !

  • Oilean

    J’ai la veste imper/respirante pour les bruines ou coup de vent froid, et une pèlerine. Je teste cette année dans un poncho/abri 360° (pour ne pas nommer la Gatewood Cap). Un peu cher, mais j’en rêvais depuis pas mal de temps : vêtement pluie et tente en même temps = donc un seul poids (320g !). (Je pense qu’on peut le bricoler soi-même mais j’ai pas osé) J’y ajouterai des manches étanches, (façon pèlerine), c’est tout.

    C’est « mon idéal » pour marcher sous la pluie tout en restant moi et mon sac bien au sec et bivouaquer sous un vrai abri totalement fermé (assise agréablement et dormir aisément (1 personne de 1.80 maxi), déjà testé en conditions neige, vent, pluie intense.: tout ça pour le MEME poids à porter !. (j’ajoute des guêtres légères et jusqu’au genoux, et je suis toujours bien au sec !).

  • jeanlouis

    J’ai un poncho « à manches ». Je l’ai apprécié sous la pluie et le vent. Je ne l’utilise pas sans les guêtres. J’ai également dormi dedans recroquevillé. Le seul petit problème, il est un peu léger et se relève au-dessus des genoux sous fort vent. Ce qui à tendance à m’agacer un tantinet car le pantalon finit par être trempé. Mais, il sèche vite, après la pluie.

    Il faudrait lester l’ourlet bas. Je cherche une astuce.

    • Oilean

      Pour blaguer : la crinoline sous cape, au niveau des genoux..? 🙂
      il n’y a pas trop d’astuces.
      – J’ai tenté de « plomber » l’ourlet, il bat quand même au vent et le poids du poncho sera accru au final. – autant revoir la matière du poncho ? (tissu imper plus lourd carrément).
      – On peut prévoir un lien intérieur à resserrer moyennement mais sans entraver la marche ni fermer l’arrivée d’air du bas.
      – J’avais essayé sur un vieux poncho d’attacher deux points du devant de bas de cape à chacun de mes genoux, le bas de cape ne se retrousse plus (devant) mais la cape peut rester collée aux cuisses en marchant.
      Ma récente pèlerine ne se retrousse plus au vent (elle est longue, vraiment longue…en fait je suis petite….c’est sûrement ça..) et coupe plus près du corps et avec manches
      A vos astuces…

  • jean - louis

    Bon jour ,
    Étant  » jeun » , j’ai fais pas mal de montagne ( à vaches ) ! Et j’ai le souvenir que j’avais eu un guide , qui n »avait qu’un parapluie pour se protéger des intempéries !
    Le l’ai adopté depuis , et j’avoue que j’y vois pleins d’avantages ( sauf sous de gros orages ) !

    • Oilean

      Effectivement, les vachers avaient de grraaands parapluies (pas téléscopiques comme maintenant et surtout plus solides). Ils leurs servaient aussi de bâton de marche et pour titiller le bétail. Testé en randonnée, ce genre de parapluie-canne est trop bas comme bâton d’appui. (la main doit tenir la canne plus haut que le coeur, pour une circulation optimale).
      J’ai perdu 2 parapluies téléscopique et norma,l sous des bourrasque de pluie qui retournent très vite la voilure et tordent les baleines (gare aux yeux !), et une main est toujours occupée à tenir le parapluie, pas top ! Je ne m’embarrasse plus de ce poids excédentaire qui ne peut servir qu’à un seul usage : pluie verticale et sans vent.
      Je viens de tester la gatewood cap (tente 360° tient avec mon bâton de marche – et poncho super efficace à la fois – pour un poids unique de 320g (silnylon ripstop) + 7 sardines alu (63g). Poncho un peu court devant pour les grandes tailles (au-dessus des genoux – prévoir guêtres) mais très long derrière ! (contrairement au parapluie, le mi-corps bas reste relativement sec) En formule tente, il peut accueillir aisément un bon sac à dos et une personne mesurant jusqu’à 1.70m. Au delà c’est un peu juste pour s’allonger dans son duvet sans toucher la paroi). Adepte du poncho-pèlerine, j’adhère totalement à ce principe de 2 en 1 !

  • plicplouc

    Pour avoir testé les deux, le poncho et désormais la veste 2 couches et demi de rando, c’est vrai que la veste de rando est beaucoup plus respirante et agréable à porter.
    Ce qui est pénible avec le poncho, c’est aussi qu’avec son amplitude, il s’accroche facilement aux arbustes épineux, avec un grand risque de déchirure… Et il faut faire très attention si l’on est obligé de cuisiner en portant le poncho, tandis qu’avec la veste, on est plus tranquille.
    Enfin, la pluie a tendance a dégouliner sur le pantalon, et s’il l’on est plus ou moins sec en haut, (sauf avec l’effet sauna), on fini trempé à partir des genoux. Bof bof…

    Par contre, son prix est vraiment imparable !

  • zepurgaia

    Bonjour.
    Je n’ai pas pu lire tous les avis très nombreux et intéressants.

    Je ne suis pas fan du poncho ou je me sens engoncée, mijotee à l’étouffé.. je ne sais pas s’il jfaut avoir les bâtons sous le poncho ou à l’extérieur…
    Bref je suis d’accord avec tous les inconvenients…

    Il n’empêche que çela ne coûte pas grand chose, ça prend point de place et ça depanne bien… Ça protège le sac à dos avec le randonneur… Un peu, quand même. … Du deux en un… Voir 3 en un si on l’utilise comme abri de fortune.

    Ceci dit, je ne l’ai jamais utilisé sur une longue durée et j’imagine que ce n’est pas le top.
    Pas fan mais je l’ai toujours avec moi et le met en absolument dernier recours. Après c’est selon la pratique de chacun… Idéal pour l’occasionnel… Et comme pour toute activité régulière il faut s’équiper avec du bon matériel…

    Et puis si si, pour les « petits » ça protège jusqu’aux pieds…

    Alors je ne le mets pas tout de suite au rebut 🙂 et en plis il est rouge 🙂

  • Paul

    Bonjour

    Pour ma part, après avoir parcouru les sentiers comme beaucoup d’entre vous, j’ai adopté 2 techniques différentes.
    Pour les randonnées printemps/été, le poncho de qualité qui s’ouvre entièrement et se referme par bouton pression, ainsi que des manches mi longues. Une fois fermé, la prise au vent est minime, il ne fait donc pas drapeau. Bien évidemment, l’eau ruisselle dessus, pour descendre à mi jambe sur le pantalon et finir dans les chaussures. Problème résolu l’an dernier par l’acquisition d’un pantalon technique très léger, déperlant et respirant, qui couvre aussi le haut de mes chaussures (aussi bien les basses que les hautes), empêchant ainsi l’eau de mouiller mes pieds. De fait, outre les avantages déjà listés, je rajouterais qu’il peut servir de nappe pour manger au sol, de protection de duvet pour dormir sous la voute céleste ou encore d’abris de fortune pour éviter la rosée du matin.
    Pour ce qui est des randonnées automne/hiver, le m^me pantalon déperlant mais cette fois si une bonne doudoune 3/1 déperlante et respirante et le tour est joué. En effet, en période hivernale il est rare de partir à l’aventure et dormir à la belle étoile.
    Sur ce, bon chemin à tous.

  • Oilean

    Ca c’est un post qui tient la route ! Hein François ? Depuis janvier 2012, il suscite toujours des réflexions et des pour et des contres, un « fil » qu’on ne rompt pas facilement donc !…au contraire du parapluie télescopique par jour de vent ..

    .Zepurgaia (réponse 93) : il est nettement plus pratique d’avoir les bâtons à l’extérieur du poncho et avoir des manches au poncho (donc, c’est une pèlerine), ou un ajout de manches – sacs plastiques ! sur les ponchos avec simples ouvertures pour les bras, c’est super pour la cadence et la protection des bras, et un poncho plus près du corps qui limite les envolées et retroussements façon spinnaker ! (ainsi que l’égouttoir sur les jambes à chaque foulée…)
    Un poncho qui est « respirant » donc qui évacuerait notre transpiration, à mon humble avis : c’est pas sérieux ! Plus cher forcément et improbable, sinon inefficace. J’attendrai plutôt des ouvertures horizontales protégées pour ventilation sur le dos et la poitrine – comme les vrais KWay (plus d’effet Mongolfière..échappée de la masse d’air chaud vers le haut, sachant l’arrivée de la masse d’air froid par la large ouverture évidente du bas du poncho). Ca serait plus logique..Faut oser sacrifier son poncho pour faire l’expérience…
    Ceci dit, quelques gouttes je tolère de marcher sans rien…ça n’est que de l’eau..pour un petit crachin continu de quelques heures, je laisse la pèlerine ouverte sur le devant (double curseur pour le haut seulement ou pour le bas seulement, génial) et ça suffit à éviter la condensation, mais pour une fichue ondée j’adore ma pèlerine et je ne songe même pas à ma transpiration comparée à ce que le ciel me déverse sur la tête et mon sac à dos (jamais 100% étanche!).
    Chaque rando a ses variables : GR tranquille, grimpe montagneuse, sentier douanier venteux, forêt touffue, et conditions atmosphériques variantes…il faut adapter son matériel avec sérieux, c’est plutôt ça le mot clé de la protection imperméable.

    Envie de repartir, huuumm !

  • phil

    Je relance,
    adepte du poncho… randonneurs depuis quelques années…. l’expérience a fait le reste…
    personnellement : poncho type pèlerine (marque Camp) avec fermeture devant zippé + rabats…
    aucun problème avec des bâtons de marche… les régler un peu plus court pour éviter que l’eau rigole vers l’intérieur des coudes de la pèlerine ( + petite boucle élastique cousu en bout de manche pour passer le pouce)… j’ai rajouté quelques pressions en bas de la pèlerine pour resserrer lorsqu’il y a du vent, et une pression entre jambe selon condition… jamais de soucis par vent… (j’ai également une ceinture en élastique fin pour faire le tour de mes hanches si vraiment condition extrême, mais jamais utilisé…) super maniabilité… même chemin broussaille (tissu ripstop), j’utilise la pèlerine au dessus de mon sac… cela couvre également mon petit sac ventral contenant mon matériel photo fragile… (chose infaisable avec une veste) (ça permet même de photographier pendant l’intempérie) très facile à enfiler face au vent, aucun soucis, je replie la pèlerine autour du cou lors d’accalmie de la pluie ce qui permet d’aérer la condensation en attendant la prochaine averse (impossible sans s’arrêter avec une veste) , on peut également jouer avec la fermeture de devant… pas de soucis de visibilité si bien ajusté (à vos machines à coudre) (ou utilisations casquette ou chapeau sous capuche)

    De plus j’utilise des guêtres « maison » : le bas d’un pantalon imperméable (avec fermeture zip pour passage chaussures) … je l’ai découpé au dessus du genou et je l’utilise à l’envers… donc deux demi jambe de pantalon à l’envers : la partie élastique (anciennement basse) (rajout d’un cordon pour serrage optimal) recouvre désormais juste le haut du genou bien serré, le bas du demi -pantalon ainsi retourné est très large et recouvre TOUTE la chaussure… extra…. on l’enfile très rapidement SANS retirer ces chaussures…
    Je mets un bermuda court (mi cuisse) (et un collant sport s’il fait froid).
    Pour l’hiver je troc le short court pour un pantalon de pluie…
    Je mets tout le temps un t-shirt manche courte ou longue en mérinos…
    Pas mouillé du tout… la condensation reste sur l’intérieur du poncho…
    Ne pas oublier de ventiler de temps à autre (chose pas évidente si l’on enfile son sac au dessus de la pèlerine, chose que je ne fais pas…)
    Mes affaires dans mon sac à dos sans protection de pluie mais tout dans des sacs étanches…
    Mes chaussettes accrochées sur l’arrière du sac sous le poncho sèche tendrement même sous l’averse…

    CONCLUSION : VIVE LA PÈLERINE : Bien au sec même avec un violent orage ou 8 h de pluie….
    Respirante ou pas , je ne connais que la non respirante mais de qualité (environ 50 euros)
    Sans compter toutes les utilisations annexes déjà citées… je n’y vois que des avantages…
    j’ai malgré tout une veste goretex hyper légère dans le fond du sac…. au cas où…
    les vestes de pluie à la longue, même les très chers percent…
    le parapluie semble plaire également à certain…

    Voili , petit retour que j’espère vous apprécierai…
    a++
    phil

    • Oilean

      phil, j’apprécie ! (on est jumeau sous nos pèlerines ripstop/matériel photo/guêtres/maison (même la veste pluie au fond du sac 🙂 )
      (pèlerine de couleur vert olive qui me permet de (presque) passer inaperçue dans le paysage de mes randos et tenir le guet-photo en camouflage parfait !)

  • philippe

    Bonjour François,

    Je viens de voir ta vidéo, c’est du super beaucoup.
    J’ai imprimé très facilement, cool.
    Mais en regardant mes pages j’ai remarqué que le Nord n’est pas sur la page!! Ainsi que les UTM. 🙁
    je n’ai pas trouver comment faire.
    As tu une astuce?

    Pour le reste je viens de passer la journée sur ton site très très très riche information bravo car, la il y du de travail.

    @ bientôt
    Philippe

  • Denis

    Pour ma part, je suis à 100% pour le poncho. Bien sût à condition d’avoir du bon matériel et d’y mettre le prix. J’en ai un respirant et recouvert à l’intérieur de maille filet afin d’éviter la transpiration. Il possède également des fermetures sur les côtés par bouton pression afin qu’i ne s’envole pas au moindre coup de vent. Je n’ai jamais eu le moindre problème, même par grosse pluie avec ce matériel. Je l’ai acheté en Scandinavie et l’ai tout de même payé 250 Euros.

  • olivier

    Mes rares expériences de poncho ont été une vrai cata.
    Comme je transpire beaucoup, j’ai pris l’option gore tex qui n’est pas vraiment étanche, mais permet de sécher sans l’enlever et protège bien du vent. Je protège le sac ou plutôt son contenu avec des sac poubelles. Je mets un short et des stop-tout sur chaussures goretex.
    Le corps est mouillé, mais protégé du froid, le contenu du sac reste au sec, les jambes restent libres et n’ont jamais froid durant la marche. Les pieds sont humides mais pas trempés et sèchent dès que possible sans enlever les chaussures.

  • Xiane

    Personnellement, inconditionnelle du poncho avec manches et ouverture totale devant. Les bras restent libres pour parer à toute éventualité et utiliser les bâtons en toute sécurité. Pour les jambes, guêtres hautes par-dessus le pantalon et chaussures étanches (ou presque…) parce que après une journée de pluie battante, il ne faut pas rêver… Nous avions eu la chance en arrivant au gîte, d’être accueillies par une charmante dame qui avait prévu une pile de journaux pour assécher nos chaussures. Elles n’étaient pas totalement sèches le matin, mais avec une bonne paire de chaussettes bien sèches, elles ! tout s’est bien passé 🙂 Autre avantage du poncho ouvert devant, dès qu’il y a une accalmie vous pouvez ouvrir le poncho et vous aérer sans avoir à le quitter complètement… et le refermer rapidement en cas d’ondée… Ah j’oubliais ! une bonne casquette à visière bien rigide pour abriter le visage, épatant !

  • Alain

    Faites attention à la terminologie!
    On ne s’entend pas !
    Le poncho, ce n’est pas la cape: voyer ma note du 09/06/2013

  • Richard

    Personne ne parle du parapluie de randonnée, cet item évite toutes les discussions sur les méfaits du poncho, citées par les différents intervenants.
    S’il y a des utilisateurs de cet ustensile, pourraient-ils nous donner leur avis

    • Chantal

      A 100 pour 100 pour le parapluie de randonnée !
      Il sert d’ombrelle sous le soleil aussi après la pluie. Idéal quand il est fixé au sac à dos. Les mains restent libres et le corps respire. Le jambes se mouillent quand il y a du vent mais sèchent ensuite rapidement quand la pluie s’arrête.

  • Fred

    Pour cet été (randonnée bivouac de 10 jours) je me suis acheté une pèlerine d’une 100aine d’euro, 350grammes.

    Cela m’a servis à :
    – me protéger de la pluie
    – protéger mon sac de la pluie (pas possible avec un veste)
    – me protéger du vent
    – faire une couverture pour faire la sieste (pas pratique et déconseillé avec un veste)

    Je n’ai pas rencontré de désagrément concernant la transpiration/aération.

  • Claude06

    Je suis un adepte du poncho.J’en ai acheté un dans un magasin « stock militaire » pour trois fois rien ! Epais et robuste, il permet:
    – de faire un tapis de sol ou une protection anti-vent sur le duvet en bivouac à la belle étoile
    – de faire un abri de fortune avec une bougie comme chauffage, c’est efficace
    – enfin il protège le sac à dos, possède des boutons-pressions de chaque côté pour les bras et permet d’utiliser les bâtons
    – si vous êtes mouillés de transpiration sous le poncho, c’est que vous êtes trop couvert !!! Portez un short/t-shirt sous le poncho et tout rentrera dans l’ordre 🙂

    Seul inconvénient, il est un peu lourd mais c’est ce qui garantit sa robustesse !

  • Michel

    Je suis totalement d’accord pour ne jamais au grand jamais mettre de poncho.
    J’ai malheureusement perdu un ami à cause d’un poncho. Mon ami c’est tué à cause d’un poncho. En descendant d’un refuge il faisait très mauvais temps et nous étions sur la morène d’un glacier.
    Il s’est pris le pied dans son poncho avec son crampon que nous avions encore au pied. Il est tombé en avant et a glissé coté glacier et c’est heurté la tête.
    C’est un triste souvenir, mais je tiens à informer tous les randonneurs du danger d’un tel équipement.
    Ne porté jamais de poncho

  • Oilean

    Tu nous rappelles brutalement que nos randonnées ne sont pas toujours sans risques.C’est désolant ce que tu rapportes, Michel. Je comprend ton aversion pour le poncho.
    L’usage des crampons est déjà à bien manipuler, alors l’ajout d’un poncho ou tout vêtement flottant est effectivement un risque accru. Je pratique le poncho mais je m’en abstiens en sentier aérien ou crête ventée (je ne pratique ni escalade ni neige, mais je ne le conseillerai pas pour ces terrains).

  • Alain

    Marcher sur un glacier ou escalader ce n’est plus du domaine de la randonnée, quand on aborde les techniques d’alpinisme, beaucoup de choses ne sont pas évidentes d’emblée.
    La marche avec crampons nécessite des précautions particulières, en particulier de marcher les pieds écartés et d’éviter les vêtements ou accessoires flottants (pantalon, poncho, etc…)
    Pour ces activités le poncho peut être très dangereux, effectivement, l’accident de l’ami de Michel nous le rappelle tristement.
    Est ce une raison suffisante pour le condamner en toutes situations? Sur les sentiers il me semble irremplaçable par son confort et l’abri qu’il procure en cas d’arrêt dans des conditions météo difficiles.

  • Claude06

    Bonjour,
    Je m’en tiendrai à un commentaire purement technique: le port du poncho limite considérablement les mouvements et l’aisance générale du randonneur notamment sur terrain instable ou glissant.
    L’utilisation de crampons nécessite, même pour des randonneurs/alpinistes expérimentés, d’être constamment vigilant: il est facile, à cause d’un moment d’inattention ou de la fatigue, de se prendre une pointe de crampon dans les lanières de l’autre crampon ou de s’accrocher dans les bas de pantalon, guêtres, etc. ..
    Pour toutes ces raisons, l’association crampons/poncho est totalement proscrite car toutes les conditions sont réunies pour trébucher sans pouvoir se rattraper et limiter les conséquences d’une chute.

  • Hélène

    Comme dit par Alain, il faut faire une distinction entre la haute voltige et monsieur-madame tout le monde qui fait le GR65 ou de la randonnée du dimanche (ceci dit sans mépris aucun) Moi j’ai souvent marché sous la pluie (et la grosse pluie même) et ma combinaison gagnante impliquait coupe-vent léger et imperméable, couvre-sac, et par dessus tout cela, un poncho imperméable ultraléger et mince à un euro! On a rigolé un peu de mon attirail, mais ça fonctionne et mes bras sont libres. Bien sur je ne monte pas le Canigou ainsi. Moi suis plutôt type « chemin de Compostelle » alors je suis adaptée à mon terrain.

  • Claude06

    Effectivement, l’équipement doit être adapté à la discipline. Ainsi, selon moi, le poncho est parfaitement adapté à la randonnée (avec certaines réserves où il doit être retiré: pentes glissantes, rochers, etc).En revanche, dans un contexte alpinisme ou en randonnée utilisant du matériel d’alpinisme, il doit rester dans le sac.

  • christiane

    je n’aime pas les ponchos, je trouve effectivement que quand il y a du vent il nous encombre et nous sommes mouillés quand même, difficile à enfiler quand on est seule, transpiration excessive donc souvent froid, et dangereux car si un peu long on se prend les pieds dedans quand on doit passer des passages avec rochers par exemple et si trop court nous sommes mouillés du bas….perso depuis 20 ans je marche avec une veste de pluie et pantalon pluie + housse pour sac et mes affaires dans sacs étanches ou sacs plastiques et j’en suis ravie. je fais des périples de 2 mois et mon matériel tient le coup que les ponchos sur cette durée pas sur, pas sur, cela m’est arrivé d’en avoir qui lâchait au bout de 15 jours. enfin voilà mon expérience et mon avis, à chacun de voir comme il se sent le mieux et si l’investissement d’une bonne veste et d’un bon pantalon vaut la peine par rapport aux randos faites. bonnes randos à tous.

  • Jean

    J’ai fais l’acquisition il y a un an d’une tenue de l’armée russe de couleur olive veste et pantalon ça s’appelle une Gorka. Elle est très légère réspirante un tout petit peu moins que le Goretex elle coupe le froid et le vent ce tissu c’est du Zaltan. Elle est très confortable le pantalon a des brettelles. Je la porte des les premiers froids avec des chaussures montantes pantalon par dessus. Je mets sur ma peau un t-shirt technique a manches longues plus un simple polaire de chez Décathlon, J’ai l’impression de randonner en survêtement. Les fermetures éclaires sont hyper solides et tous les boutons sont fixés a la manière canadienne.
    http://www.airsoftstore.ru/odezhda/forma-kostiumy/kostium-gerkon-donbass-ursus-khaki

  • mary

    Cela fait 5 année que je pars sur Compostelle pendant 2 mois entiers au printemps. J’ai le le pantalon gortex North Face. J’ai pris la cape normale ouverte devant avec fermeture éclair et velcro. Lorsque la pluie cessait je gardais la cape juste accrochée au cou et je roulais le reste dans la largeur pour le coincer entre le sac a dos et le dos et quand la pluie revenais je mettais 30 sec à renfiler le tout.

    Cette année j’ai changé, j’ai pris une veste Raidlight 220 gr dont je suis très contente et qui est nettement plus étanche qu’une cape ( de plus je peux l’utiliser dans la vie courante au contraire d’une cape ) .
    http://www.raidlight.com/fr/vestes-impermeables-et-coupe-vent/4249-veste-top-extreme-lady.html#/taille-s/couleur-piment

    avec mon pantalon goretex et j’ai pris un parapluie spécial ( qui sert aussi de parasol) de 360gr que je peux fixer à une bretelle du sac à dos.
    http://www.parapluie-enchante.com/

    Je vois beaucoup de monde sur ces chemins et je suis sûre qu’il n y a pas le moindre vêtement ‘ antipluie’ qui résiste à 4..5h de pluie.
    Au final, je repars cette année avec cette veste qui sèche aussi vite qu’un Kway ordinaire.
    C’est un choix de 830gr ( veste pantalon parapluie ) au total mais avec la pluie que j’ai déjà eu pendant des jours et des jours je ne regrette ni l’investissement ni le fait d’avoir aussi à le porter. C’est à chacun de faire son choix.
    Je n’ai aucune action chez les uns ou chez les autres, c ‘est juste mon expérience que je partage;

  • Jean-Pierre

    Malgré que je ne sois pas un fan des capes, j’en ai toujours une (de qualité) dans mon sac à dos que j’utilise en cas de vent. Par temps de pluie sans vent, je randonne avec une veste imperméable+surpantalon+guêtres+sursac à dos + un PARAPLUIE. Le pire pour moi est d’avoir l’eau qui s’infiltre entre mon sac à dos et le dos de ma veste.Au bout d’un moment on a inévitablement le dos trempé, l’eau réussissant à s’infiltrer. J’adhère pleinement au fait que marcher avec une cape n’est pas le top , celle-ci empêchant de voir où l’on met les pieds, d’autant plus gênant que le terrain est glissant d’où vigilance accrue obligatoire.

  • Lucien

    Pas d’accord .J’ai acheté « Français  » au vieux Campeur Lyon
    Tissage épais ,coutures protégées ,ouverture jusque en bas (zip&scratch) Facile à ranger dans sa housse et modulable à volonté .La capuche est réglable .
    Bon c’est plus cher mais c’est très costaud .En plus je l’ai choisie jaune visible de loin on ne peu pas me confondre avec un chevreuil….

  • Patrick

    Bonjour
    Achat poncho militaire 15 euros au puces modèle neuf pour remplacer un ancien de + de 30 ans que certains ont du fortement apprécier…..volé eh oui après une randonnée très arrosée par 10 degrés

    Particularité toile enduite tissée avec des pression .
    , pouvant servir d’isolant sous duvet , de nappe , de plaid pour s’assoir et protéger de la pluie .

    Astuce ne pas mettre la capuche mais un chapeau à bord rond ( type pêche décathlon , Pb de chaleur résolu)
    Ne pas trop se couvrir , avant toutes affaires sèches ainsi que le sac ;

    On passe les mains au travers des pressions pour les bâtons …

    Utilisé même en cas d’orage tropical…..vite mit car sur le haut du sac ..

    J’ai aussi une softshell…et une surveste pour le soir en cas d’humidité ….et le Poncho dans la tente sous le duvet .

    Donc utile pas cher multi-usage …mais à chacun de choisir en fonction de ses choix ….
    Amicalement
    PATMASS

  • PATMASS

    Bonjour
    Achat poncho militaire 15 euros au puces modèle neuf pour remplacer un ancien de + de 30 ans que certains ont du fortement apprécier…..volé eh oui après une randonnée très arrosée par 10 degrés

    Particularité toile enduite tissée avec des pression .
    , pouvant servir d’isolant sous duvet , de nappe , de plaid pour s’assoir et protéger de la pluie .

    Astuce ne pas mettre la capuche mais un chapeau à bord rond ( type pêche décathlon , Pb de chaleur résolu)
    Ne pas trop se couvrir , avant toutes affaires sèches ainsi que le sac ;

    On passe les mains au travers des pressions pour les bâtons …

    Utilisé même en cas d’orage tropical…..vite mit car sur le haut du sac ..

    J’ai aussi une softshell…et une surveste pour le soir en cas d’humidité ….et le Poncho dans la tente sous le duvet .

    Donc utile pas cher multi-usage …mais à chacun de choisir en fonction de ses choix ….
    Amicalement
    PATMASS

  • Francis

    Bonjour à tous , je pratique la montagne depuis plus de 40 ans soit en alpinisme soit en randonnée.
    En rando j’ai toujours utilisé un parapluie tempête pour les intempéries (pluie ou autres ) . Les avantages , protège bien du soleil , du vent et bien sur de la pluie , léger et résistant, facile à transporter sur le côté du sac aux portes bâtons ,pour marcher adapter un système que vous pouvez bricoler vous même sur le sac ce qui laisse les mains libres , seul bémol, peut être un peu cher à l’achat ,mais d’une efficacité remarquable. A vous de choisir.
    Cdl

  • pierre

    Bonjour, pour une grande randonnée de 3 semaines en Islande, j’acheté chez Decathlon un poncho imperméable mais avec un soufflet à l’arrière .
    j’avais un gros sac à dos ‘sur le dos ) et une musette (sur le ventre ) .
    j’ ai voyagé comme celà pendant tout mon séjour avec beaucoup de petite pluie, un peu de grosse pluie , et meme des averses de neige fondue (mois de Juillet !!)
    Les avantages: je ne sais pas comment j’aurais pu garder mes affaires au sec sans lui ; il laisse les mains libres pour prendre rapidement l’appareil photo , le portefeuille, ou le guide que j’avais dans ma musette.
    Les inconvénients: on transpire un peu meme par temps froid (entre 0 et 10 degrés ) ,et quand il pleut un peu fort, ça dégouline sur le pantalon et les chaussures .
    Deux remarques: il faut avoir une tente qui rentre verticalement dans le sac à dos et non pas posée à l’horizontale sur le sac ; je voyageais seul et je devais appeler à l’aide pour mettre correctement le poncho sur le sac.
    En conclusion, pour un investissement modique, j’ai passé trois semaines au sec malgré le climat « un peu » humide .

  • Tango

    D’accord avec Francis. dépuis tres longtemps j’utilise aussi le parapluie, de marque Swing en kevlar, 300gr, fabriqué en Allemagne, qui protege aussi bien du soleil, et avec un peu d’astuces on le fait tenir en coinçant le manche sur une bretelle du sac à dos.. mais par grand vent et pluie, c’est un peu plus delicat

  • Daniele

    Le poncho ne respire pas, mais y-a-t-il vraiment un habit de pluie qui protège à 100 % et qui respire ? On se retrouve tous dans un sauna avec un tel équipement, que ce soit l’habit ou le poncho.

    J’ai découvert le poncho qui s’attache entre les jambes, qui insère le sac à dos dans une pochette dans le dos et protège à 100 %, sauf le bas des jambes et les pieds…. et pas si difficile à endosser.

    Je n’étais pas une adepte du poncho…et je les tester et pour le poids 150 gr. je l’ai adopté.

    On le retrouve sur Amazon.

  • Bonjour ,
    j’utilise depuis des décennies un poncho militaire armée américaine que l’on peu actuellement se procurer en ligne sur certains sites marchands de ce genre de produit sur les cotés il y a des oeillets/pressions ce qui fait que une fois enfilé il tient en place il est doté d’un lacet de serrage au niveau de la tete de plus il est parfaitement coupe vent donc pour moi c’est l’idéal aussi bien pour la rando a pied que vélo ou VTT
    tous les 4ou 5ans je le réinperméabilise avec un produit que l’on trouve au vieux campeur il suffit de verser une dose de ce produit dans la machine a laver (surtout ne pas y ajouter de lessive ni adoucissant)
    et faire tourner la machine a basse température

  • Bonjour,
    En temps que ancien de la légion le poncho été le bien venu faut juste savoir s’en servir

  • Bernard

    J’ai utilisé un poncho en Guyane. C’est très pratique, car à certaines époques il n’arrête pas de pleuvoir. La différence est qu’il fait chaud. Sous la pluie on n’a pas vraiment chaud, mais quand elle cesse, on peut retirer le poncho au risque de bouillir.

  • thierry

    moi, je ne l’utilise que très rarement car j’ai de la chance d’être dans une région où il ne pleut pas souvent.
    juste un gros inconvénient, bien protégé en haut, je suis souvent trempé en bas des jambes.
    sinon, plutôt pour.
    merci RM.

  • julien

    Salut,

    Perso pour avoir fait le Cap Warth Trail (si je me souviens bien) à savoir le nord ouest de l´Ecosse -et donc 12 degrés début août, pluie et vent continus et marche dans les tourbières, je préconise:

    chaussures gore-tex (Lowa) + pantalon de l´armée autrichienne (léger, sèche rapidement, et puis on ne chope pas « froid » par les jambes tant qu´on marche, de toute facon. A trouver dans les surplus militaires) + veste imper-respirante (50€ certes sur site privatesportshop)

    Le plus important selon moi c´est de prendre un sac poubelle, où mettre ses affaires du soir, afin de pouvoir dormir dans des vêtements et SC secs. Le matin, ranger les vêtements, remettre les affaires mouillées -ouch! , ranger énergiquement la tente histoire de se « chauffer » et partir d´un bon pied !
    2 semaines sous la pluie et le vent, et je pense que comme d´hab´ c´est principalement dans la tête que ca se joue -se préparer au pire, c´est l´occasion d´avoir une bonne surprise au moindre rayon de soleil !
    L´autre truc important, c´est de ne pas avoir de frottement avec son pantalon mouillé, et donc prendre un pantalon souple léger… et se dire que plus on marche, plus il va sécher ! Et que de toute facon, le soir, on sera au sec, quand on se refoidit…

  • julien

    PS: ptites précisions:
    1/il ne faisait pas chaud mais pour avoir testé la veste y compris en Grèce, elle est bien respirante (inconvénient, vague sensation d´être « humide » quand elle a pris la pluie pendant 9h, mais sous Kway ce serait pire). NB: l´équipement décrit ci-dessus est valable en quatre saisons (oui, même par -10)
    2/j´ai un protège sac intégré, et franchement ca vaut le coup !

  • Bonsoir,
    En effet après avoir lu pas mal de commentaires, je ne sais pas quoi penser !!
    je dis plutôt qu’après 3H de marche sous la pluie rien ne protège !!
    j’ai acheté deux ponchos et au bout de 3 H je mets mon poncho dans un sac plastique et je mets le sec !Il il est préférable d’acheter un pantalon qui sèche rapidement , sinon on reste mouillé longtemps !! un peu de vent ça sèche !! J’ai fait les chemins de Compostelle et je n’ai trouvé que cette solution !!
    Je pars sur les sentiers des Douaniers en Juin, j’amène mes deux ponchos, pas lourds du tout !

  • christiane

    bonjour, je suis du même avis le poncho va bien pour une petite balade en dépannage mais je ne le trouve pas adapté pour la randonnée pour les mêmes raisons citées ci-dessus.
    Je pars souvent pour des périples de un à 2 mois et avec le temps pour ma part j’ai adopté veste et pantalon imperméables, cet équipement à un coût important si l’on prend du matériel de qualité mais c’est efficace et cela ne gêne pas pour la marche .
    Pour la veste j’en ai essayé plusieurs avant de trouver la veste imperméable ! j’ai depuis deux ans une veste Arc’teryx et j’en suis ravie, de plus au bout d’un an la fermeture avait eut un problème je l’ai retournée et elle a été réparée gratuitement port aller et retour gratuit.
    Pour le pantalon c’est la marque Eider, pareil j’en ai passé 3 avant de trouver le bon.
    Je ne prends pas l’eau du tout.
    J’ai également un chapeau de pluie pour quand je ne veux pas mettre la capuche lors de pluies relativement faibles.
    Pour les chaussures à part les chaussures de montagne en gore tex, toutes les chaussures prennent l’eau au bout d’un moment mais il y a les guêtres et la solution de mettre un sac en plastique dans les chaussures, je l’ai fait fin mars dans un périple de 10 jours où j’ai eut pluie et neige pendant 3 jours et c’est nickel !!
    Pour le sac un sursac et les affaires dans des sacs plastiques surgelés à glissières et le tout dans un grand sac poubelle et là le soir tout est sec.
    Bonnes et belles randos à tous

    • thierry

      Bonsoir Christiane,

      Je te signale l’existence de chaussettes imperméables. Une couche de plastique fine entre deux couches de tissus nylon. Très efficaces. Mais un peu fragiles. Elles m’ont accompagné pendant deux semaines sur les chemins de St Jacques avec des guêtres moyennes en complément Impeccable ! En fait ce sont des chaussettes de marin. Mais elles sont très bien pour marcher… marque : « Seals Skin »
      Bonne rando

      Thierry

  • Nico

    Personnellement, un impermeable XXL avec le sac en dessous, le meilleur des deux mondes.

    • Mamjos

      Je rentre d’une semaine en Irlande du Sud : beaucoup de pluie et de vent. Ma cape (à manches et respirante) a été impeccable ! Le sac protégé avec sa housse + la cape et le contenu étaient secs à l’arrivée. Par contre, l’eau coulait en bas de la cape, et vue la forte pluie quasi permanente, entrait dans les guêtres et mouillait les chaussettes puis les chaussures :: à l’arrivée presque un demi verre d’eau dans chaque chaussure (en gore-tex) ! Solution après avoir vidé l’eau des chaussures : remplir celles-ci de « tampons » de journaux qui s’imbibent très vite… Changer les journaux quand ils sont saturés d’eau. Bien sur, il faut trouver des journaux !!!!
      Franchement, ça marche très bien. Le lendemain, re-belotte…

  • francis

    Bonjour.
    Vêtement à proscrire en montagne , j’ ai failli être tué en montagne , et de faire un saut de 200 mètres , le vent c’est engouffré sous ma cape de pluie, qui s’est relevée sur mon visage , occultant ma vue des embûches du chemin , voulant la rattraper avec mes mains , je n’ avais plus de support de mes cannes , j’ ai glissé sur de l’ herbe mouillée sur le dos, heureusement que j’ avais un compagnon costaud qui m’ a retenu , cette aventure s’est terminée avec une entorse et un dénivelé de 2000 mètres négatif , avec une cheville entourée d’une ceinture……….

  • Régine

    je ne suis pas grande 1m60 alors j’ai acheté au V.C. un poncho avec manche taille enfant

    j’en suis très satisfaite et je m’en sers très régulièrement depuis 3 ans, en plus il est jaune , très efficace dans les bois en période de chasse

  • Zabo

    Bref, pour la montagne éviter le poncho/pélerine surtout les premiers prix mais pour tous les sentiers ordinaires (compostelle, Francigena etc ) c’est pas mal, si on achète un bon produit, assez grand pour bien tout couvrir et garder de l’air en dessous. On a les pieds mouillés mais de toute façon, les chaussures de trail mouillent aussi par le sol.

  • Bruno

    Bonsoir
    J’ai lu les commentaires avec intérêt, je pars lundi pour cinq jours et je me suis décidé.
    Veste ou poncho….
    Je prends les deux et en plus un pantalon étanche respirable…
    Pour moi le mieux serait de ne pas en en voir besoin.

    • Bruno

      Bonjour
      Je suis rentré de ma Rando, pas de pluie donc pas l’utilité le poncho.
      Par contre j’ai eu une journée de gros vent et si il avait plut, j’aurai été dans l’incapacité de l’utiliser.

  • franck

    Retex sur des journées et des nuits dehors, par tous les climats : le poncho, mon filet cam, mon couteau, mon briquet et ma gourde sont mes amis. Pas forcé de dépenser une fortune :prenez un poncho militaire (l’américain en nylon ripstop, le français (GT, pas PT, c’est marqué desssus) et l’allemand – increvables- et l’autrichien sont très bien) : à 20 euros max en surplus, vous avez un produit immortel.

  • thierry

    Une seule experience avec un poncho neuf. Courte mais radicale.
    C’était sur le GR10 au pays basque en plein mois d’aout. Il pleuvait un peu en montant un col. Je l’ai mis alors que la pluie commencait a tomber. Rapidement le vent s’est mis a souffler et le GR s’est rapproché d’une cloture de champ (petit détail…).
    Puis il y a eu un vent à décorner les boeufs, la partie arriere du poncho flottait à l’horizontale, les boutons de pression ne tenaient pas. Le poncho me frenait plus qu’il me protégeait de la pluie. La partie arriere du poncho tournoyait derriere moi, c’était dantesque. J’avancais quand meme car il n’y avait aucun abri et j’arrivais sur le col. C’était un grain mais pas un orage
    A un moment j’ai senti que la partie arriere touchait la cloture, mais j’ai continué.
    Au bout de 20 minutes le temps s’est calmé. Je regardais derriere moi, : il manquait la moitié de la partie arriere du poncho ! Il s’était accroché et dechiré sur le barbelé de la cloture ! Tout neuf !!!
    Depuis plus aucun poncho…
    On ne mis reprendra pas pour cette dépense inutile.

  • Etienne

    Je suis bien d’accord, il y a des avantages et des inconvénients.
    J’utilise une pèlerine en été lorsqu’il y a des risques d’orages en fin de journée. En effet, lors de l’orage, il pleut fort mais ça passe, donc je fais une pose bien abrité, moi et le sac, et on peut même tenir à plusieurs, 3 serrés. Ensuite, on range et on repart. Par contre, c’est vrai, randonner couvert comme ça en montagne ne permet pas de rester sec, à cause de le transpiration. Hors orage, c’est encore le grand parapluie qui est le plus pratique.

  • Redfish

    Petite astuce pour l’utilisation d’un poncho.

    Il suffit en effet de se découvrir un peu dessous et mettre sa veste coupe-vent, qui est en général très respirante et déperlante.
    Ca évite de se faire mouiller par la condensation qui se crée sur la couche interne du poncho.
    Testé et approuvé régulièrement sur plusieurs jours de pluie d’affilé… toujours bien au sec (contrairement à mes camarades juste en poncho).

    Ca permet aussi de palier au manque de protection en cas de vent.

    Pour les bâton, on peut attraper l’avant du poncho entre le pouce et l’index puis attraper les bâtons avec, on garde l’avant du poncho un peu tendu.
    Les bras restent au sec, ça crée une petite avancé sur l’avant qui protège les chaussures (par contre réduit un peu la visibilité au niveau des pieds, à réserver aux chemins faciles).

    Pour ma part, j’ai un poncho-tarp F UL Gear, 180gr en nylon 15D et une veste coupe-vent D4 du même poids… total 360gr.
    Si je part sur plusieurs jours, des petites guêtres légères (56gr) pour éviter que l’eau rentre dans les chaussures par la cheville.
    Je reste ainsi toujours bien au sec, ainsi que mon sac à dos, pour un poids contenu.

    🙂

  • Christophe

    Pour ou contre le poncho… Dur comme question. C’est comme toujours, ça a des avantages et des inconvénients. Ce que j’aime pas c’est que les guêtres sont obligatoires si ça tombe dru, les grands vents sont pas toujours faciles à gérer et ça peut être pénible avec les bâtons si ça vente fort. Malgré cela, mon poncho est toujours de la partie parce que malgré ses défauts, il fait le travail, il est léger, compact et est d’une polyvalence difficilement égalable. Ça fait abri de fortune, remise pour le matos, niche pour chien, paravent de camp, tapis de sol, … La liste des utilisations possibles est très longue. Ce n’est peut être pas l’objet le plus efficace pour se protéger de la pluie mais il le fait quand on a un peut l’habitude de l’utiliser et c’est pour moi une pièce d’équipement qui trouve sa place dans mon barda ! Merci pour cet article.

  • Jean-Louis

    Pour ma part, je n’utilise pas le poncho qui se passe par la tête (abandonné dès la première utilisation), par contre j’utilise une cape Vertical qui est respirante a des manches et se met comme une veste. Donc pas de problème pour utilisation des batons, de plus la visière est réglable (très pratique). J’ai eu l’occasion de l’utiliser durant une journée (pluie incessante) avec des guêtres, le soir en arrivant mes chaussures étaient sèchent et moi aussi. Effectivement dans les passages difficiles très étroit entourés de ronces … il faut aviser en fonction. Au cours d’une randonnée d’un jour j’ai utilisé une veste, et mon sac à dos avait une protection pluie. J’ai subi un violent orage avec une très forte pluie. Pantalon, chaussures trempées, et mon sac à dos à pris l’eau, en fait l’eau passait entre ma veste et le sac et cela a mis ^plein d’eau dans le fond de la cape du sac à dos.
    Pour moi ma cape est très efficace, protège bien et egalement le sac à dos, s’enfile très facilement et rapidement et laisse toute liberté pour l’utilisation des batons.
    Belles randonnées à tous

  • ernest

    Bonjour François, d’accord avec vous. Il y a des avantages et des inconvénients, mais je pense que les inconvénients sont plus nombreux. Il n’est pas facile de randonner avec un poncho (surtout en terrain accidenté). Il vaut mieux avoir une bonne veste de rando déperlante et un protège sac à dos. Et puis, au fait, François…C’est aussi le héros de tous mes romans de montagne, que je vous invite à découvrir.
    Cordialement

  • Mimie

    Bonjour, François,
    Cela fait 39 ans que je randonne, en plaines, en montagnes, au bord des falaises, en France et ailleurs, et bien, je peux vous dire que le poncho n’est pas la panacée pour se protéger de l’eau ! Avec lui, non seulement vous êtes mouillé, autant en dedans qu’en dehors, mais en plus, il transforme vos chaussures en baignoires, à moins d’avoir des guêtres. J’ai donc opté, pour moi, pour une veste de pluie respirante avec capuche (dont je ne me sépare jamais) et, pour mon sac à dos, j’utilise une housse spécifique sac à dos ; ce qui ne m’empêche pas de fourrer tout son contenu dans un grand sac poubelle. Par précaution… par prévisions météorologiques instables, j’emporte un parapluie !
    Cordialement,

  • thierry

    Pour ma part j’ai déjà utilisé le poncho (Jura et Saint Jacques notamment de Vézelay à Bourges -mauvais temps pendant deux semaines) : j’ai abandonné ce type de vêtement ! D’abord il est très difficile à enfiler quand on est déjà en route avec le sac à dos, et surtout que l’on est seul ! Ensuite par vent violent (ce fut le cas dans le Jura) il ralentit considérablement le rythme et ne protège plus rien du tout !
    Je prends donc une veste imperméable respirante, des guêtres et soit un boxer de piscine en été (il a l’avantage de sécher très vite le soir en repos), soit lorsqu’il fait plus froid et que les jambes sont exposées : un pantalon très imperméable à bretelles -lourd mais protecteur) toujours avec les guêtres. J’ai aussi découvert l’année dernière des chaussette imperméables. Si, si, ça existe ! En fait ce sont des chaussettes de marins. Très efficace pour garder les pieds bien au sec ! Je recommande. Une dernière remarque : bien protégé, la pluie c’est super ! On retrouve des sensations d’enfance, où elle ne nous faisait pas peur, et ne provoquant pas d’ ombrage à notre confort d’adulte ! Sur ce : bonne pluie à tous ! !
    Thierry

  • Annie

    Bonjour,
    J’ai « fait » Compostelle en 2017 en partant de chez moi (Alsace : 2500 km)) avec une pèlerine et j’ai été bien arrosée. J’ai rencontré deux marcheurs avec parapluie et sandales qui avaient l’air bien heureux et qui faisaient ce chemin pour la 3ème fois.
    L’année suivante, je suis partie de Vézelay jusqu’à Assise et cette fois avec un parapluie « mains libres » qui se clipse sur le sac-à-dos. j’ai été convaincue et ne marche plus qu’avec mon parapluie. Bien sûr ce n’est pas génial en cas de tempête (dans ce cas, rien n’est génial) mais quel bonheur sous une petite pluie fine et persistante ou un gros grain. De plus, dans les sous-bois, on est protégé de l’eau qui tombe des arbres même quand il ne pleut plus. A mon avis, c’est la meilleure façon de rester sec, de profiter de la vue du paysage et de respirer. En cas de soleil, c’est aussi appréciable de marcher à l’ombre de son parapluie. Pas de problème si on utilise des bâtons, le système de clips est vraiment efficace.
    Annie

  • Benoit

    Pour une randonnée de plusieurs jours sous la pluie, sans possibilité de sécher ses affaires le soir, et a fortiori si ce n’est pas en été, j’utilise une pelerine (avec manches donc) en plus de ma veste « high-tech imper-respirante très chère ». Utilisée seule après deux heures de bonne pluie, cette dernière est bien humide à l’intérieur.
    Je n’ai pas trop de problème de condensation, je ne dois pas beaucoup suer, et je marche assez lentement.
    J’arrive toujours à voir où je pose mes pieds, je ne comprends pas l’objection, sauf en terrain très difficile, dans ce cas en effet il faut retirer la pelerine, mais c’est très ponctuel.

  • Bonjour à tous. Depuis plusieurs années, le poncho est dans ma liste d’articles essentiels en rando. Toutefois il faut, comme avec tout équipement, prendre le temps de trouver le modèle qui nous convient. Ma conjointe et moi avons quelques km sous la semelle alors j’essaierai d’être bref. 2008; Compostelle par la voie de Vézelay et le camino Del Norte=1800km. Veste de pluie et surpantalon léger. Bonne protection mais deux trucs nous titillent. Pas mal d’humidité à l’intérieur et, les jours ou il y a beaucoup d’alternance soleil/pluie, toujours enlever le sac pour se convrir était un peu agaçant. 2014. Canterbury/Rome sur la via Francigena. 2200km. Cette fois, nous avons des pèlerines « Altus ». Protection parfaite, un peu chère, excellente protection. Mais après 4 mois sur les sentier, le laminage intérieur s’est auto-détruit. 2018. La via de la Plata pour traverser le Portugal.750km. Cette fois-ci, on a des poncho de marque 3f UL, (Alie express). Un coup de coeur. Environ 50$ canadiens. ultra-compact (comme une canette de boisson gazeuse) et léger (207gr). Excellente protection pour le corps et l’équipement. Il protège jusqu’aux genoux. Et un élastique génial, quoi que très laid, le serre à la taille, sous le sac à dos. Donc, même s’il vente, on ne se transforme pas en parapente. S’il fait plutôt frais, un sur-pantalon ulrta léger protège bien nos jambes. Vraiment, POUR NOUS, c’est l’idéal. Mais comme pour tout équipement, il faut réfléchir, consulter, essayer, réfléchir de nouveau, et expérimenter.
    Je suis souhaite de fantastiques randos, des rencontres enrichissantes, et une vie heureuse.

  • Olivier

    Salut à tous, perso j’utilise le poncho comme abri de fortune en attendant que ça passe. Une fois comme vous je l’ai porté, modèle avec boutons pression sur le côté. Le vent y pénètre toujours obligé de le tenir en place surtout pour voir où on met les pieds. Comme le sketch du kway d’un humoriste, mouillé dehors mouillé dedans mais c’est pas la même eau Alors lorsqu’il pleut que tu trouves des broussailles, tu t’y accroupi derrière le poncho par dessus et tu fais la sieste, quand ça ne dure pas trop longtemps. Pour les vestes, c plus agréable, et cela dépend aussi du poids de celle ci. J’en ai deux que je choisis en fonction de m’a sorti. …..Bonne rando à tous. .

  • André

    Bonjour tout le monde,

    Je dois dire que l’article est aussi intéressant que les commentaires haha. Pour ma part j’utilise un poncho imperméable pour la pluie lors de mes sorties nature : pêche, camping et randonnées. Les modèles mi-long avec de grandes poches et une visière sont les plus pratiques, à mon sens. On peut y mettre tout ce dont on a besoin et la visière protège notre visage lorsque dame nature se montre capricieuse 🙂

  • crochelune

    J’aime bien ce blog, je m’y retrouve vraiment !
    Je ne suis pas non plus une adepte du poncho de rando. Ado j’en avais cousu un long, a mes dimensions, mais sois le sac à dos était dessous et j’avais presque les fesses à l’air, soir dessus et remontais mes « manches ». et effectivement je ne voyais pas mes pieds. J’ai vite préféré la veste imperméable mais respirante et un sac a dos avec un filet qui éloigne le sac du corps.ainsi qu’un sac poubelle pour protéger mes affaires ou des sacs étanges et un sursac de sac à dos… Et avant de lire ton blog, aprés l’exemple d’un ami , je vais testé le parapluie la semaine prochaine a priori 6 jours de pluies.et le chapeau/casquette pour éviter la pluie sur les lunettes !

  • aurélie

    Coucou
    Moi je suis très poncho pour une randonnée, elle tient au chaud et protège des averses en montagne. Après cela dépend des sentiers empruntés. Mais aujourd’hui on trouve plusieurs modèles avec une possibilité d’avoir des manches et sur ceux j’ai trouvé cette boutique en ligne : https://maison-catamarca.fr/ vraiment intéressante, j’aimerai commandé sur ce site mais j’ai un peu peur… est-ce que quelqu’un connait ?
    Merci

    • Michelle

      J’ai commandé dessus aussi haha ! En tout cas j’ai été satisfait de la qualité du poncho ! J’attend de voir si ça sera utile en randonnée avec le vent ou non !

  • Michelle

    Bonjour,
    Je viens d’acheter un poncho de pluie pour une randonnée entre amis. Jusqu’ici je trouve que niveau style et confort il me convient parfaitement. Reste à voir ce que ça donnera en randonnée !

  • Claude

    Bonjour à tous.
    27 jours sur 30 de pluie et de boue, seul sur les 800 1er Km de St Jacques avec mon poncho.
    Très très difficile à enfiler (seul) enlever et remettre le midi…
    À part cela, très utile sous une forte pluie toute la journée, descend jusqu’au niveau des guêtres, les pied au sec avec les chaussures Gore Tex. Évite de mettre la protection du sac et relativement léger rangé dans le sac. Pluie légère de quelques heures la veste déperlante est suffisante.
    Merci François pour toutes tes bonnes idées et merci à vous tous, amis randonneurs pour vos commentaires très utiles. Ultreïa Claude

    .

  • Hubert

    J’ai utilisé l’été dernier une pèlerine Décathlon en mai sur le GR34 avec un temps assez épouvantableme ! Pluie, vent, sentier glissant ! 500 km après je ne me suis jamais fâché avec ma pèlerine qui a des ouvertures sous les bras pour pouvoir aérer ! Mais le sac à dos toujours sec, important en autonomie totale !

  • Bernard

    Je suis un pro-poncho pvc …
    J’ai fait mon premier raid avec l’UCPA en 1977 : 15 jours sur la GTA (Grande Traversée des Alpes). Sur les conseils de l’accompagnateur, j’ai acheté un poncho en PVC pour quelques francs de l’époque et une paire de guêtres (un peu plus cher) … Un des meilleurs achats de ma vie … Les 8 premiers jours, pluie et neige … Quand on est en groupe, oui chacun peut aider l’autre à enfiler et surtout bien ajuster le poncho pour protéger le sac … mais j’ai vite appris à le mettre tout seul … J’ai toujours aussi utilisé une ficelle pour le cercler à la taille pour éviter qu’il ne vole trop au vent ou que je ne marche dessus … Ce poncho je l’ai encore 45 ans après ! Certes il est « raccommodé » avec des petits bouts de sparadrap pour les accrocs subis …
    Mais j’ai aussi acheté deux autres ponchos au Vieux Campeur en tissu soi-disant imperméabilisé ; c’était bien plus cher et plus du tout imperméable au bout de quelques utilisations … J’ai enfin eu une veste excessivement chère garantie respirante et imperméable : une merveille pendant quelques mois et puis elle devenue une passoire … Ma femme anti-poncho se « ruine » chaque année dans l’achat de veste que les vendeurs lui recommandent comme révolutionnaires …
    En conclusion, je reste un inconditionnel du Poncho-PVC léger, pas cher et réellement imperméable même si bien sûr l’effet sauna existe mais cet effet-sauna je l’ai aussi eu (et ma femme l’a) sous les vestes dites respirantes et pas longtemps étanches …

  • patrick

    Poncho non, veste pas toujours, si je sais que il va « bruiner », parapluie large attaché sur le côté du sac à dos, sur les portes ski, rando en moyenne montagne, n’ étant absolument pas frileux, une tactique déjà employée, en caleçon, et tous le sec dans un sac poubelle dans le sac à dos, marche rapide, pas de refroidissement si il fait plus que 8 – 9 ° , si c est en Vanoise, une gore tex et un beret

  • Lérins

    J’ai un grand poncho qui couvre intégralement le sac à dos et descend très bas pour protéger les jambes. Grandes ouvertures sous les bras pour l’aération. Ça peut servir d’abri en cas de bivouac improvisé. Il est orange fluo et peut donc servir pour se faire repérer, voire baliser une aire d’atterrissage hélico. C’est pour moi l’article idéal indispensable en fond de sac.